OCCURRENCE: | 306008 accreditee |
CONTEXTE: | Achille assiste à Troie aux cérémonies et aux jeux en l'honneur d'Hector. À la vue de Polyxène, la fille de Priam et d'Hécube, il tombe amoureux d'elle. |
COTEXTE ET CITATION: | La grant biauté e la faiçon Qu’Achillés vit en la pucele L’a cuit el cuer de l’estencele Qui ja par li nen iert esteinte. L’extrême beauté de la jeune fille et son allure embrasèrent le cœur d’Achille d’une flamme qu’elle ne viendra jamais éteindre. |
NOTES: | P. 416, v. 17553-55. |
SOURCE: | BENOÎT DE SAINTE-MAURE, Le Roman de Troie. Paris: Lettres Gothiques, 1998. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102290 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | "La cassette suivra votre même chemin Toujours sous la terre cachée; Et lorsque vous voudrez l'ouvrir, A peine mon bâton la terre aura touchée Qu'aussitôt à vos yeux elle viendra s'offrir". |
NOTES: | [(Page) 227] GF 1991 |
SOURCE: | Perrault (Charles), Peau d. Histoires ou Contes du Temps p: Paris, 1697. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 102286 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Je vous donne encore ma Baguette En la tenant en votre main, La cassette suivra votre même chemin... A peine mon bâton la terre aura touchée Qu'aussitôt à vos yeux elle viendra s'offrir. |
NOTES: | [(Page) 227] GF 1991 |
SOURCE: | Perrault (Charles), Peau d. Histoires ou Contes du Temps p: Paris, 1697. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 103544 accreditee |
CONTEXTE: | La nuit de ses noces, Tanzaï, plein de désirs, se trouve dépossédé de ses capacités, puis de son pénis, qui disparaît par enchantement. |
COTEXTE ET CITATION: | Tanzaï s'estime accablé par "le plus inouï et le plus cruel des accidents". |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 136, IX] La castration s'effectue ici magiquement. Elle résulte de la transgression d'un interdit et de l'incapacité à la réparer selon les méthodes imposées par la fée. Cette castration sera suivie d'un second accident : l'écumoire donnée à Tanzaï par la fée viendra s'attacher à son bas ventre. |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |
OCCURRENCE: | 105304 accreditee |
CONTEXTE: | Cet épisode prélude aux moyens par lesquels le chevalier va guérir. C'est l'étrange biche qui s'exprime ici. |
COTEXTE ET CITATION: | Ne par herbe, ne par racine ne par mire, ne par poisun N'avras tu ja mes guarisun de la plaie qu'as en la quisse, <CITATION> de si que cele te guarisse ki sufera pur tue amur si grant peine e si grant dolur CITATION> qu'unkes femme tant ne sufri ; e tu referas tant pur li. Nulle herbe, nulle racine, nul médecin, nulle potion ne guériront jamais la plaie de ta cuisse, tant qu'une femme ne viendra pas la guérir, une femme qui souffrira pour l'amour de toi plus de peines et de douleurs que nulle autre amoureuse. Et toi, tu souffriras tout autant pour elle. |
NOTES: | [(Vers & Page) Guigemar, pp. 32-33. vv. 110-117. |
SOURCE: | Le Livre de Poche/Harf-Lancner: Paris, 1990.Lais de Marie de France, Paris, le Livre de Poche, 1990. Traduits et présentés par Laurence Harf-Lancner, qui reprend l'édition de Karl |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305623 accreditee |
CONTEXTE: | Eliduc, suivant sa promesse à Guilliadon, revient au jour fixé pour l'enlever. |
COTEXTE ET CITATION: | Sun chamberlenc apareilla e a s’amie l’enveia, si li manda que venuz fu, bien a son cuvenant tenu; la nuit quant tut fu avespré, s’en eissist fors de la cité; li chamberlens od li ira, e il encuntre li sera. Sur un cheval la fist munter, e il munta, sa resne prent, od li s’en vet hastivement Il donne ses instructions à son chambellan, qu’il envoie à son amie pour lui dire qu’il est arrivé, fidèle à sa promesse: cette nuit quand il fera sombre, qu’elle sorte de la ville avec le chambellan: lui-même viendra à sa rencontre. Il la fait monter à cheval, monte lui-même en selle, saisit les rênes et part au galop avec elle. |
NOTES: | P.306-308, vers 767-774; 806-808. |
SOURCE: | Marie de France, Eliduc. Paris: Lettres Gothiques, 1990.Texte édité par Karl Warnke Traduction par Laurence Harf-Lancner |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |