OCCURRENCE: | 103754 accreditee |
CONTEXTE: | Un mari se désole parce que sa femme est à l'article de la mort. Il la guérit grâce au remède qu'elle lui indique. |
COTEXTE ET CITATION: | Pensez vous qu'en ce monde cy soit medicine qui plus puisse aider et susciter la maladie d'entre nous femmes que la doulce et amoureuse compaignie des hommes ? Me voiez vous bien deffaicte et seche par grefté de mal ? Aultre chose ne m'est mestier que compaignie de vous. Ho! dit l'aultre, je vous gariray prestement." <CITATION>Il sault sur le lit, et besoigna le mieulx qu'il peut ; et tantost qu'il eut rompu deux lances, elle se leve et se mist sur ses piez CITATION>. |
NOTES: | [(Page) 516-17] |
SOURCE: | Anonyme, Cent nouvelles nouvelles (Les). Droz, éd. Sweetser: Genève, 1966. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200156 accreditee |
CONTEXTE: | En ne s’engageant pas dans le tournoi, Gauvain ne se comporte pas en chevalier aux yeux des autres qui le prennent pour un marchand déguisé en chevalier. |
COTEXTE ET CITATION: | Ja cil ne l’ossera desfandre Qui l’a amené en la vile, Il sert de molt malveise guile, Escuz et lances fait porter Et chevax an destre mener Et ensin les costumes amble Por ce que chevalier resamble. Il se fait franc en ceste guise Quant il vet an marcheandise. Jamais n’osera prendre sa défense celui qui l’a conduit dans la ville, car il use d’une indigne tromperie, en faisant transporter des écus et des lances et mener des chevaux par la bride. Il fraude ainsi les impôts coutumiers, en ressemblant à un chevalier. De cette manière il se fait exempt de taxe, alors qu’il va vendre sa marchandise. (371) |
NOTES: | P. 370, v. 5148-5156. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |