OCCURRENCE: | 305960 accreditee |
CONTEXTE: | Girart qui s'est révolté contre le roi Charles, envoie un moine en ambassade auprès de lui pour négocier. Face à la colère de Charles, il a peur qu’il ne le mutile et lui coupe les génitoires. Le roi se calme car il comprend qu’il n’aurait aucun intérêt à le mutiler. |
COTEXTE ET CITATION: | Li monges ot de Carle qui o lui tence, E entent la razon con la comence. E tem noil face torre la genitence, Cal ore qu’en fust fait la penitence. […] « Se ne m’ere per Deu e per perir, Talent ai de ca coille c’on la vos tir ». Le moine, qui comprend que Charles passe sa colère sur lui, entend bien ce dont il s’agit. Il a peur que le roi ne lui fasse couper les génitoires quitte à en faire pénitence ensuite. […] « N’était la crainte de Dieu et de l’enfer, je te ferais arracher les couilles ». |
NOTES: | Page 506-07, v. 6701-04 ; 6731-32. |
SOURCE: | Anonyme, Girart de Roussillon. Paris: Livre de poche, Lettres gothiques, 1993.Édition de W.M. Hackett (1953-55) Traduction de Micheline de Combarieu du Grès et Gérard Guiran. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305477 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi et la reine décident de faire croire à leur fils Floire que son aimée Blanchefleur est morte : ils espèrent ainsi les séparer définitivement. |
COTEXTE ET CITATION: | Sire, fait ele, a moi entent : car faisons faire un tomblel gent, fais soit de marbre et de cristal, et d’or et d’argent li esmal. “Morte est Blanceflor”, ce dirons et nostre fil conforterons.” |
NOTES: | P. 33, v. 543-547. |
SOURCE: | Anonyme, Floire et Blanchefleur. Jean-Luc Leclanche, Champion: Paris, 1980. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305486 accreditee |
CONTEXTE: | Test de virginité que fait passer l’amiral de Babylone aux jeunes filles de son harem. celle qui échoue est jetée à l’eau. |
COTEXTE ET CITATION: | Quant li amirals veut coisir, ses puceles i fait venir au ruissel de la fontenele dont de fin or est la gravele ; quant passer doivent le canal qui fais est d’or et de cristal, outre en vont ordeneement et il au passer molt entent et a sa gent i fait entendre. Grant merveille i puet on aprendre, car quant il i passe pucele, lors est li eve clere et bele ; au trespasser de feme eüe l’eve en est lués tote meüe. |
NOTES: | P. 72, v. 2059-2072. |
SOURCE: | Anonyme, Floire et Blanchefleur. Jean-Luc Leclanche, Champion: Paris, 1980. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |