OCCURRENCE: | 101338 chantier |
CONTEXTE: | Malgré des marques de chagrin excessives, la veuve va jusqu'à profaner le cadavre de son ami par amour pour un autre. |
SOURCE: | La Fontaine, Matrone d'Ephèse (La). Denis Thierry ou Claude Barbin: Paris, 1682.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102372 accreditee |
CONTEXTE: | Charlemagne révèle son secret devant le cadavre de son neveu et fils. |
COTEXTE ET CITATION: | "Bels neps, yeu vos ac per lo mieu peccat gran de ma seror e per mon falhimant qu'ieu soy tos payres , tos oncles eyssamant, e vos, car senher, mon nep e mon enfant." Beau neveu, c'est par mon grand péché et ma faute que je vous ai eu de ma propre soeur, que je suis ton père et également ton oncle, et que vous, cher seigneur, êtes à la fois mon neveu et mon fils. |
NOTES: | Laisse 44, p. 336, v. 1624-1626. Traduction de Françoise Denis. |
SOURCE: | Anonyme, Ronsasvals. Gouiran, Lafont / UGE, 10/18: Paris, 1991. |
CHERCHEUR/E: | Dubost F., Rodriguez P. |
OCCURRENCE: | 200151 accreditee |
CONTEXTE: | Blanchefleur dont le château est encerclé par Aguingueron, explique à Perceval que à bout de provisions, elle est sur le point de se rendre. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais certes ainz qu[e] il m’ait vive, M’ocirré je, si m’avra morte, puis ne m’an chaura s’i[l] m’en porte. Non vraiment ! Plutôt qu’il ne m’ait vivante, je me tuerai, il n’aura que mon cadavre. Peu m’importe alors s’il emmène ! |
NOTES: | P. 158, v. 1984-1986 ; trad. p. 159. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200141 accreditee |
CONTEXTE: | Le valet d'un muletier tente de violer la femme de son maître mais elle se défend jusqu'à la mort, ce qui n'empêche pas le méchant d'outrager le cadavre. |
COTEXTE ET CITATION: | Ainsi que la pauvre femme était à son premier sommeil, entra le valet par l'ais qu'il avait rompu dedans son lit, tout en chemise, l'épée nue en sa main. Mais, aussitôt qu'elle le sentit près d'elle, saillit dehors du lit, en lui faisant toutes les remontrances qu'il fut possible à femme de bien. Et lui, [...] en voyant qu'elle courait si tôt à l'entour d'une table et qu'il ne la pouvait prendre, et qu'elle était si forte que, par deux fois, elle s'était défaite de lui, désespéré de jamais ne la pouvoir ravoir vive, lui donna si grand coup d'épée par les reins, pensant que, si la peur et la force ne l'avait pu faire rendre, la douleur le ferait. |
NOTES: | Nouvelle 2, pp. 57-58. |
SOURCE: | Navarre (Marguerite de), Heptaméron. Flammarion: Paris, 1982. |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 104218 accreditee |
CONTEXTE: | La Rancune et l'Olive s'amusent à dépecer le cadavre de l'aubergiste pour jouer un mauvais tour à Ragotin et à leur hôtesse. |
COTEXTE ET CITATION: | Ragotin fut effrayé par "la transmission d'un corps mort d'une chambre à une autre sans aucun secours humain, au moins dont on eût connaissance." |
NOTES: | [(Partie & Page) VII, 243] |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
OCCURRENCE: | 305787 accreditee |
CONTEXTE: | On a retrouvé le cadavre d'une femme noyée. On accuse à tort un mari qui maltraitait sa femme d'avoir commis le meurtre, car cette épouse s'était enfuie. |
COTEXTE ET CITATION: | Le peuple aussi-tost creut que c'estoit la femme de ce meschant homme & qu'aprés l'avoir meurtrie il l'avoit jettee dans la riviere. |
NOTES: | Page 372. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |