OCCURRENCE: | 101756 chantier |
CONTEXTE: | La marquise de Florange décide de se servir de Grandchamp pour communiquer avec Mainville; Grandchamp accepte par amour en dépit de la douleur que lui cause la demande de la marquise. |
NOTES: | [(Page) 101] Voir aussi le topos SACRIFICE_D'AMOUREUSE Manque le co-texte. |
SOURCE: | Anonyme, Nouveaux désordres de l'amour (Les). Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104256 accreditee |
CONTEXTE: | En plus de ses soupçons envers Milord Edouard, l'Amant fait part de ses inquiétudes causées par quelques mots d'une lettre de Julie. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais tout redoublait mes ridicules soupçons, et le zèle de l'humanité ne lui inspirait rien d'honnête en ma faveur, dont mon aveugle jalousie ne tirât quelque indice de trahison. À Besançon je sus qu'il avait écrit à Julie, sans me communiquer sa lettre, sans m'en parler. Je me tins suffisamment convaincu, et je n'attendis que la réponse, dont j'espérais bien le trouver mécontent, pour avoir avec lui l'éclaircissement que je méditais. |
NOTES: | Tome I, page 274 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 104964 accreditee |
CONTEXTE: | Il s'agit de Dom Pèdre qui raconte, et son rival, le Marquis. |
COTEXTE ET CITATION: | Nous n'eûmes besoin que d'un signe d'oeil pour nous communiquer nos sentimens. Nous descendîmes à l'Ecurie, nous montâmes sur des chevaux qui étoient encore sellez. Et aprés les avoir poussez à toute bride à un endroit qui nous parut propre à executer nôtre dessein, nous commençâmes un dangereux combat. Dom Alphonse ... arriva prés de nous comme je desarmois mon Rival. |
NOTES: | [(Page) 523-24] Slatkine vol, p. 2,259 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Nouvelles afriquaines (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.12 tomes? |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | SB200143 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | Filz, dit ele, si con je croi, Tu as veü au mien espoir Les angles don les gens se plaignent, Qui ocient quant qu’il ataignent. -- Non ai, mere, voir, non ai, non ! Chevalier dient qu’il ont non.” La mere se pasme a ce mot, Quant chevalier nomer li ot. Tu as vu, je le crois, les anges dont se plaignent les gens, ceux qui tuent tout ce qu’ils attaignent. -- Mais non, ma mère ! Mais non ! De vrai, non ! Des chevaliers ! Ils disent que c’est leur nom.” La mère à ce mot tombe pâmée, quand elle l’entend dire ce nom de chevalier. (51) |
COTEXTE ET CITATION: | La mère de Perceval a élevé son fils dans l’ignorance de la chevalerie pour éviter qu’il ne meure comme son père et ses frères. Or il vient lui communiquer son émerveillement à la vue de chevaliers qu’il a rencontrés. |
NOTES: | P. 50, vv. 369-374 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |