OCCURRENCE: | 101218 accreditee |
CONTEXTE: | Le chef des eunuques noirs raconte à Usbek ce que lui a dit le premier eunuque lorsqu'il est venu au sérail d'un autre maître. |
COTEXTE ET CITATION: | J'use du pouvoir qu'il [notre maître] m'a donné sur vous: c'est lui qui vous châtie, et non pas moi, qui ne fais que prêter ma main. |
NOTES: | [(Page & Lettre) 133, 64] |
SOURCE: | Montesquieu, Lettres persanes (Les). Garnier: Paris, 1960. |
OCCURRENCE: | 101216 accreditee |
CONTEXTE: | Le chef des eunuques noirs raconte le mauvais traitement qu'il a recu d'un de ses maîtres. |
COTEXTE ET CITATION: | Il [son maître] ordonna que l'on achevât de me rendre tel [propre au sérail], et me fit faire une opération pénible dans les commencements [...]. |
NOTES: | [(Page & Lettre) 133, 64] Il s'agit de la castration. |
SOURCE: | Montesquieu, Lettres persanes (Les). Garnier: Paris, 1960. |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 101304 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur se rend au rendez-vous donné par une Maltoise "maîtresse d'un Commandeur de l'Ordre, une grosse réjouie, brune, de gros yeux noirs, la gorge bien fournie & bien blanche, & fort aimable" (414) |
COTEXTE ET CITATION: | p 414. "J'éveillai la belle dormeuse. [...] Nous restâmes seuls; je me suis mis sur une chaise auprès d'elle [...] La chaleur excessive qui faisoit l'obligea à se mettre à l'air; elle me découvrit entre autr'autres choses, une gorge & une paire de tétons aussi beaux que j'en aye vû de ma vie." |
NOTES: | [(Partie & Page) hist 75] pages dans l'édition des Belles Lettres |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Librairie de Hondt: La Haye, 1713.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305386 accreditee |
CONTEXTE: | Dans son observation des mœurs de l’île lors de son voyage, l’auteur consacre une page aux maladies auxquels en sont sujets les habitants. |
COTEXTE ET CITATION: | Les enfants et les noirs sont très sujets aux vers. Les maladies vénériennes produisent des ‘crabes’ dans ceux-ci : ce sont des crevasses douloureuses qui viennent sous la plante des pieds. |
NOTES: | P. 139. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305388 accreditee |
CONTEXTE: | Lors de son voyage autour de l’île, l’auteur s’intéresse beaucoup à l’agilité des esclaves, en marchant notamment; il essaie comme d’ailleurs de marcher pieds-nus ; ceci le conduit à des observations sur la création du corps humain. |
COTEXTE ET CITATION: | Cette façon d’aller est non seulement la plus naturelle, mais la plus sûre ; le pied saisit comme une main les angles de rochers. Les noirs ont cette partie si exercée qu’ils s’en servent pour ramasser une épingle à terre. Ce n’est donc pas en vain que la nature divisa ces membres en doigts, et les doigts en articulations. [...] En mettant mon pied dans l’eau, j’éprouvai à mes blessures une douleur fort vive. Je renonçai à mon projet, fâché d’avoir perdu un des avantages de la constitution humaine, faute d’exercice. |
NOTES: | P. 227-228. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |