OCCURRENCE: | 305394 accreditee |
CONTEXTE: | Dans la 6ème histoire des Illustres Françaises, Des Frans a rencontré Silvie et a tenu un enfant avec elle. Il la revoit quelques fois et l'invite avec sa tante et ses voisines à une promenade et un dîner hors de Paris. Les 15 jours de lit permettront à Des Frans de voir continuellement Silvie avant de se déclarer. |
COTEXTE ET CITATION: | « Silvie fit un faux pas sur les degrés de l'auberge en descendant ; mon empressement fit voir la part que je prenais à ce qui lui arrivait [---]. Le pied lui enfla beaucoup ; et elle fut obligée de rester dans son lit, où je l'avais portée, pendant plus de quinze jours. |
NOTES: | p. 379. |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Paris: Le Livre de Poche, 1996.Éd. Fr. Deloffre et J. Cormier |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 103228 chantier |
CONTEXTE: | Un valet fait des tours de cartes et autres pour amuser la compagnie venue en promenade au mont Griffon. Ensuite il fait jaillir une fontaine d'eau, puis de vin, puis il fait apparaître un panier de collation. Surprise, émoi, plaisir. |
NOTES: | [(Page) 6-7] |
SOURCE: | Anonyme, Avantures du mont Griffon (Les), ou la baguette enchantée. Pierre Garnier: Troyes, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305355 accreditee |
CONTEXTE: | Au cours d’une promenade faite en l’absence de M. de Wolmar à Meillerie où Julie et lui ont vécu des moments heureux, St. Preux est submergé pour un moment des projets par l’émotion et les tentations funestes qu’elle provoque. |
COTEXTE ET CITATION: | Bientôt je commençai de rouler dans mon esprit des projets funestes, et dans un transport dont je frémis en y pensant, je fus violemment tenté de la précipiter avec moi dans les flots, et d’y finir dans ses bras ma vie et mes longs tourments. |
NOTES: | T. II, p. 143 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305363 accreditee |
CONTEXTE: | St. Preux invité par Julie et M. de Wolmar à partager leur vie à Clarens, découvre le verger mystérieux qu’ils appellent l’Élysée, avatar évident du locus amoenus. Il s’agit en fait du bosquet où Julie et St. Preux ont eu leur premier baiser (cf. t. I, p. 107 et 109), réaménagé pour en faire un lieu où la nature est maîtrisée. |
COTEXTE ET CITATION: | Ce lieu, quoique tout proche de la maison est tellement caché par l’allée couverte qui l’en sépare qu’on ne l’aperçoit de nulle part. […] Je me mis à parcourir avec extase ce verger ainsi métamorphosé. |
NOTES: | T. II, p. 87-89. La description se poursuit jusqu’à la page 96. P. 104-105, St. Preux retourne au verger pour y faire une promenade solitaire et p. 108-109 où M. de Wolmar de son projet d’inviter St. Preux à vivre avec eux. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305364 accreditee |
CONTEXTE: | Julie décide de prouver son amour à St. Preux en lui accordant un baiser au cours d’une promenade dans le bosquet de Clarens, en présence de Claire toutefois. |
COTEXTE ET CITATION: | Parmi les bosquets naturels que forme ce lieu charmant, il en est un plus charmant que les autres, dans lequel je me plais davantage, et où, pour cette raison, je destine une petite surprise à mon ami. […] Toutes les parties de moi-même se rassemblèrent sous ce toucher délicieux. Le feu s’exhalait avec nos soupirs de nos lèvres brûlantes, et mon cœur se mourait sous le poids de la volupté. |
NOTES: | T. I, p. 107-109 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305365 accreditee |
CONTEXTE: | En l’absence de M. de Wolmar, Julie et St. Preux ont fait une promenade en barque sur le lac. |
COTEXTE ET CITATION: | Un séchard qui nous poussait de biais vers la rive opposée s’éleva, fraîchit considérablement, et quand nous songeâmes à revirer, le résistance se trouva si forte qu’il ne fut plus possible à notre frêle bateau d la vaincre. Bientôt les ondes devinrent terribles. |
NOTES: | T. II, p. 137 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |