OCCURRENCE: | 101740 accreditee |
CONTEXTE: | On croit qu'Amadis est mort, mais on découvre la vérité assez rapidement. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais ainsi qu'il cuydoit lever l'espée pour le frapper perdit entierement sa force, avec le sentement de tous ses membres, et tumba à terre comme mort. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 234] Voir également le topos SOMMEIL ENCHANTE. |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 101398 chantier |
CONTEXTE: | Josebeth, expliquant à Villeneuve comment il pourra l'épouser (il faut qu'elle se convertisse au christianisme) critique amèrement les rabbins pour leur pratique de la casuistique, laquelle a pour double objet de tenir les membres pauvres de la communauté en respect et de ménager ceux qui tiennent les cordons de la bourse. Il est hors de doute qu'il y a aussi une critique du clergé chrétien, en particulier des Jésuites. |
NOTES: | [(Page) 214] |
SOURCE: | Anonyme, Belle Juive (La) [Histoires tragiques et galantes]. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100720 accreditee |
CONTEXTE: | Amadis est victime de la magie d'Arcalaus. Une inconnue va libérer Amadis de l'enchantement, mais Arcalaus aura le temps de faire croire à la cour de Perion (et surtout à Oriane) qu'Amadis est mort. |
COTEXTE ET CITATION: | Ainsi qu'il cuydoit lever l'espée pour le frapper perdit entierement sa force, avec le sentement de tous ses membres et tumba à terre comme mort. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 234] |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 305388 accreditee |
CONTEXTE: | Lors de son voyage autour de l’île, l’auteur s’intéresse beaucoup à l’agilité des esclaves, en marchant notamment; il essaie comme d’ailleurs de marcher pieds-nus ; ceci le conduit à des observations sur la création du corps humain. |
COTEXTE ET CITATION: | Cette façon d’aller est non seulement la plus naturelle, mais la plus sûre ; le pied saisit comme une main les angles de rochers. Les noirs ont cette partie si exercée qu’ils s’en servent pour ramasser une épingle à terre. Ce n’est donc pas en vain que la nature divisa ces membres en doigts, et les doigts en articulations. [...] En mettant mon pied dans l’eau, j’éprouvai à mes blessures une douleur fort vive. Je renonçai à mon projet, fâché d’avoir perdu un des avantages de la constitution humaine, faute d’exercice. |
NOTES: | P. 227-228. |
SOURCE: | Bernardin de Saint Pierre, Voyage à l’Ile de France. Paris: 1818.Éd. Méquignon-Marvis |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | 305907 accreditee |
CONTEXTE: | Alors que Perceval séjourne chez un ermite, arrive un chevalier avec une jeune fille qu’il bat à coups de bâton. Il l’a enlevée à son ami et veut l'épouser, mais il n’obtiendra rien d’elle. |
COTEXTE ET CITATION: | "Danz prestres, fait il, erranment Venez me espouser ceste dame, Ou, se ce non, se Deus ait m'ame, Vous le conperrez ja molt chier." […] Je le ferai sanz destriier, Mais qu'ele le weille otroier. -- Naie, fait ele, par saint Pol, Ains me lairoie par le col Prendre et les membres esracier". |
NOTES: | Tome II, page 10, v. 7184-7195. Voir aussi p. 9, v. 7156-7168. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |