OCCURRENCE: | 105206 accreditee |
CONTEXTE: | Perselide/Ardélie raconte la suite de son histoire à Théocrite. |
COTEXTE ET CITATION: | Je fus réveillée par les clameurs des matelots, qui anonçoient à tout le vaisseau avec des cris effroïables, qu'il s'élevoit une tempête furieuse. Cette nouvelle jetta de l'épouvante dans l'ame de tout le monde ; mais elle produisit un effet contraire dans la mienne, je loüai les dieux du secours qu'ils m'envoïent, et considerant la mort comme un moïen infaillible de sortir des mains de l'audacieux Hermocrate, je regardois nôtre péril avec une joïe, que ce genre de trépas ne pouvoir diminuer. |
NOTES: | [(Page & Tome) 370, I] Cie des Libraires p. 427 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 306015 accreditee |
CONTEXTE: | L'oracle d'Apollon lui ayant appris que son fils OEdipe le tuerait, le roi de Thèbes, Laïus ordonne qu'on le tue. |
COTEXTE ET CITATION: | Li reis fu molt espoentez por le response qui fu donez ; oscire comanda l’enfant : qu’il ne vive mais avant. Le roi fut épouvanté par l’oracle qui lui avait été rendu ; il ordonna de tuer l’enfant : qu’il ne vive pas plus longtemps ! |
NOTES: | P. 46, v. 49-52. |
SOURCE: | Anonyme, Roman de Thèbes. Paris: Le Livre de Poche, 1995.Éd. Francine Mora-Lebrun, ms. Londres, Brit. Libr. Add. 34114. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 104810 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Il parut un monstre effroïable sur les côtes d'Afrique, qui désola d'abord tout le rivage, et qui mit le peuple dans une épouvante si grande, qu'il se crût perdu absolument. |
NOTES: | [(Page & Tome) 338, 1] Cie des Libraires p. 298 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305664 accreditee |
CONTEXTE: | Cinquième histoire : Mlle. De l’Epine, mineure, s’apprête à contracter un mariage clandestin avec Des Prez ; leur histoire se terminera tragiquement. |
COTEXTE ET CITATION: | « …je ne puis m’empêcher de jeter les yeux sur l’avenir, et je vous avoue qu’il m’épouvante » « je n’accuserai que le penchant qui m’entraîne, et l’étoile de ma naissance ». |
NOTES: | Pages 314 et 315. |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Paris: Le Livre de Poche, 1996.Éd. Fr. Deloffre et J. Cormier |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |