PHRASE: | Les personnages sont victimes d'un cataclysme naturel (tempête, tremblement de terre, etc.). |
OCCURRENCE: |
306013 accreditee
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CONTEXTE: |
Une tempête empêche les Grecs de partir : il faudra sacrifier Polyxène, la fille de Priam dont Achille était tombé amoureux. |
COTEXTE ET CITATION: |
Aprés parlerent de l’aller,
Mes si orrible fu la mer,
Si ydose, si reversant,
Qu’en nule fin ne fet senblant
Que il ja mes dedenz entrassent
Que maintenant tuit ne neiassent.
Chascun jor iert si forz li venz
E par la mer tiels li tormenz,
Nus n’i entrast qui ne fust mort
Ne qui ja mes venist a port.
Les Grecs parlèrent ensuite de partir, mais la mer était si mauvaise, si déchaînée, si agitée qu’ils ne voyaient pas comment ils pourraient s’embarquer sans être aussitôt noyés. Chaque jour, le vent soufflait si fort, la tempête était si violente que personne n’aurait pu naviguer sans trouver la mort : impossible d’arriver à bon port.
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NOTES: |
P. 622, v. 26375-84. |
SOURCE: |
BENOÎT DE SAINTE-MAURE, Le Roman de Troie. Paris: Lettres Gothiques, 1998. |
CHERCHEUR/E: |
Jeay M. |
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OCCURRENCE: |
102140 chantier
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CONTEXTE: |
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COTEXTE ET CITATION: |
Timoléon: "nous touchions presque à nôtre proie, lorsqu'il survint une tempête, qui non seulement nous fit perdre la route de nos ravisseurs, mais qui aprés nous avoir battus deux jours entiers avec une violence épouvantable, jetta le vaisseau dans lequel nous étions, en I'Isle de Crete, si brisé de la mer, qu'il falut nous arrêter au premier Port pour le faire radouber. |
NOTES: |
[(Page & Tome) 356, 1] Cie des Libraires p. 372-3 |
SOURCE: |
Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: |
Kuizenga D. |
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OCCURRENCE: |
102142 accreditee
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CONTEXTE: |
Muly raconte l'histoire de Haly Joseph. |
COTEXTE ET CITATION: |
Nous fûmes surpris d'une tempête si furieuse, que nôtre vaisseau aprés avoit flotté trois jours entiers au gré du vent, sans mâts et sans gouvernal, et avoit été mille fois precipité du Ciel dans les abîmes, échoüa contre la pointe d'une petite Isle de la Mer atlantique. Sitôt que j'avois veu la tempête, j'avois pris le soin d'attacher Fatime à des planches qui étoient dans nôtre vaisseau... Comme tous mes soins étoient pour mon Prince, et que nôtre naufrage se fit le jour, je ne le perdis point de vûe, et l'aïant remarqué sur l'eau où ces planches le soutenoient avec sa nourrice ; je poussai en nageant vers le rivage, et je fus si heureux, qu'il aborda sans aucun accident. |
NOTES: |
[(Page & Tome) 416, 1] |
SOURCE: |
Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. 16.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: |
Kuizenga D. |
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