OCCURRENCE: | 104896 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | [Le Prince de Maroc] s'engagea si avant dans les détours de ces montagnes, dont les chemins lui étoient inconnus; qu'il fut tué d'un coup de flêche dans les reins; et ce qu'il y eut de deplorable, c'est qu'on n'a jamais pû sçavoir si cette mortelle flêche avoit été décrochée par quelques-uns des ennemis, qui se fût mis e embuscade dans le lieu où le Prince passa, ou si elle étoit partie de la main d'un des soldats qui l'eût lâchée par imprudence. |
NOTES: | [(Page) 50] Slatkine tome 1, p. 420 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. Compagnie des Libraires: Paris, 1720-1. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 103722 accreditee |
CONTEXTE: | Dans ce passage, le héros massacre tous les soldats ennemis. |
COTEXTE ET CITATION: | "Es uns escarbouillait la cervelle, les autres rompait bras et jambes, les autres délochait les spondyles du cou, les autres démoulait les reins, ovallait le nez, pochait les yeux.[...]" |
NOTES: | [(Page & Chapitre & Li) 143, XXV, 65-115] Ce passage est le plus violent de toute l'oeuvre de Rabelais. Un vrai défoulement. |
SOURCE: | Rabelais, Gargantua. La vie inestimable du grand Gargantua.... Paris: Classique Modernes- Le Livre de poche, 1994. |
CHERCHEUR/E: | Garand D. |
OCCURRENCE: | 200141 accreditee |
CONTEXTE: | Le valet d'un muletier tente de violer la femme de son maître mais elle se défend jusqu'à la mort, ce qui n'empêche pas le méchant d'outrager le cadavre. |
COTEXTE ET CITATION: | Ainsi que la pauvre femme était à son premier sommeil, entra le valet par l'ais qu'il avait rompu dedans son lit, tout en chemise, l'épée nue en sa main. Mais, aussitôt qu'elle le sentit près d'elle, saillit dehors du lit, en lui faisant toutes les remontrances qu'il fut possible à femme de bien. Et lui, [...] en voyant qu'elle courait si tôt à l'entour d'une table et qu'il ne la pouvait prendre, et qu'elle était si forte que, par deux fois, elle s'était défaite de lui, désespéré de jamais ne la pouvoir ravoir vive, lui donna si grand coup d'épée par les reins, pensant que, si la peur et la force ne l'avait pu faire rendre, la douleur le ferait. |
NOTES: | Nouvelle 2, pp. 57-58. |
SOURCE: | Navarre (Marguerite de), Heptaméron. Flammarion: Paris, 1982. |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |