OCCURRENCE: | 100976 accreditee |
CONTEXTE: | Une enfance partagée fait naître l'amour d'Oriane et d'Amadis. |
COTEXTE ET CITATION: | "Or ainsi que cy devant vous a esté récité, ceste jeune princesse Oriane fille du Roy Lisuart, estoit demeurée avec la royne d'Escoce pour se rafraischir, attendant que le Roy son pere la renvoyast querir : et luy faisant la royne toutes les gratieusetez dont elle se povoit adviser luy dit : <CITATION>M'Amye, je veulx desormais que le Damoysel de la mer vous serve (...). Ce que l'infante Oriane accepta voluntiers, et de faict de cette acceptation s'imprima en l'esperit du Damoysel, de telle sorte que jour de sa vie il n'eut envie d'en servir ou aymer aultre, et à elle depuis eut tousjours le cueur.CITATION>" |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 44, 5] |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 101434 accreditee |
CONTEXTE: | Sa mère met l'épée et la bague de Perion avec le bébé Amadis quand elle l'abandonne et une lettre enveloppée de cire. |
COTEXTE ET CITATION: | Et puis attachée à unz cordon l'anneau que le Roy Perion envoya à Elisene quand il voulut partir. Il luy souvint que l'ung des deux estoit celluy qu'il avoit autresfois donné à la royne. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) Livre 1, chap. 2, p. 19 ; chap. 11, p. 110. Les trois objets serviront à la reconnaissance d'Amadis et à la confirmation de son identité, aux chapitres IX et XI. La cire sera cassée par hasard par Oriane qui serre "l'objet" très fort par émotion. |
SOURCE: | Vaganay (Hugues), Premier livre d. trad. Herberay des Essarts: inconnu, ca. 1559. |
CHERCHEUR/E: | Godwin D. |
OCCURRENCE: | 305631 accreditee |
CONTEXTE: | Floriant, une fois marié, ne pense plus qu’à rester près de Florete. Mais un jour, il entend une femme l’accuser d’avoir perdu son prix et sa chevalerie. Il partira avec Florete pour prouver le contraire. |
COTEXTE ET CITATION: | […]car du tout avoit mis en oubly l’estat de chevalerie et aymoit mieulx soy
esbatre de cousté la bele Flourette, si demena bien l’espace de trois ans celle vie. […] «Je voy la mon seigneur le roy qui est ung des meilleurs chevaliers du monde et le plus a priser mais il est si surprins de la royne qu’elle lui fait oublier tout son los et sa chevalerie car elle est en lui perie et morte et n’a plus en lui bonté ni prouesse fors d’estre tousjours auprés de ma dame». Car il avait oublié son état de chevalier et préférait s’ébattre aux côtés de la belle Florette. Cette douce vie dura bien trois ans. […]«Je vois là mon seigneur le roi, qui est un des meilleurs chevaliers du monde et le plus à louer, mais il est si amouraché de la reine qu’elle lui fait oublier tout son prix et sa chevalerie, qui est en lui morte et périe. Il ne pense plus ni à grandeur ni à prouesse si ce n’est d’être toujours auprès de sa dame». |
NOTES: | v°100 |
SOURCE: | Anonyme, Roman de Floriant et Florete ou Le Chevalier qui la nef maine. Ottawa: Université d, 1983.Claude M. Levy éditeur |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |