OCCURRENCE: | 103434 accreditee |
CONTEXTE: | L'inconnu, qui lui-même avait enlevé Misrie en la prenant pour Ostiane, la défend contre un groupe de sauvages. Il sera renversé d'un coup d'épée. |
COTEXTE ET CITATION: | Ces paroles portèrent le désespoir dans le coeur de l'inconnu ; il avait encore son épée. Non, madame, dit-il en la tirant : je verserai tout mon sang avant que vous exécutiez une résolution si terrible ; je ne vois plus à présent que ma chère Ostiane. |
NOTES: | [(Page& Partie) 246, livre IV] C'est la première fois que le défenseur du faible trouve la mort |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 103602 accreditee |
CONTEXTE: | La cruelle Zéloya exige la mise à mort d'Almanzor, fils à la reine Almanzaïre sa rivale. |
COTEXTE ET CITATION: | Zéloya veut ta vie, faible et malheureux innocent. |
NOTES: | [(Tome& Lettre& Page) III, I, 182-3] |
SOURCE: | Gomberville (Marin le Roy), Polexandre. Augustin Courbé: Paris, 1637.Le texte est accessible par Google Plus. |
CHERCHEUR/E: | Bertaud M. |
OCCURRENCE: | 104392 accreditee |
CONTEXTE: | Frédelingue est faible par sa situation de Français en Angleterre, de paysan (déguisement) et bien sûr par sa blessure. |
COTEXTE ET CITATION: | "Quand il sut que j'étais blessé, je le vis s'alarmer pour moi et se donner tous les soins obligeants. Il me fit coucher ; car à peine pouvais-je me soutenir. On mit un appareil à ma blessure." |
NOTES: | [(Page& Partie) 214, IV] [ancien AIDE_DU_faible_AGRESSE]Voir aussi RECEVOIR_AIDE_D'ENNEMI |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 100590 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur réconforte un homme qui se croit damné. L'aide est ici morale plus que matérielle. L'homme est faible en ce sens qu'il apparaît fortement ébranlé par ce que lui a dit son confesseur. |
COTEXTE ET CITATION: | "Je m'approche de cet infortuné, que je reconnu à son langage pour un Auvergnat...- Malheureux! qu'avez-vous? D'où vient cette chaine...cet air effrayant!- Je suis danna! Mon confeseur me l'a dit. Il vous a dit aussi, que Dieu était misericordieux! Quel que soit le crime que vous avez commis, avec repentir, le changeemnt, des efforts pour réparer le mal, il est rémissible.". |
NOTES: | [(Page & Nuit)p.121, 80e] |
SOURCE: | Rétif de la Bretonne, Nuits de Paris (Les) ou le spectateur nocturne. Paris: Gallimard, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Meljac S. |
OCCURRENCE: | 104342 accreditee |
CONTEXTE: | Clorante raconte à Caliste comment il est tombé dans une rivière alors qu'il était à la recherche de son aimée pendant la nuit. |
COTEXTE ET CITATION: | "Je partis en désespéré pour la suivre, et j'avais marché une partie de la nuit, quand traversant une rivière je me trouvai si faible que je tombai de mon cheval." |
NOTES: | [(Page& Partie) 37, I] Le personnage utilise le mot "naufrage" (p. 38) pour décrire son accident, une presque noyade. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 104374 accreditee |
CONTEXTE: | Parménie est sauvée de l'incendie de la maison de sa nourrice. |
COTEXTE ET CITATION: | "[...] mais j'avais été sauvée. Dans les dangers les plus grands il est toujours des gens qu'une générosité naturelle, ou la pitié fait voler au secours des malheureux." |
NOTES: | [(Page& Partie) 133, II] Le faible est un enfant; l'agresseur est le feu d'un incendie. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 100478 chantier |
CONTEXTE: | Une deuxième fois, Isabelle de Cerde est sauvée, mais à présent c'est par le comte de Foix (le père de Gaston et de Bernard). Le comte, libertin, (le texte le rappelle en plusieurs endroits) tombe amoureux d'Isabelle. L'amour que ressentent ses fils augmente aussi de la voir pâle, faible et languissante. Don Rodrigue de Santillane enlève Isabelle de Castille et l'entraîne jusqu'en Béarn. Le comte de Foix le châtie d'un coup d'épée sur le crâne. C'est d'une de ses agressions précédentes que les frères avaient délivré la première fois Isabelle. |
NOTES: | [(Page) 3.201-3] |
SOURCE: | Anonyme, Gaston Phébus, comte de Foix, nouvelle. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103994 chantier |
CONTEXTE: | Zéloya, qui s'est fait épouser par le faible Zabaïm, furieuse de le voir épris de la belle Axiamire (en fait Cydarie) veut la faire périr. |
NOTES: | [(Tome& Lettre& Page) III, III, 436-38] |
SOURCE: | Gomberville (Marin le Roy), Polexandre. Augustin Courbé: Paris, 1637.Le texte est accessible par Google Plus. |
CHERCHEUR/E: | Bertaud M. |
OCCURRENCE: | 102938 accreditee |
CONTEXTE: | Emmander porte secours à une femme qu'on enlève sous ses yeux. Les agresseurs le blessent et il ne sait pas ce qu'il advient de celle qu'il voulait sauver. |
COTEXTE ET CITATION: | Ces mots et la compassion qu'elle m'a faite m'ont engagé à la défendre. J'ai couru sur ses ravisseurs ; trois d'entre eux se sont détachés, pendant que l'autre retenait la jeune fille. Nous nous sommes battus, je les ai blessés : mais enfin je suis tombé dans mon sang, et j'ai perdu connaissance. |
NOTES: | [(Page& Partie) 296, V] Dans ce roman la plupart des occurrences de l'aide au faible sont des échecs. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 103936 chantier |
CONTEXTE: | Dans "L'obeyssance filiale", peu après l'adoption de Thaumaste, enfant trouvé, sa mère adoptive donne naissance à Anatole, de faible constitution. |
NOTES: | [(Page & Chapitre & To) 311-328, 8, II] |
SOURCE: | Camus (Jean-Pierre), Evénements singuliers (Les). J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 104394 accreditee |
CONTEXTE: | Frédelingue est faible par sa situation de Français en Angleterre |
COTEXTE ET CITATION: | "Quand il sut que j'étais blessé,<CITATION> je le vis s'alarmer pour moi et se donner tous les soins obligeantsCITATION>. Il me fit coucher; car à peine pouvais-je me souteni. On mit un appareil à ma blessure." |
NOTES: | [(Page& Partie) 214, IV] . [ancien AIDE_DU_faible_AGRESSE] [EG] Voir aussi: HOMME_AIDER_HOMME |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 103472 chantier |
CONTEXTE: | Lorsque Des Frans rencontre Silvie, le "coeur" lui manque, sa "pâleur" témoigne de son "altération" et fait craindre pour sa santé. Blessé encore par la trahison de Silvie, il est d'abord paralysé par ses émotions. |
COTEXTE ET CITATION: | Je me trouvai dans un état si pitoyable, et si faible, que je fus obligé de frapper à deux portes de [???] où je vis de la lumière, d'où j'envoyai chercher une chaise pour me rapporter au logis." |
NOTES: | [(Page & Partie) H 6] |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Genève: Droz, 1991.Edition Frédéric Deloffre et Jacques Cormier |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | SB200088 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | "[...]le plus cruel pour moi serait que madame de Suffolk pût penser que je l'ai vue sans émotion ... et qu'il me fût toujours défendu de lui dire ce que je n'ose à présent lui prononcer. |
COTEXTE ET CITATION: | Dans une lettre à la duchesse de Suffolk, Lord Chester fait un aveu ambigu, évoquant la duchesse à la troisième personne. La duchesse comprend qu'elle est aimée et Chester ne la dissuade pas de cette conviction. Une fois amoureuse, Mme de Suffolk devient faible et plus facile à manipuler. |
NOTES: | Édition avec Introduction de Jean DAGEN, Paris, Desjonquères, 1995, p. 105. Lord Chester promet d'épouser Mme de Suffolk. Il faudrait chercher la citation. |
ANNOTATION: | ACCREDITATION |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Heureux orphelin (Les). [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 305082 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | J'ai tâché de renfermer un sens moral dans les choses qui paraissent les plus dereglées....Il est quelquefois dangereux de ne faire qu'une faible ébauche du vice. |
NOTES: | [(Page ) 7-8/np. Avant-, 3] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.OEuvres complètes. 12 tomes. Paris: Compagnie des |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | WW305103 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | Robert dit à Valentine que sa piété est faible puisqu'elle n'a pas réussi à attirer Hortense à leur dévotion. Le but des Fraticelles étant d'obtenir de l'argent d'Hortence |
NOTES: | [(Page & Tome) 52/183-84, 3] VARIANTE. Un personnage cherche à profiter de son autorité morale dans un but malhonnête abuser de la crédulité d'un personnage |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). 1670. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305561 accreditee |
CONTEXTE: | M. de Nemours fuit la cour et prétexte la convalescence pour s'enfermer dans la chambre de M. de Clèves et y voir la princesse. |
COTEXTE ET CITATION: | M. de Clèves fut malade à peu près dans le même temps. Mme de Clèves ne sortit point de sa chambre pendant son mal; mais, quand il se porta mieux, qu'il vit du monde, et entre autres M. de Nemours qui, sur le prétexte d'être encore faible, y passait la plus grande partie du jour, .... |
NOTES: | p. 295 |
SOURCE: | La Fayette (Mme de), Princesse de Clèves (La). Paris: Bordas, 1990.dans Roman et Nouvelles, édition Alain Niderst |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305609 accreditee |
CONTEXTE: | A la mort du père d’Ille, Hoël en profite pour s’emparer des terres qu’il convoite. Dépouillé de tout et sans défense de la part de son seigneur, Ille s’en va chercher aventure ailleurs. |
COTEXTE ET CITATION: | Illes n’ot adont que .X.ans. Por le pere, qui si fu preux, Le het Oiaus o ses neveus ; [Mais ne li mostroit tant ne quant. Or le violt mostrer son enfant.] De totespars li corent seure ; Ille escillierent li baron. Onques del frer Galeron, Del foible duc, ne fu tensés. Et li varlés s’est porpensés Qu’il en ira au roi de France. Cele part vait sans demorance Ille n’avait alors que dix ans. Les éminentes qualités de son père avaient attiré sur lui la haine d’Hoël et de ses neveux ; une haine qu’Hoël dissimulait soigneusement au père, mais qu’il veut maintenant manifester au fils. De tous côtés, l’on fond sur lui, et on l’a vite anéanti. Les barons dépouillent Ille, sans que le frère de Galeron, le faible duc, intervienne pour le protéger. Le jeune garçon décide alors de se rendre auprès du roi de France et se met aussitôt en chemin. |
NOTES: | P. 35-36, vers 150-160. |
SOURCE: | Gautier d"Arras, Ille et Galeron. Paris: H.Champion, 1988.Edition Yves Lefèvre. Traduction Delclos et Quereuil, Paris, Champion, 1993 |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |