OCCURRENCE: | 102648 accreditee |
CONTEXTE: | Par vengeance contre la reine qui veut le contraindre à se lier définitivement à une épouse devenue odieuse, le maréchal de Bellegarde fait eprdre à la France le marquisat de Saluces. |
COTEXTE ET CITATION: | Ainsi ce même amour, qui dans la premiere Partie de cet Ouvrage a produit les semences de la Ligue, met dans celle-ci un obstacle secret à la Paix generale du royaume, et nous a coûté une étendue de terre qui ne pourroit être reconquise qu'au prix de beaucoup de sang, et de beaucoup de travaux. |
NOTES: | Page 117 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Désordres de l'Amour (Les). Micheline Cuénin, Droz: Genève, 1995. (seconde éd. augmentée) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 200125 accreditee |
CONTEXTE: | Le jeune soupirant Franville, déguisé en fille afin de séduire la tribade Augustine, elle-même déguisée en homme, fait semblant de s'intéresser aux hommes et d'être insensible à Augustine, et de se faire ainsi désirer davantage. |
COTEXTE ET CITATION: | Et ces mots ne sont pas plus tôt dits qu'Augustine fait tout ce qu'elle peut pour lier conversation avec la fausse demoiselle de Franville <citation>qui d'abord fuit, tourne, évite, échappe, et tout cela pour se faire plus chaudement désirer.citation> |
NOTES: | Augustine de Villebranche, p. 1347. Cette nouvelle aurait dû paraître dans "Le Boccace français" avec le titre "La Tribade convertie". |
SOURCE: | Sade, Marquis de, Romanciers du XVIIIe siècle. Gallimard, Pléaide: Paris, 1965.t. II. |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | 305749 accreditee |
CONTEXTE: | Alors que Diomède a pardonné une tentative de viol sur sa femme, elle se venge cruellement. Les mutilations décrites dans la citation se poursuivent et entraîneront la mort de leur victime. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle fit donc saisir ce misérable par des valets ; et après lui avoir fait lier les pieds et les mains, elle se met avec ses femmes et filles à le fouetter si démesurément qu'il n'y avait partie de son corps dont le sang ne sortît. Après cela, elle lui crevèrent les yeux avec leurs aiguilles et, avec leurs ciseaux et autres ferrements de leurs étuis, lui firent tant d'incisions et de balafres au visage et par tout le corps qu'il n'était plus reconnaissable. |
NOTES: | Page 222. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |