OCCURRENCE: | 305808 accreditee |
CONTEXTE: | L'actrice Lavivia explique à son gendre, un Napolitain de bonne famile, comment elle a échangé sa fille contre celle du seigneur Dom Antonio Fiori. |
COTEXTE ET CITATION: | Il me vint lors une fantaisie bien estrange en la teste, m'en voyant l'occasion en main, qui fut, de mettre ma fille en la place de celle de ce Seigneur, qui dormoit dans un berceau, sa nourrisse estant empeschée à ces nopces, & de prendre la sienne, qui n'est autre que la Lisabetta que j'ay depuis eslevée comme ma fille, & qui est maintenant vostre femme. |
NOTES: | Page 142. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 101668 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Le génie du mal Zéloulou échange Gul-Hindi et Cheref-Eldin au berceau par malice et méchanceté. |
NOTES: | [(Page) 1.62-3] |
SOURCE: | Gueulette (Thomas-Simon), Mille et un quarts d'heure (Les), contes tartares. Henri du Sauzet: La Haye, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103894 accreditee |
CONTEXTE: | La noblesse de naissance est ici révélée par des objets tels qu'un hochet d'argent, des langes et un berceau. |
COTEXTE ET CITATION: | "Il regarda ces jouets, dit à sa femme M'amie, voyez ces armes, diriez-vous pas que cela a été fait expressément pour notre petit-fils? Alors Fulvie les considérant attentivement, sa mémoire la fit écrier en pleurant:"Hélas! voilà les jouets que portait ma fille Ozane, qui fut noyée dans le Pô il y a tant d'années. A ces mots, les yeux furent ouverts à Fabrice. |
NOTES: | [(Page & Chapitre & To) 170, 7, I] |
SOURCE: | Camus (Jean-Pierre), Evénements singuliers (Les). J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 305728 accreditee |
CONTEXTE: | Adam, un misérable paysan, tue ses enfants dans un accès de violence incontrôlée après avoir bu son salaire à la taverne. |
COTEXTE ET CITATION: | La fillette qui crut que ce fût cela qu'il cherchât, et qui pressée par la faim désirait à manger aussi bien que son frère, court à lui et lui en met un [couteau] entre les mains, duquel, saisi d'une rage diabolique et dénaturée, il l'égorgea sur le champ, comme aussi celui qui lui avait demandé du pain. Et non content de ce massacre, il en fit autant à un innocent qui dormait paisiblement dans le berceau. |
NOTES: | Page 92. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |