OCCURRENCE: | 305676 accreditee |
CONTEXTE: | Dans la cinquième histoire, Mlle de l’Epine répond à la déclaration de Des Prez. |
COTEXTE ET CITATION: | « Nous ne sommes pas nés l’un pour l’autre. Quoique je sois d’une bonne maison, elle n’approche point de la vôtre en France. Le bien vous met cent piques au-dessus de moi ». |
NOTES: | Page 291. |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Paris: Le Livre de Poche, 1996.Éd. Fr. Deloffre et J. Cormier |
CHERCHEUR/E: | CUSSAC, Hélène |
OCCURRENCE: | TT101704 CHANTIER |
CONTEXTE: | "Nous soupirons tous deux en secret et, Quoique d'accord, nous n'en étions pas plus heureux", |
NOTES: | p.57 Folio |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Egarements du coeur et de l. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Weil M., Rodriguez P. |
OCCURRENCE: | 104606 accreditee |
CONTEXTE: | Dans la première histoire, Manon Dupuis a l'audace de faire comprendre son amour à des Ronais. |
COTEXTE ET CITATION: | Quoique cette déclaration si peu attendue fût épineuse pour une fille, et qu'elle ne pût pas en dire plus, il est certain que sa manière fut accompagnée de tant de pudeur, que j'en restai en même temps surpris et charmé. |
NOTES: | P. 27. |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Genève: Droz, 1991.Edition Frédéric Deloffre et Jacques Cormier |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 100776 accreditee |
CONTEXTE: | La noblesse de Destin ne sera pas prouvée mais elle est toujours insinuée. |
COTEXTE ET CITATION: | Un jeune homme aussi pauvre d'habit que riche de mine, marchait à côté de la charrette. (...) Un vieillard vêtu plus régulièrement, Quoique très mal, marchait à côté de lui. (...) Un lieutenant de prévôt, entre autres, nommé La Rappinière, les vint accoster et leur demanda avec une autorité de magistrat quelles gens ils étaient. Le jeune home dont je vous viens de parler prit la parole et (...) lui dit qu'ils étaient Français de naissance, comédiens de profession; que son nom de théâtre était Le Destin, celui de son vieil camarade, La Rancune, et celui de la demoiselle qui était juchée comme une poule au haut de leur bagage, La Caverne. |
NOTES: | [(Partie & Page) P.1, Ch. 1, 65-66] |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P. |
OCCURRENCE: | TT103590 CHANTIER |
CONTEXTE: | "Je suis plus malade que jamais Quoique je n'aie point habité depuis ce temps avec mon mari [...] Qu'il est cruel lorsqu'on est honnête de porter sur soi la punition du vice ." |
COTEXTE ET CITATION: | L'épouse trahit dénonce cette double injustice. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 440, XVI] |
SOURCE: | Epinay (Louise d, Histoire de Madame de Montbrillant. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 105346 accreditee |
CONTEXTE: | La marquise de Banneville, après la mort de son mari à la guerre, veut que l'enfant qu'elle attend évite le même sort. |
COTEXTE ET CITATION: | La mort funeste d'un homme de guerre se représenta à ses yeux avec toutes ses horreurs. Elle imagina la même aventure pour ce cher enfant qu'elle attendait et [...] fit promettre à sa sage-femme d'annoncer à haute voix la naissance d'une fille, quand même ce serait un garçon. [...] La nouvelle courut bientôt qu'elle avait eu une fille, Quoique dans la vérité, elle eût eu un garçon. |
NOTES: | [(Page) 972] |
SOURCE: | Choisy (Abbé François de), Histoire de la marquise-marquis de Banneville. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Maher D. |
OCCURRENCE: | 100224 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur raconte comment l'amour est caché entre Mme de Lursay et lui-même. En fait il est non-avoué mais est-il caché? |
COTEXTE ET CITATION: | Il s'agissait de me mettre au-dessus de la défiance qu'elle m'avait donnée de moi-même et de la trop bonne opinion qu'elle m'avait fait prendre d'elle; deux choses extrêmement difficiles, et qu'il fallait ménager avec toute la finesse possible. <CITATION>Elle ne voyait point d'apparence que j'osasse lui déclarer que je l'aimais. [...] Nous soupirions tous deux en secret et, Quoique d'accord, nous n'en étions pas plus heureux.CITATION>" p76 GF |
NOTES: | Edition de référence Folio. Dans Oeuvres complètes, coll. Le livre du divan, 1929-30, I, p76. |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Egarements du coeur et de l. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 104584 accreditee |
CONTEXTE: | La noblesse de caractère est révélée par l'apparence physique. |
COTEXTE ET CITATION: | Le nom de la fille étant ignoré, on lui en donne un autre, qui fut celui de Moïsette, à cause qu'elle avait couru même fortune que le petit Moïse, exposé sur les eaux [...] Rangée parmi les pauvres petites zitelles, elle montrait bien en la délicatesse de son teint et en sa composition quelque chose de relevé, et le rayon de noblesse qu'elle avait sur le front, Quoique voilé d'un épais nuage, ne laissait pas de briller aux yeux de ceux qui la considéraient attentivement. Ce n'est pas que cette petite gravité qui se montrait en son port procédât de vanité [...] ] A mesure qu'elle croissait en âge, la beauté de son corps s'augmentait. |
NOTES: | [(Page & Chapitre & To) 159, 9, I] |
SOURCE: | Camus (Jean-Pierre), Evénements singuliers (Les). J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 100730 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Nous soupirions tous deux en secret et, Quoique d'accord, nous n'en étions pas plus heureux. |
NOTES: | [(Page) 57 Folio] |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Egarements du coeur et de l. Prault,Gosse et Néaulme: Paris, La Haye, 1736-38.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 305334 accreditee |
CONTEXTE: | Propos du narrateur en préface |
COTEXTE ET CITATION: | J’ai vu les mœurs de mon temps et j’ai publié ces lettres. Que n’ai-je vécu dans un siècle où je dusse les jeter au feu ! Quoique je ne porte ici que le titre d’Editeur, j’ai travaillé moi-même à ce livre, et je ne m’en cache pas. Ai-je fait le tout, et la correspondance entière est-elle une fiction ? Gens du monde, que vous importe ? C’est sûrement une fiction pour vous. |
NOTES: | T. I, p. 71. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305363 accreditee |
CONTEXTE: | St. Preux invité par Julie et M. de Wolmar à partager leur vie à Clarens, découvre le verger mystérieux qu’ils appellent l’Élysée, avatar évident du locus amoenus. Il s’agit en fait du bosquet où Julie et St. Preux ont eu leur premier baiser (cf. t. I, p. 107 et 109), réaménagé pour en faire un lieu où la nature est maîtrisée. |
COTEXTE ET CITATION: | Ce lieu, Quoique tout proche de la maison est tellement caché par l’allée couverte qui l’en sépare qu’on ne l’aperçoit de nulle part. […] Je me mis à parcourir avec extase ce verger ainsi métamorphosé. |
NOTES: | T. II, p. 87-89. La description se poursuit jusqu’à la page 96. P. 104-105, St. Preux retourne au verger pour y faire une promenade solitaire et p. 108-109 où M. de Wolmar de son projet d’inviter St. Preux à vivre avec eux. |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305366 accreditee |
CONTEXTE: | En bateau sur le lac, St. Preux et Julie essuient une terrible tempête. |
COTEXTE ET CITATION: | Un instant seulement deux planches s’étant entr’ouvertes dans un choc qui nous inonda tous, elle crut le bateau brisé, et dans une exclamation d cette tendre mère, j’entendis distinctement ces mots ; Ô mes chers enfants, faut-il ne vous voir plus ?pour moi, dont l’imagination va toujours plus loin que le mal, Quoique je connusse au vrai l’état du péril, je croyais voir de moment en moment le bateau englouti. |
NOTES: | T. II, p. 138 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305617 accreditee |
CONTEXTE: | La reine offre son amour à Lanval. Quoique celui-ci refuse d’abord, en prétextant de la fidélité à son seigneur, il est certain qu'il veut surtout rester fidèle à son amie, la fée, qui lui a demandé de ne pas dévoiler son existence. C’est seulement quand la reine accuse Lanval d’homosexualité que, piqué, il parle de son amie. |
COTEXTE ET CITATION: | Quant la reïne sul le veit, al chevalier en va tut dreit. Lez lui s’asist, si l’apela, Tut sun curage li mustra. «Lanval, mult vus ai honuré «e mult cheri e mult amé. «Tute m’amur poëz aveir : «Kar me dites vostre voleir! «Ma druërie vus otrei ; «Mult devez estre liez de mei»! «Dame», fet il,«laissiez m’ester! «Jeo n’ai cure de vus amer. «Lungement ai servi le rei «Ne li vueil pas mentir ma fei» […] «Mes jo aim e si sui amis «Cele ki deit aveir le pris «Sur tutes cels que jeo sai». Quand la reine le voit seul, elle va droit vers lui, s’assied à ses côtés, lui parle pour lui révéler le secret de son coeur: «Lanval, depuis longtemps je vous honore, je vous chéris et je vous aime; vous pouvez avoir tout mon amour : dites-moi donc votre sentiment! Je me donne à vous: vous devez être content de moi»! - «Dame», répond Lanval, «laissez-moi en paix! Je ne songe guère à vous aimer. Je sers le roi depuis longtemps et je ne veux pas lui être déloyal» […]. «Mais j’aime et je suis aimé d’une femme qui doit l’emporter sur toutes celles que je connais.» |
NOTES: | P. 146-148, vers 261-274 ; 295-297. |
SOURCE: | Marie de France, Lanval. Paris: Lettres gothiques, 1990.Texte édité par Karl Warnke. Trad.: Laurence Harf-Lancner,Paris, Lettres Gothiques,1990. |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305911 accreditee |
CONTEXTE: | Quoique disent les médisants jaloux de son savoir-faire, le narrateur ne racontera pas une histoire de la Table Ronde. |
COTEXTE ET CITATION: | Que je dirai, mais bien lor poist, Tant com jou puis et il me loist, Un conte biel et delitable. N’est pas de la Reonde Table, Dou roi Artu ne de ses gens ; Et s’est li contes biaus et gens, Que je vous voel dire et conter, Car on i puet lire et chanter ; Et si est si bien acordans Li cans au dit, les entendans En trai a garant que di voir. |
NOTES: | Page 4, v. 31-41. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, Roman de la Violette. Paris: H.Champion, 1928.Edition Douglas Labaree Buffum |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |