OCCURRENCE: | 104770 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | La bataille de Jarnac fut donnée sous le règne de Charles IX. Le Prince de Condé, Chef des Huguenots, y perdit la vie, l'Amiral de Châtillon rassembla les débris du combat, et fit jetter dans Cognac, d'Andelot son frère, qui par sa valeur rendit sans fruits la victoire de Monsieur. |
NOTES: | [(Page) 2,39-40/133-34] Slatkine tome 2, p. 39-40 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Amours des grands hommes (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 101740 accreditee |
CONTEXTE: | On croit qu'Amadis est mort, mais on découvre la vérité assez rapidement. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais ainsi qu'il cuydoit lever l'espée pour le frapper perdit entierement sa force, avec le sentement de tous ses membres, et tumba à terre comme mort. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 234] Voir également le topos SOMMEIL ENCHANTE. |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 101384 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Il perdit son emplâtre pendant la mêlée et l'on remarqua qu'il avait le visage aussi beau que la taille. |
NOTES: | [(Partie & Page) 43] Manque le résumé. On fait aussi référence à la page 71 dans Roman comique de Scarron, pour mentionner le topos BELLE_MASQUEE. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Pauvert, Weil M. |
OCCURRENCE: | 305980 accreditee |
CONTEXTE: | Sous la violence de son amour pour Énéas, Lavine s’évanouit. Voir p. 552 des manifestations semblables chez Énéas. |
COTEXTE ET CITATION: | Amor, ne faire tel desroy ! Plus souavet .i. poy me maine ! A icest mot perdi s’alaine et pasme soy. Amour, n’agis pas avec une telle démesure ! Traite-moi avec un peu plus de douceur ! À ces mots, elle perdit le souffle et s’évanouit. |
NOTES: | P. 528, v. 8712-15. |
SOURCE: | Anonyme, Roman d Énéas. Paris: Lettres Gothiques, 1997. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305958 accreditee |
CONTEXTE: | Trahison du portier du château de Roussillonn : sa femme, la chambrière de Berthe, l’épouse de Girart de Roussillon, lui dérobe les clef et les remet à son mari qui livre ainsi le château au roi qui veut s’en emparer. |
COTEXTE ET CITATION: | Laïnc ac un porter mal [e] enreu, Faus crestian, felun plus d’un judeu, E gardet l’une porte e[n] l’at en feu. Autre vez l’ot traïde, el e li seu. Tramet sovent message, sembla[n]t romeu, Del rei la porte aver paraule e breu, Per quei trast son seinor e perdet Deu. Or il y avait dans Roussillon, un portier, homme endurci dans le mal, un mauvais chrétien plus traître qu’un juif : il était commis à la garde d’une des portes de la ville, et il l’avait déjà livrée, autrefois, avec la complicité des siens. A plusieurs reprises, il dépêcha au roi un messager, déguisé en pèlerin, promettant de lui ouvrir la porte et s’y engageant même par écrit. C’est ainsi que, trahissant son seigneur, il perdit sa part de paradis. |
NOTES: | Page 472-73, v. 6238-44. |
SOURCE: | Anonyme, Girart de Roussillon. Paris: Livre de poche, Lettres gothiques, 1993.Édition de W.M. Hackett (1953-55) Traduction de Micheline de Combarieu du Grès et Gérard Guiran. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 100720 accreditee |
CONTEXTE: | Amadis est victime de la magie d'Arcalaus. Une inconnue va libérer Amadis de l'enchantement, mais Arcalaus aura le temps de faire croire à la cour de Perion (et surtout à Oriane) qu'Amadis est mort. |
COTEXTE ET CITATION: | Ainsi qu'il cuydoit lever l'espée pour le frapper perdit entierement sa force, avec le sentement de tous ses membres et tumba à terre comme mort. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 234] |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | SB200147 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | La par poi ne se forcena Mesire Yvains autre feïe, Quant le fontaine ot aprochie Et le perron et le chapele. Mil fois las et dolent se claime, Et chiet pasmés, tant fu dolans ; Et s’espee qui fu coulans Chiet du fuerre, si li apointe Ad mailles du hauberc la pointe Endroit le col, pres de la joe. N’i a maille qu’il ne descloe, Et l’espee du col li trenche Le char desous le maille blanche, Tant qu’il en fist du sanc cheoir. Là, il s’en fallut de peu que monseigneur Yvain ne perdît la raison encore une fois, quand il se fut approché de la fontaine, du perron et de la chapelle. Il se proclame mille fois malheureux et misérable, et il tombe évanoui, tant il est atteint par la douleur. Et son épée, qui était glissante, Tombe du fourreau, et la pointe s’anfonce dans les mailles du haubert au niveau du cou, près de la joue. Il n’y a pas une maille qu’elle ne brise et l’épée lui tranche la peau du cou sous la cotte de mailles brillante si bien qu’elle en fit couler du sang. (267) |
COTEXTE ET CITATION: | Yvain arrive à la fontaine grâce à laquelle il a pu épouser Laudine, maintenant perdue parce qu’il n’a pas respecté sa promesse de revenir de ses tournois au bout d’un an. |
NOTES: | P. 266, vv. 3488-3501 |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |