OCCURRENCE: | 305977 accreditee |
CONTEXTE: | Énéas vient d'aborder en Lombardie dont le roi, Latinus, lui accorde sa fille et la souveraineté sur ses terres selon l'ordre des Dieux. Le topos est récurrent dans la suite du texte car il scande le récit de la guerre qui opposera Énéas au prétendant déchu, Turnus. |
COTEXTE ET CITATION: | Moult par sui viex, si n’ay nul hoir ne mais que sole une meschine, une fille qu’a non Lavine ; je l’ay proumisse estre mon gré et encontre ma volenté a .i. prince de cest paÿs, il a non Turnuz li marchiz. Ma mouillier veult qu’il ait mon regne et ma fille Lavine a femme, mais sortiz est et destiné, et tuit li dieu ont esgardé qu’.i. estranges hom l’avra de cui roial lignie istra. Je suis très âgé et sans héritier, si ce n’est une fille unique, appelée Lavine ; je l’ai promise contre mon gré et contre ma volonté à un prince de ce pays, il s’appelle Turnus, le marquis. Mon épouse veut qu’il reçoive mon royaume et ma fille Lavine pour femme, mais le sort, le destin et tous les dieux ont décidé que les obtiendra un étranger, souche d’une lignée de rois. |
NOTES: | P. 232, v. 3311-23. |
SOURCE: | Anonyme, Roman d Énéas. Paris: Lettres Gothiques, 1997. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 103944 chantier |
CONTEXTE: | Dans "Le fils impie", Pandolfe est le fils unique d'une mère qui, devenue veuve, s'éprend du fils de son garde-dames, et l'épouse en secret. Avec l'aide de son oncle (qui a aussi épousé la soeur de son père) il enferme sa mère dans un château écarté où elle meurt en couches. |
NOTES: | [(Page & Chapitre & To) II, 9, 328-340] |
SOURCE: | Camus (Jean-Pierre), Evénements singuliers (Les). J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 104276 accreditee |
CONTEXTE: | Julie est incertaine quant à la proposition de Milord Edouard. Elle demande conseil à son amie. |
COTEXTE ET CITATION: | Ah ! Chère et tendre amie, toi qui fus toujours mon unique ressource et qui m'as tant de fois sauvée de la mort et du désespoir, considère aujourd'hui l'horrible état de mon âme, et vois si jamais tes secourables soins me furent plus nécessaitres ! Tu sais si tes avis sont écoutés, tu sais si tes conseils sont suivis, tu viens de voir au prix du bonheur de ma vie si je sais différer aux leçons de l'amitié. Prends donc pitié de l'accablement où tu m'as réduite ; achève, puisque tu as commencé ; supplée à mon courage abattu, pense pour celle qui ne pense plus que par toi ... Choisis à ma place, quand je n'ai plus la force de vouloir, ni la raison de choisir. |
NOTES: | Tome I, page 256 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Dhifaoui. |
OCCURRENCE: | 101552 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Je ne trouvais que deux principes sur lesquels on avait fait rouler mon éducation : l'un qui m'avait fait regarder les hommes comme l'unique source de la fortune et du bonheur des femmes; l'autre qui m'avait appris que par nos complaisances, notre soumission, nos caresses, nous pouvions acquérir sur eux une espèce d'empire." |
NOTES: | [(Page) 80] |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Desbordes/Didot: Amsterdam / Paris, 1740.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Marsal H., Weil M. |
OCCURRENCE: | 101060 accreditee |
CONTEXTE: | Le fidèle ami de Des Grieux, Tiberge, fait un long voyage pour soutenir le héros dans sa douleur lors de la mort de Manon. |
COTEXTE ET CITATION: | "Ce fidèle ami me remit de loin, malgré les changements que la tristesse avaient fait sur mon visage. <CITATION>Il m'apprit que l'unique motif de son voyage avait été le désir de me voir CITATION>et de m'engager à retourner en France; qu'ayant reçu la lettre que je lui avais écrite du Havre, il s'y était rendu en personne<CITATION> pour me porter les secours que lui demandaisCITATION>." |
NOTES: | [( Page & Partie) 203] Edition Classiques Garnier |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Landry L., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100392 accreditee |
CONTEXTE: | En dépit de l'amour qui unit Julie, une jeune fille de petite noblesse, et son précepteur Saint-Preux, les jeunes gens sont séparés et Julie est mariée à Monsieur de Wolmar. |
COTEXTE ET CITATION: | Le Baron d'Étange consentir à donner sa fille, son enfant unique, à un petit bourgeois sans fortune ? L'espères-tu ?..... qu'espères-tu donc ?..... que veux-tu ?.....pauvre, pauvre cousine!..... |
NOTES: | Tome I, page 89. Voir aussi PERE_REFUSER_GENDRE et CONTRAINDRE_MARIAGE_SANS_AMOUR |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
CHERCHEUR/E: | Boursier N. |