OCCURRENCE: | 103110 accreditee |
CONTEXTE: | Comme dans la première histoire du recueil (qui en compte trois) le duel représente ici la punition finale de la passion, et des actions qu'elle a inspirées --Ici pourtant le personnage puni n'est pas la femme (une courtisane), mais son amant passionné et naïf. |
COTEXTE ET CITATION: | Après plusieurs delais ils se rencontrent finalement hors la ville, où sans autre deffy, ils mettent la main à l'espée, et monstrent par leur coups le peu de bien qu'ils se veulent -- quelques estocades tirees, ils tomberent tous deux d'un coup entrefourré, qui ouvre le passage de la mort à leurs vies, et les renvoyé par devant Pluton, pour les accorder de leurs differents. |
NOTES: | [(Page & Histoire) 144, III. |
SOURCE: | Du Pont (Jean-Baptiste), Enfer d'amour (L') ou par trois histoires est monstré .... Thibaut Ancelin: Lyon, 1603.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Poli S. |
OCCURRENCE: | 102920 accreditee |
CONTEXTE: | Misrie a échoué sur une côte après une violente tempête. Elle est attaquée par des sauvages. L'inconnu qui se porte au secours de Misrie trouve la mort. Il mourra sous les flèches des sauvages. |
COTEXTE ET CITATION: | À peine le coup était-il donné que vingt flèches furent tirées sur l'inconnu ; car ces barbares portaient un carquois en trousse. |
NOTES: | [(Page& Partie) 246, IV] Le défenseur de Misrie était aussi son agresseur. Il l'avait enlevé à son corps défendant. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 102928 accreditee |
CONTEXTE: | Un homme enlève Misrie à son corps défendant. Puis il essaie de la sauver d'un groupe de sauvages. Il y trouve la mort. |
COTEXTE ET CITATION: | Notre planche nous conduit au bord de la côte ; l'inconnu saute sur le rocher, et me sauve avec lui. [...] Après ces mots, il attendit avec intrépidité les sauvages, qui courant de ça et de là l'entourèrent. Un d'eux voulut approcher ; l'inconnu le renversa d'un coup de son épée. À peine le coup était-il donné que vingt flèches furent tirées sur l'inconnu. |
NOTES: | [(Page& Partie) 246, IV] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |