OCCURRENCE: | 101380 chantier |
CONTEXTE: | Un chevalier de Malte décide d'armer un vaisseau et de faire le corsaire contre les vaisseaux barbaresques. |
NOTES: | [(Page) V.II, pp.1-2] |
SOURCE: | Anonyme, Hattigé, ou la belle Turque. Claude Jordan: Amsterdam, 1723. |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 200182 accreditee |
CONTEXTE: | Ne voulant pas courir de risque qui l’empêcherait de se blanchir de l’accusation de trahison que vient de lui lancer Guingambresil, Gauvain tâche d’éviter de participer au tournoi qui se prépare. Il se trouve en butte aux moqueries des dames. |
COTEXTE ET CITATION: | Dex ! Fait l’une des damoiselles, Cil chevaliers desoz cel charme, Que atant il quant il ne s’arme ?” Une autre plus desmesuree Li dist : “Il a la pais juree”. Et une autre li dist aprés : “Marcheanz est, no dites mes Qu’il doie a torneier entandre. Toz ces chevaus maine il por vandre. -- “Ainz est changierres, fait la quarte.” Mon Dieu ! fait l’une des demoiselles, mais qu’attend-il pour s’armer, ce chevalier, là-bas, sous le charme ? Une autre, moins réservée, lui a dit : “Sans doute a-t-il juré la paix !” Et une autre d’ajouter : “C’est un marchand ! N’allez plus dire qu’il doit avoir en tête de faire le tournoi ! Tous ces chevaux, il les mène vendre. -- Mais non ! C’est un changeur ! dit la quatrième.” (361) |
NOTES: | P. 360, vv. 4982-4992 Le passage va jusqu’au vers 5035 : Gauvain est affecté par ces moqueries mais justifie son attitude. Reprise des moqueries aux vers 5048-5081. Les moqueries font place à des accusations aux vers 5134-5163 d’être un marchand travesti en chevalier. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305437 accreditee |
CONTEXTE: | Au départ d’Ydoine pour sa campagne de tournois, Ydoine lui offre les enseignes qu’il portera en son honneur. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais a s’amie ot ains parlé, Et ele a lui a volenté. Par drüerie li envoie Une enseigne de fine soie Bien ouvree d’oevre soutil Et une mance de cainsil Et une çainture a armer. Mais auparavant il a parlé à son amie et elle a conversé avec lui en toute liberté. En gage d’amour, elle lui a fait parvenir une banderolle de soie pure ouvragée avec art, une manche de tunique d’une fine étoffe de lin et de soie et un baudrier. |
NOTES: | P. 79-80, v.1353-1359 ; trad. p. 34. |
SOURCE: | Anonyme, Amadas et Ydoine. Champion, éd. John R. Reinhard: Paris, 1974.Les traductions sont celles de Jean-Claude Aubailly, Paris, Champion, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |