OCCURRENCE: | 105124 accreditee |
CONTEXTE: | Dans le chapitre VI "Comment Pantagruel rencontra un Limousin, le héros se moque de celui-ci et en particulier de sa facon de parler. Le chaptire se termine sur ces mots : "Il faut éviter les mots épaves en pareille diligence que les patrons des navires évitent les rochers de mer." |
COTEXTE ET CITATION: | Seigneur sans doute ce galant veut contrefaire la langue des Parisians, mais il ne fait que ecorcher le latin et cuide ainsi Pindariser, et lui semble bien qu'il est quelque grand orateur en francais, parce qu il dédaigne l'usance commun de parler. |
NOTES: | Livre de Poche No 700, 1994, p. 139. |
SOURCE: | Rabelais, Pantagruel Roy des Dipsodes. 1533.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 101310 accreditee |
CONTEXTE: | Pantagruel rencontre un Limousin. |
COTEXTE ET CITATION: | Seigneur sans doute ce galant veut contrefaire la langue des Parisiens, mais il ne fait que ecorcher le latin et cuide ainsi Pindariser, et lui semble bien qu'il est quelque grand orateur en Francais, parce qu'il dédaigne l'usance commun de parler. |
NOTES: | [(Page) 139, chap VI] dans Livre de Poche, édition Defaux no 700, 1994 Christine de Buzon rappelle la dernière phrase du chapitre : "Il faut éviter les mots épaves en pareille diligence que les patrons des navires évitent les rochers en mer." |
SOURCE: | Rabelais, Pantagruel Roy des Dipsodes. 1533.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 306004 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur se prétend incapable de décrire la beauté de la tente de Calcha au moment où celui-ci accueille sa fille Briseida restituée par les Troyens. |
COTEXTE ET CITATION: | Car onques nus clerz tant ne sot Que la feiçon ne la emrveille Ne ce que li très apareille Poïst escrire en parchemin, Ne en romanz ne en latin. Jamais en effet il n’a encore existé de clerc assez savant pour décrire sur parchemin, en latin ou en langue française, l’aspect de la tente et les merveilles qu’elle offrait aux regards. Mais pour cette fois, je n’en veux rien dire. Taire m’en voil a ceste feiz. |
NOTES: | P. 304, v. 13830-35. |
SOURCE: | BENOÎT DE SAINTE-MAURE, Le Roman de Troie. Paris: Lettres Gothiques, 1998. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102836 chantier |
CONTEXTE: | Gil Blas est placé chez son oncle le chanoine Gil Perez, qui lui apprend à lire (et s'y perfectionne lui-même par la même occasion). Puis, il est mis sous la férule du docteur Godinez, le plus habile pedant d'Oviedo. Chez Godinez, il apprend le grec, le latin et la logique. |
NOTES: | [(Page) I, I, 24] |
SOURCE: | Le Sage (Alain René), Gil Blas de Santillane. Paris: Garnier, 1962.Edition Maurice Bardon |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 200223 accreditee |
CONTEXTE: | Edmond évoque dans une lettre à son frère le moment où enfant, il a appris à lire. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>« Tu t’en souviens ; quand nous allions à l’école, sous maître Jacques, j’eus le malheur d’apprendre à lire, à écrire et à jeter plus vite que toi […]CITATION>. Et là-dessus, nos pauvres père et mère (à bonne intention pourtant) me crurent fait pour devenir un docteur […] ; quand ils virent que je lisais tout couramment un livre latin en français, ils ne se sentirent pas de joie, et me destinèrent à être habitant des villes, pour y faire fortune. […] Oh la maudite facilité que j’eus donc là ! |
NOTES: | Rétif de La Bretonne, Nicolas, Le Paysan perverti, ou les dangers de la ville ; Histoire récente, mise au jour d’après les véritables lettres des personnages, 1776 ; édition utilisée : Lausanne, L’Age d’Homme, 1977, édition de François Jost, Lettre II, p.22 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Ferrand N. |
OCCURRENCE: | 305848 accreditee |
CONTEXTE: | Sabel enseigne l'épinette auc filles de la maison et le latin aux garçons. |
COTEXTE ET CITATION: | Cantidiane prit feu, & arrestant trop souvent ses yeux sur le visage de ce beau maistre, elle y rencontra le brisant où elle fit naufrage de sa franchise, & en suitte de son honneur. |
NOTES: | Page 501. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |