Satorbase
La Sator
Historique
Conseil d'administration
Membres honoraires
Prix
Membres
Répertoire
Cotisations
Accueil
FAQ (Sator)
Colloques
Documents
Articles des actes
Prépublications
Outils théoriques
Liens
Nous contacter
Catégories
Tous les topoï
Toutes les oeuvres
Mon Profil
Login
2 OCCURRENCES:
OCCURRENCE:
104980
chantier
CONTEXTE:
COTEXTE ET CITATION:
Birague
se
trouvoit
un
jour
plus
fatigu
é que de coû
tume
, de la
presence
de
Signac
; il luy
donna
un dé
menti
dans
ma
chambre
, sur une
chose
indifferente
qu'il
venoit
de
dire
lui-même
comme
Signac
la
contoit
.
Signac
ne
voulut
point
repousser
cette
injure
chez
moy; et me
donna
en
cela
une
grande
marque
de
respect
; car ce n'é
toit
pas
faute
de
bravoure
. Je fis
avertir
Monsieur
le Maré
chal
d'
Estr
ées prés de qui je
logeois
, et
leur
fit
donner
des
Gardes
....Mme d'
Englesac
sceut
cette
querelle
, et ne
manqua
pas d'en
faire
une
nouvelle
matiere
à ses
calomnies
.
Mais
j'eus la
consolation
d'
estre
dé
faite
au
moins
pour
un
temps
de ces
deux
importuns
; car
Birague
fut
envoy
é
trois
mois
au
Fort
-l'Evêque, et je fis
convenir
Signac
, que
pour
ne pas me
commettre
aux mé
disances
de la
vieille
Comtesse
il ne
viendroit
plus
chez
moi.
NOTES:
[(
Page
) 183-4]
SOURCE:
Villedieu
(Mme de),
Desjardins
,
Mé
moires
de la Vie de
Henriette
Sylvie
de
Moli
ère
.
Paris
:
1671
-72.
CHERCHEUR/E:
Kuizenga D.
OCCURRENCE:
105002
accreditee
CONTEXTE:
La
ruse
dont
Signac
se
sert
pour
ramener
Englesac
à
Sylvie
: il
vient
à sa
chambre
à
minuit
, lui
disant
qu'il a
trouv
é un
secret
pour
la
rendre
amoureuse
(il y mène
Englesac
).
COTEXTE ET CITATION:
Il ajoûta
encore
tant
d'
autres
choses
capables
de me fâ
cher
,
quoyqu
'il les
pronon
çât d'un air qui ré
pondoit
de ses
bonnes
intentions
, que je me
resolus
enfin
à lui
faire
ouvrir
;
mais
c'é
toit
aprés m'être
saisie
d'une épée
pour
le
recevoir
,
comme
je
croyois
que
cette
insolence
meritoit
; O ! qu'on lui
ouvre
donc
, m'é
criay
-je, et
voyons
quel
est son
dessein
. Je
croy
franchement
que je ne l'
eusse
point
é
pargn
é
dans
la
colere
où j'é
tois
. "
Helas
!
Madame
, que les
armes
me
tomberent
promptement
des
mains
à la
veue
du
Comte
d'
Englesac
".
NOTES:
[(
Page
) 176] La
violence
potentielle
est
simul
ée; il ne s'
agit
pas d'
ailleurs
forc
é
ment
de
viol
.
SOURCE:
Villedieu
(Mme de),
Desjardins
,
Mé
moires
de la Vie de
Henriette
Sylvie
de
Moli
ère
.
Paris
:
1671
-72.
CHERCHEUR/E:
Kuizenga D.