OCCURRENCE: | 103980 accreditee |
CONTEXTE: | Un génie amoureux (Concombre) mais éconduit se venge de son rival heureux (Cormoran) qu'il a surpris dans les bras de sa bien-aimée en le condamnant. |
COTEXTE ET CITATION: | Cormoran est condamné "à faire éternellement la roue et la culbute" dans les jardins. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 205, VI] motif de la danse effrénée involontaire et incessante que l'on retrouve dans certains textes merveilleux folkloriques. |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |
OCCURRENCE: | 102844 accreditee |
CONTEXTE: | certains Indiens dans la région de Q[???] sont cruels, farouches, anthropophages. |
COTEXTE ET CITATION: | Ils se mangeaient les uns les autres. Le bon roi Inca de les conquérir afin de les retirer de leur brutalité. |
NOTES: | [(Tome& Lettre& Page) I, 2, 242, 249] |
SOURCE: | Gomberville (Marin le Roy), Polexandre. Augustin Courbé: Paris, 1637.Le texte est accessible par Google Plus. |
CHERCHEUR/E: | Bertaud M. |
OCCURRENCE: | 305912 accreditee |
CONTEXTE: | À la cour du roi de France, Gérard chante son amour pour son amie Euriaut. Son succès suscite l'envie de certains chevaliers, notamment de Lisiart qui, pris de haine, va se venger en créant le doute sur la fidélité de la jeune fille. |
COTEXTE ET CITATION: | Tels i ot ki en ont envie De son solas et de sa vie ; Et pour chou que il se deduit, En avoit a la court plus d'uit, Cui il anoie tant et grieve, K'a poi ke li cuers ne lor crieve ; Mais sour tous poise Lisïart, Qui molt fu fel et de mal art. |
NOTES: | Pages 12-13, v. 241-248. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, Roman de la Violette. Paris: H.Champion, 1928.Edition Douglas Labaree Buffum |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104474 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Je ne receus plus que de mauvais traitemens de mon mari, et je vécus sous cette tyrannie, jusqu'au mois de Janvier de l'année mil six cens soixante-quatre, qu'ayant eu des avis certains de sa mauvaise volonté, et qu'il me devoit enlever en une de ses maisons pour m'y tenir enfermée, je resolus de ne pas attendre cette violence. La gelée rendoit les chemins commodes, je pris toutes mes pierreries...et je sortis de Bruxelles pour me rendre avec Merinville à cinq lieues de-là, toutes deux en habit d'homme». |
NOTES: | [(Page) 78-9] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305447 accreditee |
CONTEXTE: | A la suite d’un malaise soudain, Ydoine est aux portes de la mort. Par amour pour Amadas et pour qu’il se console de sa perte sans vouloir se tuer ou sombrer dans la folie, elle s’accuse faussement. Pour agraver son cas, elle ajoute qu’elle a tué les enfants qu’elle a eus de ses cousins et ne s’en est jamais confessée. |
COTEXTE ET CITATION: | Biaus tresdousamis, Amadas, Pour voir vous di que ne sui pas Pucele si com dit vous ai, Que par mon grant peciet amai, Ains de vous, s’en soiiés certains Lonc tans trois miens cosins germains. Si m’en devés mult plus assés Haïr, se raison entendés, Et conforter, amis, de moi, Car il a assés pour choi. Sire, bien les amai set ans Et si oi d’aus trois biaus enfans. Mon très cher et tendre ami, Amadas, je vous avoue qu’en vérité je ne suis pas vierge ainsi que je vous l’ai dit, car par grand péché j’ai aimé, avant de vous connaître -et cela soyez-en certain- trois de mes cousins germains. Aussi, si vous voulez bien prendre ce fait en considération, ami, m’en devez-vous d’autant plus haïr fortement et vous consoler de ma mort, car il y a bien de quoi. Je les ai bien aimés sept ans et j’ai aussi eu d’eux trois beaux enfants. |
NOTES: | P. 195, v. 5027-5038 ; trad. p. 77. |
SOURCE: | Anonyme, Amadas et Ydoine. Champion, éd. John R. Reinhard: Paris, 1974.Les traductions sont celles de Jean-Claude Aubailly, Paris, Champion, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |