OCCURRENCE: | 105026 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | "J'avois [...] une telle disposition a bien prendre l'accent de toutes les langues, que comme le fils de mon financier [chez lequel elles est recueillie] avoit des gens aupres de luy pour les luy montrer; j'en appris en peu de temps jusques a l'Allemand meme, avec une merveilleuse facilite. J'avois aussi une grande passion pour la chasse, et enfin jusques-la on n'avoit guere veu de fille mepriser, comme moy, des l'age de dix ans, tous les divertissements du sexe, pour monter a cheval, tirer un pistolet, ou faire quelque autre semblable exercice". |
NOTES: | [(Page) 12] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Boursier N., Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102994 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Un esclave de sa suite remit un billet à l'un de mes gens [...] qui me l'apporta aussi mystérieusement qu'il l'avait reçu. Le Turc avait laisse au maître de langues une cassette dont il était chargé pour elle, avec un billet à la façon des Turcs. Il trouva le moyen de remettre à cette jeune personne un miroir, qui dans une boîte plus grande que celle du marchand, contenait vis-à-vis la glace le portrait d'un homme fort aimable, avec une lettre tendre. Un jeune esclave de sa nation qui a eu l'adresse de faire pénétrer une lettre dans mon sérail. |
NOTES: | [(Page) 61, 100, 190-3 ] |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Desbordes/Didot: Amsterdam / Paris, 1740.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Marsal H., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305803 accreditee |
CONTEXTE: | Platonide croit que son indifférence a poussé Satur à s'engager par désespoir à la guerre, d'où le bruit de sa mort est parvenu. |
COTEXTE ET CITATION: | Se repentant de son ingratutide, elle creut ne pouvoir se purger de cet homicide, dont elle pensoit estre la cause, que par une mort civile qui l'obligeast d'en faire la penitnece jusques à la mort. A raison de quoi elle se jetta dans un cloistre, poussée d'autre part par le murmure des langues qui deschiroient son honneur. |
NOTES: | Page 101. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305706 accreditee |
CONTEXTE: | Fiammette tombe amoureuse de Pamphile |
COTEXTE ET CITATION: | Estant donc, comme je devois contente d’un tel mary, je demouray tresheureuse, jusques à ce que l’Amour furieux, au moyen d’un feu que je n’avois onques senty, entra en ma jeune fantasie. |
NOTES: | La Fiammette amoureuse de M. Jean Boccace gentilhomme florentin : contenant, d'une invention gentile, toutes les plainctes et passions d'amour. Faicte françoise et italienne pour l'utilité de ceux qui désirent apprendre les deux langues par G. C. D. T. [Gabriel Chappuis, de Tours], Paris, Abel L'Angelier, 1585, pp. 4-5 |
SOURCE: | Chappuis Gabriel, La Fiammette amoureuse de M. Jean Boccace gentilhomme florentin. Paris: Abel L'Angelier, 1585. |
CHERCHEUR/E: | Duché, Véronique |