OCCURRENCE: | 103682 accreditee |
CONTEXTE: | La dame de Fayel s'entend avec sa chambrière pour refuser d'ouvrir au châtelain afin de tester sa constance. |
COTEXTE ET CITATION: | Je ne le puis faire trop doloir ne souffrir trop grant mesaise ; s'il a ores grant paine et enduré malvaise nuit, bien luy sera guerredonné, car s'il avoit joye sanz paine, il averoit trop bon marchié de dame. |
NOTES: | [(Page) P. 81 ; p. 112 : malgré la pluie et le vent, la dame de Fayel maintient sa décision de ne pas ouvrir sa porte. |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 103670 chantier |
CONTEXTE: | Une femme bien née aime honnêtement un homme, qu'elle épouse. Mais elle a un frère jaloux et soucieux de son honneur. Un jour, ignorant les liens de mariage et pris de fureur, il fait tuer le gentilhomme, maris de sa soeur. Quand il se calme et apprend la vérité, il regrette sa décision. |
NOTES: | [(Page & nouv.) 274-77, 40] Au lieu de faire naître la pitié et la frayeur, cette histoire déclenche un débat. |
SOURCE: | Navarre (Marguerite de), Heptaméron. Flammarion: Paris, 1982. |
CHERCHEUR/E: | Rietrak W. |
OCCURRENCE: | 305407 accreditee |
CONTEXTE: | Le prince a des doutes concernant la fidélité de sa femme et ne veut pas la voir bien qu'elle soit extrêmement malade. Il cache son embarras sur la décision à prendre et la honte de ne pas se comporter en mari attentionné. |
COTEXTE ET CITATION: | Le prince feignit d'être malade, afin qu'on ne s'étonnât de ce qu'il n'entrait pas dans la chambre de sa femme. |
NOTES: | Page 31. |
SOURCE: | La Fayette (Mme de), Princesse de Montpensier. Paris: Garnier, 1961.dans Romans et Nouvelles, édition Emile Magne |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 200199 accreditee |
CONTEXTE: | Chah-Jehan, sultan oriental, entretient des relations incestueuses avec sa fille Begum-Saheb. |
COTEXTE ET CITATION: | Pour ce qui est des filles, <citation>Begum-Saheb etoit tres-belle, avoit beaucoup d'esprit, & son pere l'aimoit passionnement : Le bruit couroit même qu'il l'aimoit jusques à un point qu'on a de la peine à s'imaginer,citation> & disoit pour excuse, que selon la decision de ses Mullahs, ou Docteurs de sa Loi, il seroit bien permis à un homme de manger le fruit d'un arbre qu'il auroit planté [...] |
NOTES: | P. 16. Voir aussi TUER RIVAL PAR JALOUSIE. |
SOURCE: | Bernier, François, Voyages. Chez Paul Marret: Amsterdam, 1710. |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |