OCCURRENCE: | 104238 accreditee |
CONTEXTE: | Le comte de Bourges rassemble ses barons parce qu'il veut se venger de la trahison de sa tante qui l'a séparé de sa femme et l'a obligé à la chercher de ville en ville. La réalisation de cette vengeance va occuper toute la fin du roman. Elle prendra la forme d'un jugement et d'une sentence de mort prononcée par le roi. |
COTEXTE ET CITATION: | Tantost mande tous ses barons Et sez autres hommes, car hons Estoit fiers et de grant puissance. ... Prise li est grant volempté De soy vengier de la contesse S'antain, la mortel traïtresse. |
NOTES: | [(Page & Vers) 207, 6789] |
SOURCE: | Maillart (Jehan), Roman du comte d'Anjou (Le). Mario Roques, Champion: Paris, 1964. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 100382 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | A mesure qu'elle s'avançait vers moi, je sentais mon trouble augmenter et ma timidité renaître. |
NOTES: | [(Page) 101 Folio] Voir aussi: amour rend femme timide muet, Les Egarements (En parlant de Mme de Lursay) "Les conquêtes les plus méprisables sont quelquefois celles qui coûtent le plus de soin; et l'hypocrisie montre souvent plus de scrupules que la vertu même". Cette sentence du narrateur vient juste après l'aveu d'amour que vient de faire Mme de Lursay: "le premier de cette nature que j'aie fait de ma vie". Folio p. 111 (Weil M.) |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 305840 accreditee |
CONTEXTE: | Des brigands ont assassiné une veuve et sa fille pour les voler. Or c'est un prétendant qui avait voulu sans succès l'épouser, qui est accusé et condamné pour ces meurtres. |
COTEXTE ET CITATION: | La populace se pensa mutiner & faire une sedition contre le magistrat, qui fut contraint de precipiter sa sentence, & le condamner à estre roüé tout vif. Supplice qu'il endura, protestant tout haut jusques au dernier souspir (car on le laissa languir & mourir sur la rouë) qu'il n'avoit point commis cet acte. |
NOTES: | Page 431. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305948 accreditee |
CONTEXTE: | Dans ses conseils à l'Amant, Ami vient d'invoquer Juvénal et les clichés misogynes de sa satire VI, avec les accusations traditionnelles sur la cupidité et la luxure des femmes. |
COTEXTE ET CITATION: | Vez ci la regle qu'il en baille : Mais il n'est regle qui ne faille Car des mauvaises entendi, Quant ceste sentence rendi. Voici la règle qu'il énonce sur ce point : mais il n'est pas de règle sans exception, car c'est des mauvaises femmes qu'il voulait parler quand il rendit cette sentence. |
NOTES: | P. 500-501, v. 8306-8310. |
SOURCE: | Guillaume de Lorris et Jean de Meun, Roman de la rose. Paris: Lettres Gothiques, 1992. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |