OCCURRENCE: | 102610 accreditee |
CONTEXTE: | Périandre tente d'enlever Caliste, mais Clorante l'accable "d'un coup mortel" et l'envoie "aux enfers". |
COTEXTE ET CITATION: | Périandre se défend quelque temps avec les siens : mais qui peut résister à l'amour armé pour défendre l'objet qui l'allume, et secondé d'un ami intrépide et plein de valeur ? Périandre et les siens tombent percés de plusieurs coups mortels. |
NOTES: | [(Page) Tome V, 300] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 102608 accreditee |
CONTEXTE: | Périandre tente d'enlever Caliste, mais Clorante l'accable "d'un coup mortel" et l'envoie "aux enfers". |
COTEXTE ET CITATION: | Périandre se défend quelque temps avec les siens : mais qui peut résister à l'amour armé pour défendre l'objet qui l'allume, et secondé d'un ami intrépide et plein de valeur ? Périandre et les siens tombent percés de plusieurs coups mortels. |
NOTES: | [(Page) Tome V, 300] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 104136 accreditee |
CONTEXTE: | Les gardes veulent se saisir d'Artambert, près du lieu où Almanzayde se cache. |
COTEXTE ET CITATION: | Il tira son épée, et la faisant d'abord sentir à ceux qui étoient le plus avancez : Ah! lâches, s'écria-t-il, ce ne sera pas par des mains aussi viles que les vôtres, et par les ordres de vôtre injuste Reine qu'Artambert répandra son sang, il le doit à deux grandes Princesses, mais il sera seul le ministre de leur vangeance, puis que seul il a été l'instrument de leur peine, et c'est mon bras qui doit satisfaire la Reine des Canaries et vôtre Princesse, et non pas vôtre barbare fureur. En proferant ces mots, il avoit déja fait grand, et qu'il s'augmentoit à tous momens de quelques amis ou de quelques parents de deux qu'il avoit tuez, il fut si fort accablé d'ennemis qu'il jugea bien que tout ce qu'il pouvoit, c'étoit de vendre cherement sa vie, de sorte que ne voulant pas être attaqué par derriere, il s'appuya contre la porte du lieu, où j'étois, et se croyant à sa dernière extrêmité, il eut apparemment un remors de l'infidelité qu'il m'avoit faite, et s'écria : "Il est juste, Almanzaïde, il est juste que mon sang vous satisfasse". Comme il disoit ces mots, j'ouvrois le lieu où j'étois, et tirant brusquement le Prince de Thulé à moy, j'en refermay precipatimment la porte, et lui ouvrant celle, qui donnoint sur le bord de la mer : "Sauve-toy, Artambert, lui dis-je, et sçache que ce n'est pas ton sang qu'Almanzaïde demande". |
NOTES: | [(Page & Tome) 517, 1] Cie des Libraires p. 439-440 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Alcidamie. 16.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102784 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | "Il est affreux sans doute d'avoir à peindre, d'une part, les malheurs effrayants dont le ciel accable la femme douce et sensible qui respecte le mieux la vertu [...]" |
NOTES: | v. 5 Oeuvres complètes, 1966, Paris, Pauvert, Lettre 1, p. 90 |
SOURCE: | Sade (Marquis de), Justine ou les malheurs de la vertu. Oeuvres complètes du marquis de Sade: Cercle du livre précieux, 1975. |
CHERCHEUR/E: | Bolles N. |
OCCURRENCE: | 105314 accreditee |
CONTEXTE: | Au cours d'un bal masqué, où les deux hommes qui la courtisent portent à son insu le même déguisement, la princesse de Montpensier se trahit en adressant un message révélateur à celui qu'elle n'aime pas alors qu'elle croit parler à celui qu'elle aime. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle se retira sitôt qu'elle eut achevé ces paroles. Le duc d'Anjou en demeura accablé comme d'un coup de tonnerre. <CITATION>Il vit dans ce moment qu'il avait un rival aimé. Il comprit par le nom de Madame, que ce rival était le duc de GuiseCITATION>[...]". |
NOTES: | Page 19 |
SOURCE: | . |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 103544 accreditee |
CONTEXTE: | La nuit de ses noces, Tanzaï, plein de désirs, se trouve dépossédé de ses capacités, puis de son pénis, qui disparaît par enchantement. |
COTEXTE ET CITATION: | Tanzaï s'estime accablé par "le plus inouï et le plus cruel des accidents". |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 136, IX] La castration s'effectue ici magiquement. Elle résulte de la transgression d'un interdit et de l'incapacité à la réparer selon les méthodes imposées par la fée. Cette castration sera suivie d'un second accident : l'écumoire donnée à Tanzaï par la fée viendra s'attacher à son bas ventre. |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |
OCCURRENCE: | 103548 accreditee |
CONTEXTE: | La nuit de ses noces, Tanzaï, plein de désirs, se trouve dépossédé de ses capacités, puis de son pénis, qui disparaît par enchantement. |
COTEXTE ET CITATION: | Tanzaï s'estime accablé par "le plus inouï et le plus cruel des accidents". |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 136, IX] |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |