OCCURRENCE: | 305937 accreditee |
CONTEXTE: | En prologue, le narrateur de prétend, de façon ironique, le serviteur des dames. |
COTEXTE ET CITATION: | Je, qui de pieça et mesmes des mon enfance, ay esté leur humble clerc et serviteur et dont des biens que d’elles ay receus assés ne me sauroie loer. |
NOTES: | Page 78. |
SOURCE: | ANONYME, Les Évangiles des Quenouilles. Montréal / Paris: Presses de l'Université de Montréal / Vrin, 1985.Éd. Madeleine Jeay, d\'après les manuscrits Paris, BnF fr. 2151 et Chantilly 654. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104076 accreditee |
CONTEXTE: | Mme de Contamine jeune veuve, Mlle Babet Fenouil pendant l'exil de Jussy, refusent les beaux partis qui se présentent. Le ton est ironique, un commentaire sur la société comme on en trouve souvent dans la nouvelle de Préchac, qui enchaîne "peut-estre aussi que son grand bien contribuoit a augmenter le nombre de ses adorateurs" (p.8). |
COTEXTE ET CITATION: | Le père de Blanche "qui estoit veuf, & qui songeoit a marier Blanche a quelque personne de condition en luy donnant tout son bien, fit elever sa cadette dans un Couvent, dans le dessein de la faire Religieuse; ce qui obligea plusieurs personnes de qualité, charmées de la beauté & de l'esprit de Blanche, de la demander en mariage". |
NOTES: | [(Page) 7-8] |
SOURCE: | Préchac (Jean de ), Illustre parisienne (L'): histoire galante et véritable. Chez la veuve Olivier de Varennes: Paris, 1679.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 305938 accreditee |
CONTEXTE: | Dans l'épître dédicatoire aux dames, le narrateur se prétend, de façon ironique, leur serviteur. |
COTEXTE ET CITATION: | Parquoy mes Dames, recevez ce mien petit labeur d’aussi bon cœur qu’il vous est presenté comme venant de plus entier de celuy qui est seulement nay au monde pour en toute obeissance vous servir. |
NOTES: | Tome I, page 8. |
SOURCE: | SAINT-DENIS Antoine de, Les comptes du monde adventureux. Paris: Estienne Groulleau, 1555.Réimpression Genève, Slatkine, 1969 de l\'édition de Paris 1878 par Félix Frank. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305461 accreditee |
CONTEXTE: | Le Bel Inconnu est arrivé au château de la Gaste Cité où l’attendent une série d’enchantements et d’apparitions surnaturelles : après ces haches, arrive un chevalier avec une corne sur le front qui crache du feu (92), et une guivre (vipère) qui se révèlera être la fille du roi Gringras (96, 102). Dans le château de l’Ile d’Or où réside la Pucelle aux Blanches Mains, il fera face aussi à des enchantements traités sur le mode ironique (140-141 ; 149-151). |
COTEXTE ET CITATION: | Par mi l’uis ens voloit entrer, Quant vit destendre et enteser De haces grans por lui ferir ; Par deseur lui les vit venir. Ariere maintenant se trait, Mors fust se il n’eüst ço fait. Il allait passer la porte quand il aperçut de grandes haches prêtes à le frapper, qu’il vit descendre au-dessus de sa tête ; il n’eut que le temps de se rejeter en arrière pour ne pas mourir. |
NOTES: | P. 90-91, v. 2937-2962 ; trad. p. 60. |
SOURCE: | Renaud de Beaujeu, Le Bel Inconnu. Champion: Paris, 1983.Edition G. Perrie Williams ; traduction par Michelle Perret et Isabelle Weill, Paris, Champion, 1991. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |