OCCURRENCE: | 306011 accreditee |
CONTEXTE: | Très affectée par la mort de ses fils, Hector et Troïlus, Hécube veut se venger contre Achille qui les a tués. |
COTEXTE ET CITATION: | Un jor comença a penser Cum sereient si fill vengié Del traïtor, del reneié, Qui les li a morz e toleiz. Pensé en a par mainte feiz ; S’el engigne par traïson Sa mort e sa destructïon, Cum de lui se puisse vengier, Nus hom ne s’en deit merveillier. Puis un jour elle se mit à réfléchir aux moyens de venger ses fils de ce perfide, de ce scélérat qui les lui a ravis et tués. Bien souvent elle y songeait : si c’est par la ruse et par la trahison qu’elle cherche à perdre Achille et à s’en venger, personne ne doit s’en étonner ni le lui reprocher. |
NOTES: | P. 482, v. 21844-52. Elle monte un stratagème pour forcer Pâris à surprendre Achille dans une embuscade (p. 482-498). |
SOURCE: | BENOÎT DE SAINTE-MAURE, Le Roman de Troie. Paris: Lettres Gothiques, 1998. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 306004 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur se prétend incapable de décrire la beauté de la tente de Calcha au moment où celui-ci accueille sa fille Briseida restituée par les Troyens. |
COTEXTE ET CITATION: | Car onques nus clerz tant ne sot Que la feiçon ne la emrveille Ne ce que li très apareille Poïst escrire en parchemin, Ne en romanz ne en latin. Jamais en effet il n’a encore existé de clerc assez savant pour décrire sur parchemin, en latin ou en langue française, l’aspect de la tente et les merveilles qu’elle offrait aux regards. Mais pour cette fois, je n’en veux rien dire. Taire m’en voil a ceste feiz. |
NOTES: | P. 304, v. 13830-35. |
SOURCE: | BENOÎT DE SAINTE-MAURE, Le Roman de Troie. Paris: Lettres Gothiques, 1998. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 101460 accreditee |
CONTEXTE: | Kaherdin, l'ami de Tristan, tue Cariado qui l'avait accusé de lâcheté. |
COTEXTE ET CITATION: | En grant aventure se mistrent. Deus baruns en la place occirent : L'un fud Karïado li beals, Kaherdin l'occist as cembeals pur tant que il dit qu'il s'en fui A l'altre feiz qu'il s'en parti. Ils avaient couru de gros risques en tuant sur place deux barons: l'un était le beau Cariado. Kaherdin le massacra lors des joutes parce que celui-ci avait déclaré que Kaherdin avait fui lorsqu'il était parti autrefois en exil. |
NOTES: | [(Page & Vers) Pp. 432-433, vv. 817-822. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Paris: Le livre de poche, 1989.no. 4521 |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |