OCCURRENCE: | 104100 accreditee |
CONTEXTE: | Quand Sylvie apprend à Englesace qu'elle veut qu'il parte de la maison de Menèze, Englesac menace de rentrer en France. |
COTEXTE ET CITATION: | Pour vous épargner les remords d'une infidélité que je n'eusse osé soupçonner en une ame comme la vôtre, il en faut étouffer le souvenir dans mon sang. |
NOTES: | [(Page) 73] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305492 accreditee |
CONTEXTE: | Floire vient de rentrer dans ses terres après avoir retrouvé et épousé Blanchefleur, et appris la mort de son père. |
COTEXTE ET CITATION: | Flores se fait crestïener et aprés a roi coroner. Por Blanceflor, la soie amie, mena puis crestiiene loi. Sa corone li presignierent et saintement le baptisierent. |
NOTES: | P. 105, v. 3301-3308. |
SOURCE: | Anonyme, Floire et Blanchefleur. Jean-Luc Leclanche, Champion: Paris, 1980. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305610 accreditee |
CONTEXTE: | Aiol, le fils d’Elie, part en France pour reconquérir son héritage, dont le roi Louis, sur les conseils du traître Makaire, a dépossédé son père, qu'il a exilé, malgré les services rendus contre les Sarrasins. C’est le commencement de ses aventures. |
COTEXTE ET CITATION: | Loeys li fieux Karle mal gueredon l’en fist : Il li toli sa tere et chou qu’il dut tenir, Et le cacha de France a paine et a essil Par le conseil Makaire,[…]. «-E dieus che dist Elie[s], molt par es ber! «Bien sai qu’encore arai mes iretés «Par mon enfant Aiol[s] c’ai engendré». «-Ch’arés mon, dist Aiols, vos les rarés, «De chou vos tous raseurés: «Se Dieux me maine en France a saveté «Que al roi Loeys puisse parler, «Ançois que vos voiés [tout] cest an passer, «Les vos voil toutes rendre et aquiter». Le fils de Charles, Louis, lui en donna une bien mauvaise récompense: il lui enleva sa terre et tous les biens qu’il aurait dû tenir, et le chassa de France en exil, sur le conseil de Makaire[…] - «Eh, Dieu», dit Elie, «tu [Aiol] es brave et noble! Je sais bien que je vais rentrer en possession de mon héritage, grâce à mon fils Aiol, que j’ai engendré». - «Vous aurez cela assurément. Vous le posséderai à nouveau», dit Aiol. «De cela, soyez tous rassurés: si Dieu me mène en France sain et sauf, et si je peux parler au roi Louis, je veux tout vous faire rendre et livrer avant la fin de l’année». (ma traduction) |
NOTES: | P. 2, vers 44-47 ; p. 10, vers 312-320. |
SOURCE: | Anonyme, Aiol. Paris: Didot, 1877.Edition Jacques Normand & Gaston Raynaud |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |