OCCURRENCE: | 104116 accreditee |
CONTEXTE: | Anténor, sur son lit de mort, à Ardélie. |
COTEXTE ET CITATION: | Je vous laissai donc en garde à un Marchand Arabe que je connoissois, et qui faisoit sa residence proche de Memphis, resolu de donner avis de vôtre prise à vos Parens, et de m'enrichir à jamais par le bien que j'esperois retirer d'eux pour vôtre liberté. |
NOTES: | [(Page & Tome) 364, 1] Cie des Libraires p. 403 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104122 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | [la jeune Hache:] Il semble que le nom de femme traîne aprés soy des dépendances continuelles. On les éprouve de la part des Parens pendant qu'on est fille. On en souffre souvent de plus rigoureuses quand on change de condition. Et quelle que soit enfin celle où une femme est assujettie, la bienseance a pour elle des bornes si resserrées, qu'à proprement parler, sa vie n'est qu'un honnête esclavage. |
NOTES: | [(Page& Tome) 553, 1] Cie des Libraires p. 585 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Galanteries grenadines (Les). 16.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305599 accreditee |
CONTEXTE: | Floripas, la fille de l’amirant, proclame son amour pour Gui de Bourgogne qu'elle estime pour sa grande valeur. |
COTEXTE ET CITATION: | «Signeur», dist Floripas,« or dirai mon pensé». «.I. chevalier de France ai lontans enamé” «Guis a nom de Borgoigne, moult i a bel armé; «Parens est Karlemaine et Rollant l’aduré. «Dès que je fui à Romme, m’a tout mon cuer emblé; «Quant l’amirans mes peres fist gaster la cité, «Lucafer de Baudas abati ens ou pré, «Et lui et le ceval, d’un fort espiel quarré. «Se cis n’est mes maris, je n’arai homme né; «Pour lui voel je croire ou roi de sainte maïsté». «Seigneurs», dit Floripas, «je vous dirai ce que je pense. J’aime depuis longtemps un chevalier de France. Il s’appelle Gui de Bourgogne et il porte bien ses armes. Il est parent de Charlemagne et du vaillant Roland. Dès mon séjour à Rome, il m’a dérobé mon coeur. Quand mon père l’amiral fit ravager la cité, Gui a abattu d’un gros épieu carré Lucifer de Baudas et son cheval. S’il ne devient mon mari, je n’en épouserai aucun autre. Pour lui, je veux croire au Dieu de sainte majesté». (ma traduction). |
NOTES: | P.68, vers 2236-2245. |
SOURCE: | Anonyme, Fierabras. Paris: F. Didot, 1879.Edition de Gaston Raynaud |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305717 accreditee |
CONTEXTE: | Un parent de Memnon, l’ancien fiancé de Crisele a tué en duel son vieux mari jaloux, Rogat, qui lui a fait manger en pâté le cœur de Memnon. Libérée, elle entre au couvent où elle entretient le souvenir de l’aimé. |
COTEXTE ET CITATION: | Les liens de Crisele brisez de la sorte, elle se jetta dans un cloistre où elle acheva sa vie en pleurant ses fautes & en nourrissant toujours en son ame le souvenir de la cruauté de ses Parens & de l’amitié de Memnon. |
NOTES: | Page 42. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305796 accreditee |
CONTEXTE: | Amphiloque a tué en duel son rival Rouvere. |
COTEXTE ET CITATION: | Il ne falloit plus paroistre à la cour apres avoir tué un seigneur si puissant en Parens & en amis. Il s'enfuit en Hollande, où le credit que le roy y a ne lui prometant pas assez de seureté, il passa en Allemange, & courut aux occasions de la guerre, qui estoit lors allumée en Hongrie. |
NOTES: | Page 79. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Divertissement historique. Tübingen: Gunter Narr, 2002.Édition de Constant Venesoen |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305852 accreditee |
CONTEXTE: | Après avoir épousé Cantidiane puis une vieille matrone de Messine, il se marie à Savonne avec une vieille fille. |
COTEXTE ET CITATION: | Les Parens le trouverent de bonne mine, de belle deffaite, & quoy qu’estranger, eurent de l’inclination à leur donner leur fille, qui peut-estre les en avoit priez, parce qu’elle estoit devenuë amoureuse de ce beau musicien. Nostre homme, quoy que desja marié en deux endrois, comme nous avons fait voir, ne trouve rien de trop chaud, & entend volontiers à ce troisièsme parti. |
NOTES: | Page 508. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305859 accreditee |
CONTEXTE: | Ethelunolde accepte sans difficulté d’épouser le vieil Maturian que ses parents lui destinent à la place de son fils qui l’avait d’abord demandée en mariage. |
COTEXTE ET CITATION: | Ethelunolde prist le père pour le fils sans beaucoup de difficulté, parce qu’elle n’avoit point d’autre volonté que celle de ses Parens qui sacrifioient sa jeunesse aux appetits desordonnez de ce vieillard. |
NOTES: | Page 543. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305871 accreditee |
CONTEXTE: | Les parents de Crisele appâtés par la richesse d’un gentilhomme voisin déjà âgé et père de nombreux enfants, trahissent la parole donnée à son fiancé Memnon pour la lui donner en mariage. |
COTEXTE ET CITATION: | Il la fit demander aux Parens qui aveuglez d’ambition & d’avarice, se retracterent aisément d’une parole qu’ils n’avoient donnee à Memnon que par importunité, & comme par contrainte. |
NOTES: | Page 31. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305878 accreditee |
CONTEXTE: | Athanagilde, contrainte à la vie religieuse par ses parents, reçoit des messages d’amour de Cindasuindo qui vient y visiter une parente. |
COTEXTE ET CITATION: | Ceste pauvre fille, qui avoit esté mise en ce couvent plustost par la destination de ses Parens que par son inclination ni son choix, recevant au commencement avec innocence ces paquets empoisonnez, sentit par leur lecture glisser en son ame ce doux venim qui se boit par les yeux, & qui enfecte le cœur. |
NOTES: | Page 126. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305891 accreditee |
CONTEXTE: | Deux jeunes romains, Lucrèce et Paulin s’aiment alors que leurs parents sont ennemis. |
COTEXTE ET CITATION: | Une fille romaine, nomée Lucrece, mais beaucoup moins chaste que l’ancienne, encor que sa fin soit aucunement semblable, fut aimee d’un jeune romain, nommé Paulin. Leurs Parens se meslans de mesme traffic avoient de longue main conceu une haine l’un contre l’autre procedante de ceste envie qui s’engendre ordinairement parmy ceux de mesme condition. […] Cette inclination devint complaisance, cette complaisance bienveillance, cette bienveillance amour. |
NOTES: | Page 277. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |