OCCURRENCE: | 101620 chantier |
CONTEXTE: | Comédies, histoires d'amour, gazettes : pour pages et femmes de chambre. Poésie en langue vulgaire : écoliers de rhétorique. Poèmes héroïques et moraux : à ne lire qu'en cachette et sans témoins. Romans de chevalerie (y compris Don Quichotte) : pour les fous. Philosophes grecs : pour gens sérieux et raisonnables. |
NOTES: | [(Page) 74-6] |
SOURCE: | Maulnourry de la Bastille, Triomphe de la raison (Le), ou les aventures de Crisophile. Laurent Lecomte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102732 accreditee |
CONTEXTE: | La lecture d'un livre sur la chevalerie attire Galaor à devenir un chevalier. |
COTEXTE ET CITATION: | [Galaor] n'avoit gueres aultre exercice qu'à lire dans ung livre que le bon homme luy avoit bailé, lequel traictoit des faitz d'armes d'aulcuns chevaliers anciens, et tant y print plaisir, qu'a ceste occasion (et aussi d'un instinct naturel) luy print grand vouloir d'estre chevalier. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 68] |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 101108 accreditee |
CONTEXTE: | Damoysel (Amadis) cache son identité quand il voyage. |
COTEXTE ET CITATION: | "Sire respondit le Damoysel, je vous cogneuz incontinent que j'arrivay au chasteau, comme celuy qui m'a donné l'honneur de chevalerie, avec lequel (s'il plaist à Dieu) je vous serviray tant que durera vostre guerre de Gaule, et vouldrois bien, s'il vous plaisoit, n'estre cogneu de personne jusques à ce qu'elle soit finie. |
NOTES: | Chapitre VI, p. 66 et passim. |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 200051 accreditee |
CONTEXTE: | La mère de Perceval lui explique pourquoi elle l'a tenu à l'écart de la chevalerie. Outre que ses deux frères sont morts dans des combats, son père est resté infirme de sa blessure à la cuisse. La stérilité de la terre qui est une conséquence de la blessure en explicite la connotation sexuelle, reliée à la fécondité. |
COTEXTE ET CITATION: | <citation>Vostres peres, si nou savez, Fu par mi les anches navrez Si que il mehaigna do cors. Ses granz avoirs, ses grands tressors, Que il avoit come prodom, Ala toz a perdetiom.citation> Votre père, vous ne le savez pas, fut blessé entre les hanches, son corps en resta infirme. Ses larges terres, ses grands trésors, qu'il devait à sa valeur, tout partit en ruine. |
NOTES: | Vv. 407-412 |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | SB200143 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | Filz, dit ele, si con je croi, Tu as veü au mien espoir Les angles don les gens se plaignent, Qui ocient quant qu’il ataignent. -- Non ai, mere, voir, non ai, non ! Chevalier dient qu’il ont non.” La mere se pasme a ce mot, Quant chevalier nomer li ot. Tu as vu, je le crois, les anges dont se plaignent les gens, ceux qui tuent tout ce qu’ils attaignent. -- Mais non, ma mère ! Mais non ! De vrai, non ! Des chevaliers ! Ils disent que c’est leur nom.” La mère à ce mot tombe pâmée, quand elle l’entend dire ce nom de chevalier. (51) |
COTEXTE ET CITATION: | La mère de Perceval a élevé son fils dans l’ignorance de la chevalerie pour éviter qu’il ne meure comme son père et ses frères. Or il vient lui communiquer son émerveillement à la vue de chevaliers qu’il a rencontrés. |
NOTES: | P. 50, vv. 369-374 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305631 accreditee |
CONTEXTE: | Floriant, une fois marié, ne pense plus qu’à rester près de Florete. Mais un jour, il entend une femme l’accuser d’avoir perdu son prix et sa chevalerie. Il partira avec Florete pour prouver le contraire. |
COTEXTE ET CITATION: | […]car du tout avoit mis en oubly l’estat de chevalerie et aymoit mieulx soy
esbatre de cousté la bele Flourette, si demena bien l’espace de trois ans celle vie. […] «Je voy la mon seigneur le roy qui est ung des meilleurs chevaliers du monde et le plus a priser mais il est si surprins de la royne qu’elle lui fait oublier tout son los et sa chevalerie car elle est en lui perie et morte et n’a plus en lui bonté ni prouesse fors d’estre tousjours auprés de ma dame». Car il avait oublié son état de chevalier et préférait s’ébattre aux côtés de la belle Florette. Cette douce vie dura bien trois ans. […]«Je vois là mon seigneur le roi, qui est un des meilleurs chevaliers du monde et le plus à louer, mais il est si amouraché de la reine qu’elle lui fait oublier tout son prix et sa chevalerie, qui est en lui morte et périe. Il ne pense plus ni à grandeur ni à prouesse si ce n’est d’être toujours auprès de sa dame». |
NOTES: | v°100 |
SOURCE: | Anonyme, Roman de Floriant et Florete ou Le Chevalier qui la nef maine. Ottawa: Université d, 1983.Claude M. Levy éditeur |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |