OCCURRENCE: | 100444 chantier |
CONTEXTE: | Alamir, prince de Tharse, est courtisé par toutes les filles à cause de sa position, sa beauté et ses qualités. |
NOTES: | [(Partie & Page) 175 Cl.Gar.] Edition Classiques Garnier |
CHERCHEUR/E: | Boursier N., Sadiki T. |
OCCURRENCE: | 102912 accreditee |
CONTEXTE: | Il y a violence, mais seulement suggérée, la position de pouvoir de celui/celle exerçant pression, suffit pour que la victime comprenne. |
COTEXTE ET CITATION: | "Rien ne me sauvera de sa fureur si je méprise sa fureur: elle ne la perdra qu'en se vengeant avec cruauté; <CITATION>c'est là son caractère; l'effet de ses passions est toujours violent et emporté CITATION>." |
NOTES: | [(Page& Partie) 155, III] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | TT103130 CHANTIER |
CONTEXTE: | "Il la lie sur un tabouret, à un pied au-dessus de sa tête est un poignard très affilé, suspendu à un cheveu; si le cheveu casse, le poignard, très aigu, lui entre dans le crâne [...] au bout d'une heure, il la délivre, et lui ensanglante les fesses avec la pointe de ce même poignard, pour lui faire voir qu'il piquait bien; il décharge sur le cul ensanglanté". |
NOTES: | [(Page & Tome & Partie) 235-6, 2, 3] Première mention du décharge après avoir ensanglanté sa victime (dont la fréquence d'apparition s'accélère sensiblement) dans le cadre des "passions de troisième classe, ou criminelles". Comme à la première mention dans le livre, la décharge est déterminée par l'effusion de sang. Mais c'est à présent le libertin qui prend la posture de la Parque: il n'est plus assujetti à ses travaux, il les met en scène. Sa position n'est pourtant pas encore celle de maîtrise: l'aléa du "fil rompu" peut à tout instant l'en priver. Il faut aussi noter l'absence de la figure dans la description des passions doubles associées aux déflorations féminines --objet de la deuxième partie. |
SOURCE: | Sade (Marquis de), Cent vingt journées de Sodome (Les)ou l. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Martin C. |
OCCURRENCE: | 101972 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi, qui commence à se lasser de Hattigé, surprend Roukia, femme du premier jardinier, dans une position "délicate". Il n'en tombe pas moins amoureux d'elle. Il la surprend en train de faire ses besoins. |
COTEXTE ET CITATION: | Je n'oserais presque vous dire le trait dont l'Amour se servit pour blesser le roi [...] Cette belle le charma par l'endroit de son corps dont elle prenait le moins de soin, et sur lequel elle n'avait assurément pas compté de faire une telle conquête : aussi n'avait-elle mis cette partie au jour que par une nécessité naturelle qui la pressait de près. |
NOTES: | [(Page) 52] |
SOURCE: | Anonyme, Hattigé, ou la belle Turque. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |