OCCURRENCE: | 102082 chantier |
CONTEXTE: | Le héros pour venir à bout de son impuissance, effet d'un mauvais sort, doit coucher avec une horrible vieille. Il s'y résoud non sans difficultés. Il accomplit enfin la besogne, plus de treize fois consécutives dans la meme nuit, grace aux vertus magiques d'un auxiliaire, l'eau de santé. |
NOTES: | artfl 17, 157-161 Cette occurrence est une variante du topos "viol "mais ici l'acte sexuel n'est pas subi par le personnage. Celui-ci doit se faire violence pour accepter l'acte sexuel auquel il doit prendre une part très active. L'obstacle dont le personnage doit triompher est la répulsion physique. Sa femme vivra la même épreuve mais l'obstacle sera moral, la vertu. |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |
OCCURRENCE: | 100834 accreditee |
CONTEXTE: | Tristan se déguise en lépreux pour approcher la reine sans être reconnu dans l'épisode du gué. |
COTEXTE ET CITATION: | Tristran, li suens amis, ne fine, Vestu se fu de mainte guise: Il fu e legne, sanz chemise; De let burel furent les cotes Et a quarreaus furent ses botes. Une chape de burel lee Out fait tallier, tote enfumee. Affublez se fu forment bien, Malade senble plus que rien;" En français moderne : "Tristan, son ami, s'active. Il avait revêtu de curieux vêtements. Il portait un habit de laine, sans chemise; sa tunique était en bure grossière et ses bottes étaient rapiécées. Il s'était fait tailler un manteau de bure grossière, tout noirci de fumée. Il s'était fort bien déguisé et ressemblait parfaitement à un lépreux." |
NOTES: | Page 188, v. 3566-3574 ; trad. p. 189. |
SOURCE: | Béroul, Le Roman de Tristan. Paris: Livre de Poche, Lettres gothiques, 1989.Édition D. Lacroix et Ph. Walter. |
OCCURRENCE: | 104290 accreditee |
CONTEXTE: | Milord propose à son ami de chercher le repos de l'âme dans l'agitation d'une vie active. |
COTEXTE ET CITATION: | Nous avons beau faire l'un et l'autre ; la raison seule ne vous rendra pas la raison. Il faut qu'une multitude d'objets nouveaux et frappants vous arrachent une partie de l'attention que votre coeur ne donne qu'à celui qui l'occupe. Il faut pour vous rendre à vous même que vous sortiez d'au-dedans de vous, et ce n'est que dans l'agitation d'une vie active que vous pouvez trouver le repos. |
NOTES: | Tome I, page 465 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |