OCCURRENCE: | 103702 accreditee |
CONTEXTE: | Pour empêcher Nicolette d' entretenir une relation amoureuse avec Aucassin, son père adoptif, le vicomte de Beaucaire l'enferme dans une chambre de son palais. |
COTEXTE ET CITATION: | "Et li visquens estoit molt Rices hom, si avoit un rice palais par devers un gardin. En une canbre la fist metre Nicolete en un haut estage et une vielle aveuc li por conpagnie et por soiste tenir, et s' i fist metre pain et car et vineqt quanque mestiers lor fu. Puis si fist l' uis seeler c' on n' i peust de nule part entrer ne iscir, fors tant qu' il i avoit une fenestre par devers le gardin asses petite dont il lor venoit un peu d' essor." |
NOTES: | [(Page) 50-52] L' enfermement de la dame dans une chambre ou une tour est un topos récurrent des récits médiévaux ou elle subit ce sort de la part du mari jaloux. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200174 accreditee |
CONTEXTE: | Guinglain qui vient de délivrer la fille du roi Gringras de son enchantement a mérité de l’épouser et de devenir roi, ce qui sera confirmé par ses barons (108) puis par Arthur lui-même (189). Tout le reste du roman découlera de cela car il sera partagé entre ce mariage de raison et son amour pour la fée de l’Ile d’Or, la Pucelle aux Blanches Mains. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais prier vos vel par francisse, Quant vos m’avés del tot conquisse, Que vos a feme me prendés ; Rices roi serés coronnés. Tos sevent ja par la contree Que de peril m’avez jetee. P. 104, vv. 3395-3400 Mais je veux vous prier par reconnaissance, puisque vous m’avez délivrée, de me prendre pour femme. Vous serez un puissant roi portant couronne. Déjà, dans le pays, tous savent que vous m’avez sauvée. (65) |
NOTES: | P. 104, vv. 3395-3400 Voir pages 67 et 125 |
SOURCE: | Renaud de Beaujeu, Le Bel Inconnu. Champion: Paris, 1983.Edition G. Perrie Williams ; traduction par Michelle Perret et Isabelle Weill, Paris, Champion, 1991. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |