OCCURRENCE: | 100486 accreditee |
CONTEXTE: | L'auteur explique l'hypocrisie du rabbin Ephraïm Ben Manasse. |
COTEXTE ET CITATION: | Comme le monde n'est composé que de mines, il n'y avait point pour tout que de la superficie dans la probité de ce Juif; et il était du nombre de ces méchants qui ne sont jamais plus dangereux que quand ils ont un peu de bonté. |
NOTES: | [(Page) 166] |
SOURCE: | Anonyme, Belle Juive (La) [Histoires tragiques et galantes]. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 202656 accreditee |
CONTEXTE: | Passage du "Fragment d'une lettre" qui ouvre le roman. |
COTEXTE ET CITATION: | Puis de quoy veut-il que je lui (au libraire) compose une preface, je n'ay plus rien à dire aux Lecteurs, et j'ay tout dit en leur abandonnant la belle Histoire que vous faites imprimer. |
NOTES: | P. 1-2. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305661 accreditee |
CONTEXTE: | Au cours de son périple en quête du Graal et de la Lance qui saigne, Perceval est parvenu au château de Beaurepaire où il avait laissé Blanchefleur dans le "Conte du Graal" de Chrétien de Troyes dont Gerbert de Montreuil compose la continuation. Leur désir et leur amour mutuel les conduit au mariage, ce qui est incompatible avec la pureté que doit préserver Perceval s'il veut réussir sa quête. À la demande de Blanchefleur, ils se voueront donc à un mariage chaste. |
COTEXTE ET CITATION: | Chascuns a a Jesus requis Que il en tel estat le tiegne Que il a bone fin parviegne, Et si les gart en chasteé Sanz brisier lor virginité. A tant se sont andoi couchié, Mais l’uns n’a a l’autre tochié Dont il aient carnel amour. |
NOTES: | Tome I, page 210-211, v.6868-6875. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305869 accreditee |
CONTEXTE: | Un vieillard époux d’une jeune femme se laisse convaincre par un ennemi du jeune homme que l’auteur d’une satire contre les maris âgés et trompés est le maître de musique Cecilian. Il va le tuer par vengeance. |
COTEXTE ET CITATION: | Pour se deffaire de cet importun musicien, le diable luy mit dans le cœur de faire croire à Alpho qu’il cognoissoit que c’estoit Cecilian qui avoit composé la satyre, & sceut colorer cette calomnie de tant d’apparences que ce vieillard la prit pour verité. Aussi-tost braves en campagne, qui depescherent le pauvre Cecilian faisant serenade, & l’envoyerent chanter aux champs Elisees. |
NOTES: | Page 16. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |