OCCURRENCE: | 100832 accreditee |
CONTEXTE: | Mme de la Pommeraye ordonne à la mère d'Aisnon et à sa fille de changer d'apparence afin que leur nouvelle condition sociale attire le marquis des Arcis. |
COTEXTE ET CITATION: | Vous prendrez, dès demain, l'habit de dévotes, parce qu'il faut qu'on vous croie telles. |
NOTES: | Page 151. Il est intéressant de noter que c'est en fait en reprenant leur vrai nom qu'elles dissimulent leur véritable condition : voir un peu plus loin dans le "précis de la conduite qu'elles ont à tenir": "Vous reprendrez votre nom de famille, parce qu'il est honnête, et qu'on fera tôt ou tard des informations dans votre province." (GF p.152) |
SOURCE: | Diderot (Denis), Jacques le Fataliste et son Maître. Paris: Garnier-Flammarion, 1970. |
CHERCHEUR/E: | Boursier N. |
OCCURRENCE: | 104550 accreditee |
CONTEXTE: | Présentation des aventures d'Anaxandre. |
COTEXTE ET CITATION: | Ses Avantures [celles d'Anaxandre] sont plus Galantes qu'Heroïques; et quoy qu'il se tirast peut-estre assez bien d'une Bataille s'il l'avoit entrepris, il sçait que l'Art Militaire n'est pas à l'usage des Dames, et que vous prendrez plus de plaisir à luy entendre raconter le Siege d'un Coeur, que celuy d'une Ville. |
NOTES: | Page[s]: 'Aux Dames de la Cour de Bruxelles», n.p. [v-vi]. |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Anaxandre, nouvelle. Jean Ribou: Paris, 1667.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305517 accreditee |
CONTEXTE: | Yvain se trouve prisonnier dans le château d’Esclados le Roux qu’il vient de tuer en combat singulier. Lunette, envers qui il s’est montré courtois par le passé va l’aider par reconnaissance en lui donnant un anneau qui rend invisible. |
COTEXTE ET CITATION: | “Ja n’i serés pris n’afolés. Mais chest mien anel prenderés, Et, s’il vous plaist, sil me rendrés Quant je vous arai delivré.” Lors li a l’anel tost livré, Si li a dit qu’il a tel forche Comme a li fus desous l’escorche Qui le keuvre, c’on n’en voit point. Mais il couvient quë on l’enpoint, Si qu’el poing soit la pierre enclose, Puis n’a garde de nule chose, Tant soit entre ses anemis. Ja par eux ne sera maumis Chil qui l’anel en son doit a, Que ja veoir ne le porra Nuz hom, tant ait les iex ouvers. Jamais, si vous voulez avoir confiance en moi, vous ne serez ni capturé ni blessé. En revanche vous prendrez cet anneau qui m’appartient, et, s’il vous plaît, vous me le rendrez quand je vous aurai délivré.” Alors elle lui a vite remis l’anneau en lui disant qu’il a le même pouvoir que le bois qui est sous l’écorce qui le recouvre, de telle sorte qu’on ne le voit point. Seulement il faut qu’on le prenne en sa main de manière à enfermer la pierre dans son poing ; alors on n’a plus rien à craindre, même si on se trouve entre ses ennemis. Jamais ils ne pourront faire du mal à celui qui porte l’anneau à son doigt, car nul homme, même les yeux grands ouverts, ne pourra le voir. |
NOTES: | P. 112, v. 1020-1035 ; trad. p. 113. |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |