OCCURRENCE: | 305879 accreditee |
CONTEXTE: | Un gentilhomme de la suite du prince Charles de Valois, tombe sous le charme d’une villageoise vue au cours d’une chasse. Mais elle lui résiste. |
COTEXTE ET CITATION: | Il fait empoigner cette vertueuse fille par ses valets, & avecque leur aide il obtint d’elle par force ce qu’il ne pouvoit attendre ny esperer autrement. |
NOTES: | Page 138. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305944 accreditee |
CONTEXTE: | Ami conseille l'Amant afin qu'il puisse obtenir une entrevue avec l'aimée, la Rose enfermée dans le château de Jalousie. |
COTEXTE ET CITATION: | Faites i par aucun paler Qui soit messages couvenables, Par voiz, par lettres ou par tables. Mais ja n'i metez vostre non, Ja cil n'i soit se cele non, Cele resoit cil apelee : La chose en sera mieus celée. Faites leur transmettre vos paroles par quelqu'un qui soit un messager convenable, de vive voix, ou par lettres, ou par des tablettes. Mais en aucun cas n'y mettez votre nom : que jamais "lui" n'y figure autrement que par "elle", et qu'"elle" soit à son tour appelée "lui". |
NOTES: | p. 456-457, v. 7490-96. |
SOURCE: | Guillaume de Lorris et Jean de Meun, Roman de la rose. Paris: Lettres Gothiques, 1992. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 100470 accreditee |
CONTEXTE: | L'Histoire de Mme de La Pommeraye et du marquis des Arcis montre la vengeance d'une femme qui a amené son amant à admettre qu'il ne l'aimait plus. |
COTEXTE ET CITATION: | "Je vous ai dit que cette femme avait de la fierté; mais elle était bien autrement vindicative. Lorsque les premières fureurs furent calmées, et qu'elle jouit de toute la tranquillité de son indignation, elle songea à se venger, mais à se venger d'une manière cruelle, d'une manière à effrayer tous ceux qui seraient tentés à l'avenir de séduire et de tromper une honnête femme. Elle s'est vengée, elle s'est cruellement vengée [...]" |
NOTES: | P. 147. |
SOURCE: | Diderot (Denis), Jacques le Fataliste et son Maître. Paris: Garnier-Flammarion, 1970. |
CHERCHEUR/E: | Boursier N. |
OCCURRENCE: | 200150 accreditee |
CONTEXTE: | Perceval interprète de travers les recommandations de sa mère de ne pas profiter d’un baiser accordé par une dame et prend les baisers de force. |
COTEXTE ET CITATION: | Li vallez avoit les bras fors, Si l’enbraça molt nicemant, Qu’il ne le sot faire autremant, Mist la soz lui tote estandue Et cele s’et bien desfandue Et gandilla quant qu’ele pot, Mais desfanse mestier n’i ot, Que li vallez tot de randon La baissa, vosist ele o non, Vint foiz, si com li contes dit. Le jeune homme avait les bras solides, il l’a prise dans ses bras non sans gaucherie, car il ne savait pas s’y prendre autrement. Il l’a renversée sous lui, elle s’est bien défendue, elle s’est dégagée tant qu’elle a pu, mais c’était peine perdue ! Le jeune homme lui prit d’affilée, bon gré, mal gré, vingt fois des baisers, suivant l’histoire. (71) |
NOTES: | P. 70, vv. 664-673 |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |