OCCURRENCE: | 202666 accreditee |
CONTEXTE: | Mme d'Englesac a ordonné à Sylvie de ne plus répondre à l'amour de son fils. |
COTEXTE ET CITATION: | Depuis ce temps-là, le Comte d'Englesac et moi nous vécumes avec beaucoup de circonspection, et <citation>pour mieux dérober la connoissance de nôtre amour, nous feignîmes de nous haïr mortellementcitation>. |
NOTES: | 35-36 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305447 accreditee |
CONTEXTE: | A la suite d’un malaise soudain, Ydoine est aux portes de la mort. Par amour pour Amadas et pour qu’il se console de sa perte sans vouloir se tuer ou sombrer dans la folie, elle s’accuse faussement. Pour agraver son cas, elle ajoute qu’elle a tué les enfants qu’elle a eus de ses cousins et ne s’en est jamais confessée. |
COTEXTE ET CITATION: | Biaus tresdousamis, Amadas, Pour voir vous di que ne sui pas Pucele si com dit vous ai, Que par mon grant peciet amai, Ains de vous, s’en soiiés certains Lonc tans trois miens cosins germains. Si m’en devés mult plus assés Haïr, se raison entendés, Et conforter, amis, de moi, Car il a assés pour choi. Sire, bien les amai set ans Et si oi d’aus trois biaus enfans. Mon très cher et tendre ami, Amadas, je vous avoue qu’en vérité je ne suis pas vierge ainsi que je vous l’ai dit, car par grand péché j’ai aimé, avant de vous connaître -et cela soyez-en certain- trois de mes cousins germains. Aussi, si vous voulez bien prendre ce fait en considération, ami, m’en devez-vous d’autant plus haïr fortement et vous consoler de ma mort, car il y a bien de quoi. Je les ai bien aimés sept ans et j’ai aussi eu d’eux trois beaux enfants. |
NOTES: | P. 195, v. 5027-5038 ; trad. p. 77. |
SOURCE: | Anonyme, Amadas et Ydoine. Champion, éd. John R. Reinhard: Paris, 1974.Les traductions sont celles de Jean-Claude Aubailly, Paris, Champion, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305765 accreditee |
CONTEXTE: | Deux jeunes Romains éprouvent de l'amour l'un pour l'autre malgré la haine entre leurs parents respectifs qui y mettront obstacle. |
COTEXTE ET CITATION: | Non seulement ils ne se frequentoient point, mais ils en estoient venus jusques à ce poinct de hair ceux qui tesmoignoient de l'amitié à l'un ou à l'autre. Nonobstant ceste division, je ne sçay quelle influence donna de la simpathie à Paulin pour Lucrece, & à Lucrece pour Paulin. Cette inclination devint complaisance, cette complaisance bienveillance, cette bienveillance amour. |
NOTES: | Page 278. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |