OCCURRENCE: | 104330 accreditee |
CONTEXTE: | Clarice se meurt à la suite d'une tentative d'enlèvement. |
COTEXTE ET CITATION: | Clarice se mourait. [...] Je Meurs, dit-elle à Clorante, et vous êtes désormais affranchi de la peine de me voir. |
NOTES: | [(Page& Partie) 300-301, V] [ancien AGONIE. Voir aussi: DEFENDRE_(SE)_MOURIR_F) EG] Autre occurrence dans topos PUNITION_DE_LA_VIOLENCE : Un acte violent est puni. Expier son crime; t.V, p.299 Clarice réussit à détourner le poignard de Turcamène quand celui-ci tente de l'enlever. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C., Grodek E. |
OCCURRENCE: | 305400 accreditee |
CONTEXTE: | Yseut meurt de douleur sur le corps de Tristan. |
COTEXTE ET CITATION: | Amis, Tristan, quant mort vus vei, Par reisun vivre puis ne dei. Mort estes pur la meie amur, E jo muer, amis, de tendrur, Quant a tens ne poi venir. Ami, en vous voyant mort, je ne peux ni ne dois souhaiter vivre. Vous êtes mort par amour pour moi et je Meurs de tendresse pour vous, mon ami, parce que je n'ai pu arriver à temps. |
NOTES: | P. 478-479, vv. 1813-1817. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Lettres Gothiques/Librairie Générale Fr.: 1989.ms Douce, Bibl. Bodléienne d\'Oxford |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104332 accreditee |
CONTEXTE: | Clarice s'est blessée d'un coup mortel en se défendant d'une tentative d'enlèvement par Turcamène. |
COTEXTE ET CITATION: | Je Meurs, dit-elle à Clorante, et vous êtes désormais affranchi de la peine de me voir. |
NOTES: | [(Page) V, 300-301] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 100746 accreditee |
CONTEXTE: | Le héros secourt la femme dont il va ensuite tomber amoureux. |
COTEXTE ET CITATION: | Quand je fus près du cheval de bronze, je vis une femme enveloppée dans une écharpe [...] qui disait : "Ah! Je Meurs! " <CITATION>A ces mots que j'entendis, je m'approchai d'elle pour savoir si elle n'avait pas besoin de secoursCITATION>. |
NOTES: | [(Page) 54 chap I GF ] Note : edition GF 1965 |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Paysan parvenu (Le) ou les Mémoires de M***. Garnier/Deloffre: Paris, 1969. |
CHERCHEUR/E: | Cammas I. |
OCCURRENCE: | 104338 accreditee |
CONTEXTE: | Mort du père de Mériante. |
COTEXTE ET CITATION: | En finisant ces mots, sa faiblesse augmenta. Je me Meurs, dit-il d'une voix expirante. |
NOTES: | [(Page& Partie) 189, III] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C., Grodek E. |
OCCURRENCE: | 105094 accreditee |
CONTEXTE: | Que mes sentiments soient assez violents! [...] Adieu, promettez-moi de me regretter tendrement, si je Meurs de douleur, et qu'au moins la violence de ma passion nous donne du dégoût et de l'éloignement pour toutes choses. |
COTEXTE ET CITATION: | Chaque lettre de cette oeuvre contient des passages ou les sentiments de l'héroïne s'expriment avec violence. |
NOTES: | [(Page & Tome & Ch) 158, 1, III] |
SOURCE: | Guilleragues, Lettres portugaises traduites en français. Barbin: 1669.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Calas F. |
OCCURRENCE: | 305339 accreditee |
CONTEXTE: | St. Preux fait l’aveu de son amour à Julie. |
COTEXTE ET CITATION: | Cependant je languis et me consume ; le feu coule dans mes veines ; rien ne saurait l’éteindre ni le calmer, et je l’irrite en voulant le contraindre. Je dois être heureux, je le suis, j’en conviens ; je en me plains point de mon sort ; tel qu’il est je n’en changerais pas avec les Rois de la terre. Cependant un mal réel me tourmente, je cherche vainement à le fuir ; je ne voudrais point mourir, et toutefois je me Meurs ; je voudrais vivre pour vous, et c’est vous qui m’ôtez la vie. |
NOTES: | T. I, p. 98 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305342 accreditee |
CONTEXTE: | Après la mort de Julie, M. de Wolmar insère dans la lettre qu’il envoie à St. Preux pour lui annoncer la nouvelle, celle qu’elle lui a écrite avant de mourir. Elle lui avoue que son amour pour lui est toujours vivant. |
COTEXTE ET CITATION: | Oui, j’eus beau vouloir étouffer le premier sentiment qui m’a fait vivre, il s’est concentré dans mon cœur. Il s’y réveille au moment qu’il n’est plus à craindre ; il me soutient quand mes forces m’abandonnent ; il me ranime quand je Meurs. |
NOTES: | t. II, p. 385 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305346 accreditee |
CONTEXTE: | St. Preux est chassé par le Baron d’Étange qui refuse son mariage avec Julie à cause de la disparité sociale et parce qu’il l’a promise à M. de Wolmar. Malgré l’attachement de Milord Édouard pour lui et le soin dont il l’entoure, il sombre dans le désespoir. |
COTEXTE ET CITATION: | Meurs donc, jeune insensé : Meurs, homme à la fois féroce et lâche : mais sache en mourant que tu laisses dans l’âme d’un honnête homme à qu tu fus cher, la douleur de n’avoir servi qu’un ingrat. |
NOTES: | T. I, p. 390. Voir aussi t. I, p. 403 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305705 accreditee |
CONTEXTE: | Il s'agit du Conte premier, par Madame Mélibée |
COTEXTE ET CITATION: | En la ville de Tholose naguiere demeuroit ung riche et tresopulant homme nommé Pyralius, lequel avoit pour espouse une moult belle Damoiselle qu’on appelloit par nom madame Rosemonde Chiprine. A cestuy Pyralius certes villain de Meurs et non assez apte pour servir une si jeune Dame telle qu’estoit la dame Rosemonde au faict et lucte du delicieux amour, la naturelle chaleur par longues maladies estoit faillye et jà estaincte par le merite de ses longs et vieulx ans, et oultre ce, se trouvoit si difforme et malheureux en beaulté qu’il ressembloit plustost quelque monstre que non pas homme humain […]. |
NOTES: | Pages 47-48. |
SOURCE: | Flore Jeanne, Contes amoureux. Saint-Étienne: Université de Saint-Étienne, 2005.Éd. R. Reynolds-Cornell |
CHERCHEUR/E: | Duché, Véronique |