OCCURRENCE: | 100980 accreditee |
CONTEXTE: | Mathilde, fille de la mère tutélaire d'Eléonor, devient amoureuse, elle aussi, de Misnie à force de le voir souvent. |
COTEXTE ET CITATION: | [Mathilde] vit la difference de leur estat et du sien; elle conceut le plaisir qu'il y avoit d'estre aimée (...). Elle souhaitoit de trouver un Amant comme luy (Misnie), & elle sentoit, que s'il ne luy avoit pas precisément ressemblé, il ne luy auroit pas plû. Ce sentiment ne luy donna d'abord qu'une mélancolie qui ne laissoit pas d'avoir sa douceur, mais lors qu'elle vint à en connoistre la nature, elle en eut une douleur tres-vive". |
NOTES: | Edition Piva p. 184, Edition Pléiade p. 932. Misnie aime cependant Eléonor. Cette rivale mourra d'une maladie provoquée par le chagrin d'amour. |
SOURCE: | Pure (Abbé Michel de), Pretieuse (La) ou le mystere des ruelles. Paris: Droz, 1938.Édition d\'Émile Magne |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 100978 accreditee |
CONTEXTE: | Misnie devient amoureux d'Eléonor à force de la voir souvent. |
COTEXTE ET CITATION: | "<CITATION>...& le Duc de Misnie y alloit seulement faire visite à sa Mere, & à la Comtesse (...). Il vit Eleonor chez l'une & chez l'autre, & il ne fut pas longtemps sans remarquer qu'elle seroit d'une admirable beauté. (...) & il sentoit un commencement d'amour ...CITATION>" |
NOTES: | Edition Piva p. 183, Edition Pléiade p. 931 |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 103748 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin va rejoindre Nicolette au coeur de la forêt et perdu dans sa pensée d'elle, ne sent pas les blessures causées par les ronces et les épines. |
COTEXTE ET CITATION: | Ne quidiés mie que les ronces et les espines l'esparnaiscent. Nenil nient! ains li desronpent ses dras qu'a painnes peust on nouer desu el plus entier, et que li sans li isci des bras et des costés et des ganbes en quarante lius u en trente, qu'après le vallet peust on suir le trace du sanc qui caoit sor l'erbe. Mais il pensa tant a Nicolette sa douce amie, qu'i ne sentoit ne mal ne dolor. |
NOTES: | [(Page) 114] |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |