OCCURRENCE: | 104020 accreditee |
CONTEXTE: | Lors d'un combat, Pontis, décharge son pistolet sur un ennemi au moment où celui-ci le perce de "part en part", "d'un brin d'estoc". Il apprend plus tard que cet ennemi, qui a la cuisse cassée, est un de ses camarades du régiment des Gardes. |
COTEXTE ET CITATION: | J'envoyai sur le champ un tambour pour savoir de ses nouvelles [...] et m'ayant répondu avec les mêmes sentiments de civilité et de douleur touchant à ce qui m'étoit arrivé, il envoya aussi le lendemain savoir de mes nouvelles. |
NOTES: | [(Page&tome) 343, XXXI] |
SOURCE: | Potocki (Comte), Manuscrit trouvé à Saragosse (Le). 1805.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 101798 chantier |
CONTEXTE: | Mlle de Benonville se fait des réflexions sur les sentiments qui commencent à naître chez elle touchant le marquis de Floriac. Elle est partagée entre l'attraction qu'il lui inspire et la crainte de se tromper sur son compte. |
NOTES: | [(Page) v.II, p.318-23] |
SOURCE: | Anonyme, Mademoiselle de Benonville nouvelle galante. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102650 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Ce que le dépit du Duc avoit de plus fâcheux, c'est que Monsieur aïant apris par l'Envoïé du Roi de Navarre comme cette Coquette tâchoit à se les conserver tous deux, et jugeant par la difference des excuses qu'elle leur faisoit, que les unes et les autres étoient fausses, retira les paroles qu'il avoit données à la Reine Mere touchant une trêve, et que la guerre devint plus allumée et plus opiniâtre qu'elle ne l'étoit auparavant. |
NOTES: | [(Page & Tome) 21, 1] Cie des Libraires p. 56 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Désordres de l'Amour (Les). . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100928 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur avoue son amour pour Théophé dans une lettre. |
COTEXTE ET CITATION: | J'écrivis en peu de lignes tout ce qu'un cœur pénétré d'estime et d'amour peut employer de plus vif et de plus touchant pour persuader sa tendresse. |
NOTES: | [(Page) 201] |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Garnier Flammarion/Alan J. Singerman: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Vergnes S., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102138 accreditee |
CONTEXTE: | Quand il court à l'aide d'Iphise, Simas la voit en déshabillé, sur le point d'être arrêtée. |
COTEXTE ET CITATION: | Je trouvai cette charmante personne dans un état qui augmenta mon amour, de la moitié. Elle étoit presque nue, et n'aïant eu le tems que de jetter une simare sur ses épaules qui retomboit negligemment tantôt d'un côté, tantôt d'un autre, on lui voïot quelques fois, la moitié d'une gorge incomparable ; d'autrefois un bras et une main que rien ne pouvoir [sic] égaler, et souvent même le hazard découvroit une jambe la plus blanche, et la mieux taillée que j'eusse jamais vu. Ses cheveux en desordre, et dont une partie échapant au linge qui les retenoit et lui flotoit à gros boüillons sur les épaules, relevoient par leur noirceur l'éclat de la peau qu'ils ombrageoient. Son air qui étoit doux naturellement, avait alors je ne sçai quoi de si touchant et de si amoureux, que le coeur d'un Barbare n'auroit pû resister à sa langueur. |
NOTES: | [(Page & Tome) 233-322] Slatkine vol.1, p.321 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. 1974, . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100008 accreditee |
CONTEXTE: | Quand il court à l'aide d'Iphise, Simas la voit en déshabillé, sur le point d'être arrêtée. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>Je trouvai cette charmante personne dans un état qui augmenta mon amour, de la moitié. CITATION>Elle étoit presque nu, et n'aïant eu le tems que de jetter une simare sur ses épaules qui retomboit négligemment tantôt d'un côté, tantôt d'un autre, on lui voïoit quelques-fois, la moitié d'une gorge incomparable; d'autrefois un bras et une main que rien ne pouvoir [sic] égaler, et souvent même le hazard découvroit une jambe la plus blanche, et la mieux taillée que j'eusse jamais vu. Ses cheveux en désordre, et dont une partie échapant au linge qui les retenoit et lui flotoit à gros boüillons sur les épaules, relevoient par leur noirceur l'éclat de la peau qu'ils ombrageoient. Son air qui étoit doux naturellement, avait alors je ne sçai quoi de si touchant et de si amoureux, que le coeur d'un Barbare n'auroit pû résister à sa langueur. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D., Sadiki T. |