OCCURRENCE: | 105064 accreditee |
CONTEXTE: | Polimneste se promène à cheval dans les bois pour rêver à ses amours malheureux. |
COTEXTE ET CITATION: | Il y étoit à peine entré qu'il entendit un bruit d'armes et de chevaux, qui lui fit juger que quelques personnes se battoient en cet endroit : Il courut où ce bruit l'appelloit, et trouva quatre ou cinq hommes qui en attaquoient un seul. Polimneste avoit peu de suite ; mais le droit de commander donne un certain air d'autorité qui se distingue en toutes rencontres. Il poussa son cheval entre ces inconnus, et reprochant leur lâcheté à ceux qui combattoient avec avantage... |
NOTES: | [(Page & Tome) 397, II] Cie des Libraires p. 487-88 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes de Grèce (Les). Godenne/Oeuvres complètes de Slatkine: 1670. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 105244 accreditee |
CONTEXTE: | Celadon se retire dans une cabane aux fonds des bois après avoir lu une lettre (fausse) dans laquelle Astrée refusait son amour. |
COTEXTE ET CITATION: | En ceste resolution il courut toutes les montaignes de Forests, du costé de Cervieres, où en fin il choisit un lieu qui luy sembla le moins frequenté, avec dessein d'y parachever le reste de ses tristes jours. Le lieu s'appelloit Lapau, d'où sourdoit l'une des sources du desastreux Lignon, car l'autre vient des montaignes de Chalmasel. Or sur les bords de ceste fontaine, il bastit une petite cabane, où il vesquit retiré plus de six mois, durant lesquels sa plus ordinaire nourriture estoit les pleurs, et les plaintes. |
NOTES: | Dans ARTFL, p. 143. |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: | Baider F. |
OCCURRENCE: | 305705 accreditee |
CONTEXTE: | Il s'agit du Conte premier, par Madame Mélibée |
COTEXTE ET CITATION: | En la ville de Tholose naguiere demeuroit ung riche et tresopulant homme nommé Pyralius, lequel avoit pour espouse une moult belle Damoiselle qu’on appelloit par nom madame Rosemonde Chiprine. A cestuy Pyralius certes villain de meurs et non assez apte pour servir une si jeune Dame telle qu’estoit la dame Rosemonde au faict et lucte du delicieux amour, la naturelle chaleur par longues maladies estoit faillye et jà estaincte par le merite de ses longs et vieulx ans, et oultre ce, se trouvoit si difforme et malheureux en beaulté qu’il ressembloit plustost quelque monstre que non pas homme humain […]. |
NOTES: | Pages 47-48. |
SOURCE: | Flore Jeanne, Contes amoureux. Saint-Étienne: Université de Saint-Étienne, 2005.Éd. R. Reynolds-Cornell |
CHERCHEUR/E: | Duché, Véronique |