OCCURRENCE: | 104064 chantier |
CONTEXTE: | Ayant vu sortir le marquis de Castellonne de chez dona Margarita, don Antonio le défie en duel. Les deux hommes se battent furieusement et perdent leur sang en abondance. C'est pourtant le marquis de Castellone qui finit par mourir de ses blessures peu après le duel. |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 101470 chantier |
CONTEXTE: | Ayant vu sortir le marquis de Castellone de chez dona Margarita, don Antonio le défie en duel. Les deux hommes se battent furieusement et perdent leur sang en abondance. C'est pourtant le marquis de Castellonne qui finit par mourir de ses blessures peu après le duel. |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100170 chantier |
CONTEXTE: | Almont ne reconnaît pas son ami Aremberg dans le noir. Il se bat si furieusement contre lui qu'il s'enferre sur l'épée de son adversaire. |
NOTES: | [(Tome & Page & Nouv.) 79] |
SOURCE: | Segrais (Jean Regnault de), Nouvelles françaises (Les). STFM: Paris, 1990-92.1. Texte de l'édition originale. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D., Rodriguez P. |
OCCURRENCE: | 101448 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Sauvage, rend moy la bague que tu as eu de ma maîtresse, plustot par fortune, que par merite; de ta vie, si tu es si fou de la disputer avec moy. Pistion jettant son masque à terre [...] tourne le visage à Acoubar, et lui dict : Acoubar, je seray quitte de l'honneur que tu me fais [...]ils se battirent fort furieusement. Mais enfin Pistion qui avoit sur la valeur de son ennemi, Mars & l'Amour pour advantage, le jette d'un coup mortel à terre. |
SOURCE: | Perier (Antoine du), Amours de Pistion et de Fortunie (Les). Paris, 1601.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
OCCURRENCE: | 305440 accreditee |
CONTEXTE: | Amadas vient d’apprendre qu’Ydoine doit être mariée malgré elle avec le comte de Nevers. Sous le choc, il est pris d’un accès de folie. |
COTEXTE ET CITATION: | Amadas l’ot, si a troublé Le cuer et escaufé d’ardeur, D’une fine fole caleur, Dont vint la droite derverie, Et la fine foursenerie Li saut et li cerviaus li tourble. En poi d’eure a corage double, En toute raison li escape Qu’il n’a si fol jusqu’a Halape. Tout maintenant esrage et derve, En haut s’escrie et rit et resve ; Sens ne raison en lui n’a mie. Amadas l’entend ; le sang afflue à son coeur qui se met à battre furieusement sous l’effet d’une fièvre violente qui l’entraîne dans une démence totale ; une folie brutale l’envahit et son cerveau se trouble. En peu de temps son délire intérieur s’enfle et toute sa raison lui échappe de sorte qu’il n’y a pas aussi fou que lui jusqu’à Alep. Sur l’heure, il est pris d’une folie furieuse ; il parle tout haut, éclate de rire et divague. Il n’a plus en lui la moindre lueur de conscience et de raison. |
NOTES: | P. 93, v. 1792-1803 ; trad. p. 39. . Voir pages 118-119 (47-48), 125 (51), 136 (55). |
SOURCE: | Anonyme, Amadas et Ydoine. Champion, éd. John R. Reinhard: Paris, 1974.Les traductions sont celles de Jean-Claude Aubailly, Paris, Champion, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |