OCCURRENCE: | 105084 accreditee |
CONTEXTE: | Rica raconte le conte persan de Zulema. |
COTEXTE ET CITATION: | "Je succombe sous la violence des plaisirs". |
NOTES: | [(Page & Lettre) 299, 141] |
SOURCE: | Montesquieu, Lettres persanes (Les). Garnier: Paris, 1960. |
OCCURRENCE: | 104402 accreditee |
CONTEXTE: | Clarice porte secours à Clorante et se noie presque. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle est déjà dans les eaux : l'amour pour quelques moments lui tient lieu d'adresse et de force. Elle combat, elle succombe enfin, déjà elle enfonce ; même malheur menace et Clarice et Clorante. |
NOTES: | [(Page& Partie) 35, I] [ancien AIDE_DU_FAIBLE_AGRESSE] Voir aussi: HOMME_AIDER_F_POUR_PROFITER ENLEVER_FEMME_EVANOUIE FAILLIR_SE_NOYER |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 305640 accreditee |
CONTEXTE: | Accusé par la reine d'aimer les garçons, Lanval succombe à la tentation de parler de son amie bien qu'il sache que leur amour devait rester secret. |
COTEXTE ET CITATION: | A sun ostel fu revenuz; la s’esteit bien aparceüz qu’il aveit perdue s’amie: descoverte ot la druërie. De retour dans son logis,il s’est déjà aperçu qu’il a perdu son amie pour avoir révélé leur amour. |
NOTES: | P. 150, vers 335-338. |
SOURCE: | Marie de France, Lanval. Paris: Lettres gothiques, 1990.Texte édité par Karl Warnke. Trad.: Laurence Harf-Lancner,Paris, Lettres Gothiques,1990. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 104232 accreditee |
CONTEXTE: | Téseus s'éprend de sa belle-soeur. |
COTEXTE ET CITATION: | Et Thereüs l'a embracie ; Si la salue et baise ensamble. Sa grant biauté le cuer li amble, Et sa tres bele contenance. Pechiez le met en esperance De mauvestié et de folie ; Amours vilainement le lie. Vilainement ? Voire, sans faille, De vilonie se travaille, Quant il son cuer veult atorner A la serour sa feme amer. Térée l'a prise dans ses bras et l'embrasse tout en la saluant. C'est alors que la très grande beauté de la jeune fille, la grâce de son allure ravissent son coeur. Le vice fait germer en lui de mauvaises intentions, des pensées insensées. Amour s'empare de lui d'une manière coupable. D'une manière coupable ? Oui, en vérité, car il succombe à des sentiments indignes en consentant à son désir d'aimer la soeur de sa femme. |
NOTES: | Page 174-175, v. 208-218. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Philoména. Paris: Gallimard, 2000.Édition et traduction par Emmanuèle Baumgartner |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |