OCCURRENCE: | 103036 accreditee |
CONTEXTE: | Isabelle est terrifiée par la réapparition de Dom Sanche qu'on croyait mort." |
COTEXTE ET CITATION: | [...] Isabelle pensa mourir de peur et crut que Dom Sanche mort leur apparoissoit pour venger le tort que lui faisoit sa Maistresse". |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 790] Ch. 19. Vérifier édition. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 105032 accreditee |
CONTEXTE: | Artémis est en proie à une jalousie violente; Simas raconte. |
COTEXTE ET CITATION: | [Artémis] retourna chez lui tout furieux, et il dit tant de choses cruelles et offensantes à la pauvre Iphise lorsqu'il a revit, qu'il pensa la desesperer. Plus elle faisoit d'efforts pour remettre la raison dans sa tête, et moins elle y reüssissoit : et comme la reconnoissance lui dictoit mille choses en ma défense, qu'elle ne pouvoit s'empêcher de dire ; Artemis devint enfin si forcené qu'Iphise apprenhenda qu'il ne se portât à quelque resolution violente contre ma vie. |
NOTES: | [(Page & Tome) 326, I] Cie des Libraires p. 250 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104960 accreditee |
CONTEXTE: | Perselide/Ardélie raconte la suite de son histoire à Théocrite : il s'agit de l'enlèvement d'Ardélie de la maison de Diane. |
COTEXTE ET CITATION: | Par la violence du témeraire Hermocrate, je me vis exposée à des malheurs plus grands encore que ceux que j'avois déja éprouvez, et que par une cruauté de ma destinée qui pensa triompher de toute ma constance, je me vis arracher des bras d'un homme que j'aimois, pour être livrée entre ceux d'un autre, qui m'avoit toûjours été odieux. |
NOTES: | [(Page & Tome) 368, 1] Cie des Libraires p. 420 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 103022 accreditee |
CONTEXTE: | Sanchez retrouve son maître avec joie. |
COTEXTE ET CITATION: | Sanchez pensa mourir de joye quand il revit son cher maistre et ne songea plus à retourner dans son Couvent. |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 785, chapitre 19. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 105090 accreditee |
CONTEXTE: | Affects de Dom Carlos. Infidélité de Sophie. |
COTEXTE ET CITATION: | Je suis Sophie, injuste Amant, amant ingrat [...] Sophie n'en pût dire davantage [...] sa merre se pâma d'un costé et Dom Carlos de l'autre [...] Elle embrassa avec toute la tendresse imaginable son cher Dom Carlos qui pensa en évanouir encore. |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 754] Chapitre 14 Réconciliation finale dans "Le juge de sa propre cause". |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 104632 accreditee |
CONTEXTE: | Tristan dialogue avec l'image d'Yseut figurée dans la sène de séparation en train de lui donner son anneau. |
COTEXTE ET CITATION: | Quanqu'il pense a l'image dit ; Poi s'en dessevre un petit, Regarde en la main Ysodt, L'anel d'or doner li volt, Vait la chere e le senblant Qu'au departir fait son amant ; Menbre lui de la covenance Qu'il ot a la desevrance ; Hidonc plure e merci crie De ce que pensa folie, E siet bien que il est deceü De la fole irur que il a eü. Il dit tout ce qu'il pense à l'image puis s'en éloigne un peu. Il regarde la main d'Yseut qui veut lui donner un anneau d'or. Il voit l'expression de son visage au moment où son amant s'en va. Il se souvient du serment prononcé lors de cette séparation. Il pleure donc et lui demande pardon pour ses pensées ineptes. Il sait bien qu'il a été égaré par une colère qui l'a rendu fou. |
NOTES: | [(Page & Vers) 33-40] manuscrit de Turin |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Paris: Le livre de poche, 1989.no. 4521 |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 103750 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin est parvenu à la hutte de feuillage que Nicolette a construite au coeur de la forêt et d'émotion, tombe de cheval. |
COTEXTE ET CITATION: | Il mist le pié fors de l'estrier por descendre et li cevaus fu grans et haus ; il pensa tant a Nicolete se tres douce amie qu'il caï si durement sor une piere que l'espaulle li vola hors du liu. |
NOTES: | [(Page) 118] |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104528 accreditee |
CONTEXTE: | Dom Pèdre apprend la fuite de Sylvie. |
COTEXTE ET CITATION: | Il fut transporté de colère...Il fit, et il dit mille extravagances; il vouloit tuer les gens qui m'avoient si mal gardée, et il pensa même perdre toute considération pour le jeune homme qui m'avoit prêté ses habits. Mais aprés tout cela, il fallut qu'il prît patience, et qu'il allât chercher parmi les Belles de Bruxelles, de quoi se consoler de ma perte. Il eut envie d'envoyer aprés moi, et se mit lui-même en devoir de me quereller mais outre qu'il ne sçavoit point la route que j'avois prise, on ne fait pas impunément des violences en païs Neutre; et s'il avoit entrepris de m'enlever ouvertement, il auroit trouvé des gens, qui par l'interêt de leurs privilèges, auroient tâché de l'empêcher. |
NOTES: | [(Page) 352-3] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100736 accreditee |
CONTEXTE: | Une fée a prédit que l'héroïne aimerait sans voir, ce qui sera le cas. |
COTEXTE ET CITATION: | La fée a jeté un petit billet dans la chambre de la Princesse: "Florinde est née avec beaucoup d'appas, Mais son malheur doit estre extrême, <CITATION> S'il faut qu'un jour elle aime L'Amant qu'elle ne verra pas CITATION>." Et nous apprenons que par rapport au rosier (prince métamorphosé), "[p]eu à peu elle souffrit qu'il luy parlast d'amour" (pp 25-6), puis elle "ne pensa plus à autre chose. [...] il luy échappoit mesme de dire des choses trop tendres au Prince..." (pp. 26-7). |
NOTES: | [(Page) 13] Ed. Piva p. 349, 353-3 Topos de base, c'est aussi le ressort de toute une thématique à travers ce conte. |
SOURCE: | Bernard Catherine, Inès de Cordoue. Chez Martin & Georges Jouvenal: Paris, 1696. |
CHERCHEUR/E: | , Godwin D. |
OCCURRENCE: | 103042 accreditee |
CONTEXTE: | La Caverne est profondément affligée par la mort de sa mère. |
COTEXTE ET CITATION: | Ma mère en pensa mourir de déplaisir, en retomba malade et j'en fus affligée autant qu'une fille de mon âge le pouvait estre. |
NOTES: | [(Partie & Page) 2, 683] Ch. 3. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Riou D. |
OCCURRENCE: | 103748 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin va rejoindre Nicolette au coeur de la forêt et perdu dans sa pensée d'elle, ne sent pas les blessures causées par les ronces et les épines. |
COTEXTE ET CITATION: | Ne quidiés mie que les ronces et les espines l'esparnaiscent. Nenil nient! ains li desronpent ses dras qu'a painnes peust on nouer desu el plus entier, et que li sans li isci des bras et des costés et des ganbes en quarante lius u en trente, qu'après le vallet peust on suir le trace du sanc qui caoit sor l'erbe. Mais il pensa tant a Nicolette sa douce amie, qu'i ne sentoit ne mal ne dolor. |
NOTES: | [(Page) 114] |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 100230 accreditee |
CONTEXTE: | La Rappinière croit surprendre et saisir sa femme qu'il soupçonne à tort d'infidélité. Il se bat en fait avec une chèvre. |
COTEXTE ET CITATION: | Il appela sa femme et on ne lui répondit point. Avoir quelque soupçon, se mettre en colère, se lever de furie, ne fût qu'une même chose. A la sortie de sa chambre, il entendit marcher devant lui [...] Il se trouva si près de celui qu'il suivait qu'il crut lui marcher sur les talons. Il pensa se jeter sur sa femme et la saisir en s'écriant "Ah ! putain!" Ses mains ne trouvèrent rien [...] Il cria effroyablement au meurtre [...] toute la maison vint à son aide en même temps, [...] et mademoiselle de la Rappinière vint la dernière et fut bien étonnée, aussi bien que les autres, de trouver son mari tout furieux, luttant contre une chèvre. |
NOTES: | [(Partie & Page) I, 4, 73] Référence dans les Editions Classiques Garnier[1973] 11-12. Voir aussi topos quiproquo_nocturne |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100606 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur évite à une jeune fille d'entrer au couvent où ses parents veulent l'envoyer afin de mieux marier son frère. |
COTEXTE ET CITATION: | "Ne craignait rien(lui dis-je), Mademoisele. Je vais vous procurer un asile.- Je l'enveloppai de mon manteau; je dis à la domestique d'aller lui chercher quelques habits, et de lui donner des souliers, attendus qu'elle avait les pieds blessés par des éclats de bouteille cassée.[...] On donna des habits à la jeune personne; on visita ses peids, dont elle soufrait beaucoup, on les pensa, et on l'envoya dans la communauté qui recevait les protegées de la Marquise". |
NOTES: | [(Page & Nuit) p.154-55 , 112e nuit] |
SOURCE: | Rétif de la Bretonne, Nuits de Paris (Les) ou le spectateur nocturne. Paris: Gallimard, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Meljac S. |
OCCURRENCE: | 100472 accreditee |
CONTEXTE: | Le Destin sauve La Rappinière attaqué par "sept ou huit braves". |
COTEXTE ET CITATION: | Comme ils passaient du tripot sous les halles, ils furent investis par sept ou huit braves, l'épée à la main. La Rappinière, selon sa coutume, eut grande peur et pensa bien avoir quelque chose de pis, <CITATION> si Destin ne se fût généreusement jeté au-devant d'un coup d'épée qui lui allait passer au travers du corps ; il ne put pourtant si bien parer qu'il ne reçût une légère blessure dans le bras.CITATION>" |
NOTES: | [(Partie & Page) 9] 43-44 Folio Autres occurrences à vérifier Scarron Roman comique 103-104 Folio Weil M - Pauvert Le Destin est attaqué par hasard par ses valets, et sauvé par hasard par des religieux passant par là. |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Monteil, Weil M. |
OCCURRENCE: | 200227 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin oublie ses rênes en pensant à Nicolette, tombe de cheval et se démet l'épaule. |
COTEXTE ET CITATION: | pensa tant a Nicolete sa douce amie qu'il oublia ses resnes et quanques il dut faire. Et li cevax qui ot senti les esperons l'en porta par mi le presse, se se lance tres entre mi ses anemis. Il pensait tellement à Nicolette, sa douce amie, qu'il en oubliait ses rênes et tout ce qu'il devait faire. Son cheval qui avait senti la piqûre des éperons, l'emporta au coeur de la mêlée au beau milieu de ses ennemis. |
NOTES: | P. 68. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 305408 accreditee |
CONTEXTE: | Madame de Clèves a eu entre les mains une lettre attribuée à Nemours et adressée à une femme. Persuadée que Nemours a une maîtresse et vivement affectée à cette idée, elle feint d'être malade pour ne voir personne. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle ne pensa guère à l'ordre que Mme la Dauphine lui avait donné de se trouver à son coucher, elle se mit au lit et feignit de se trouver mal ; en sorte que, quand M. de Clèvres revint de chez le roi, on lui dit qu'elle était endormie. |
NOTES: | Page 311. |
SOURCE: | La Fayette (Mme de), Princesse de Clèves (La). Paris: Garnier, 1961.dans Romans et Nouvelles, édition d\'Émile Magne |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 200231 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin, en quête de Nicolette, la cherche dans la forêt où elle s'est réfugiée et arrive à la hutte de feuilles qu'elle a construite. |
COTEXTE ET CITATION: | Il mist le pié fors de l'estrier por descendre, et li cevaus fu grans et haus ; il pensa tant a Nicolete se tresdouce amie qu'il caï si durement sor une piere que l'espaulle li vola hors du liu. Il sortit le pied de l'étrier pour descendre, mais son cheval était grand et haut, et Aucassin pensait tant à Nicolette sa très douce amie, qu'il tomba lourdement sur une pierre au point de se démettre l'épaule. |
NOTES: | P. 118-119. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305507 accreditee |
CONTEXTE: | La Fière a admiré le comportement d’Ipomédon à la chasse et serait presque prête à se laisser aller à l’aimer. Elle l’invite à s’asseoir auprès d’elle à table et leur échange de regards enflamme le jeune homme. |
COTEXTE ET CITATION: | Mult s’entregardent longement. Li vallet veit, qe doucement L’ad regardé & de bon oil, Qu’il ne pot rens noter d’orgoil : De li pensa, qe ne pot estre, K’ele fu trop de sun quer mestre ; Si n’est il mie, car amur L’ad ja saisi & mis al tur. |
NOTES: | P. 13, v. 777-784. |
SOURCE: | Hue de Rotelande, Ipomedon. Slatkine: Genève, 1975.Réimpression de l'édition de E. Kölbing, Breslau, 1889 |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305641 accreditee |
CONTEXTE: | Bien qu'il ait promis le secret de ses relations avec son amie, Graelent se vante d'avoir une amie plus belle que la reine. En conséquence, il perd toute relation avec cette dernière. |
COTEXTE ET CITATION: | Graalant est pris et tenuz, Mieus li venist estre teüz; Au roi a demandé respit, Bien s’aperçoit qu’il a maudit. S’amie cuide avoir perdue, Il est bien droiz qu’a mal li tort. On se saisit de Graelent, il aurait mieux valu qu’il se tût! Il demanda au roi un délai, voyant bien qu’il avait parlé avec imprudence. Pour cela, il pensa avoir perdu son amie, il transpirait de colère et de dépit. Certes, c’était bien justice que cela tournât mal pour lui. |
NOTES: | V.503-509. |
SOURCE: | Anonyme, Lai de Graelent. Genève: Slatkine Reprints, 1976 (1928).Margaret Grimes, éditrice. Trad.: Danielle Régnier-Bohler, Le Coeur mangé, Paris, Stock-Moyen Age, 1994. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305707 accreditee |
CONTEXTE: | Lucresse tombe amoureuse de Eurialus |
COTEXTE ET CITATION: | Le dieu d’amours les [Eurialus et Lucresse] navra bien soudain,/ Quand de son dart leurs deux cueurs transpersa./ L’oneesteté de Lucresse et le train/ Par ung trait d’eul vitement rencersa,/ Car la dame de bien aymer pensa/ Ung estrangier que jamés n’avoit veu/ Et son mari hors de s’amour lansa. |
NOTES: | Eneas Silvius Piccolomini, L’ystoire de Eurialus et Lucresse, trad. Octovien de Saint-Gelais, in Eneas Silvius Piccolomini, Œuvres érotiques, éd. Frédéric Duval, Turnhout, Brepols, 2003, p. 95 |
SOURCE: | Choisy (Abbé François de), Histoire de la marquise-marquis de Banneville. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Duché, Véronique |
OCCURRENCE: | 305767 accreditee |
CONTEXTE: | Le père de Paulin arrange un mariage pour son fils afin de le détourner de celle qu'il aime, Lucrèce, la fille de son ennemi. |
COTEXTE ET CITATION: | Il avoit une fille que de longue main il destinoit pour femme à son fils, luy semblant que ce party estoit fort convenable : elle estoit belle & vertueuse, & dont les commoditez n'estoient point à mespriser. Il pensa qu'il estoit temps de conclurre ce mariage. |
NOTES: | Page 282. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305830 accreditee |
CONTEXTE: | Par jalousie, Gordian tuera sa femme qui est innocente et la servante de celle-ci qu'il croit complice. |
COTEXTE ET CITATION: | Crescentin qui étoit d'humeur vaine, & qui au lieu de celer les véritables faveurs en publioit de fausses, se vanta un jour à quelqu'un de sa connoissance qui estoit des amis de Gordian, qu'il avoit bonne part aux graces de la maistresse dont il cajoloit la servante. Cet ami en donna avis à Gordian, qui sans examiner davantage l'affaire, se crut trahi & ne pensa plus qu'à se venger. |
NOTES: | Page 196. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305840 accreditee |
CONTEXTE: | Des brigands ont assassiné une veuve et sa fille pour les voler. Or c'est un prétendant qui avait voulu sans succès l'épouser, qui est accusé et condamné pour ces meurtres. |
COTEXTE ET CITATION: | La populace se pensa mutiner & faire une sedition contre le magistrat, qui fut contraint de precipiter sa sentence, & le condamner à estre roüé tout vif. Supplice qu'il endura, protestant tout haut jusques au dernier souspir (car on le laissa languir & mourir sur la rouë) qu'il n'avoit point commis cet acte. |
NOTES: | Page 431. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |