OCCURRENCE: | 103218 chantier |
CONTEXTE: | Gésimond retrouve Polixène naufragée en compagnie d'un homme mort, dans un canot échoué sur le rivage. Ils mettent deux ou trois jours à se reconnaître sûrement. |
NOTES: | [(Page) 99-101] |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100890 chantier |
CONTEXTE: | Ayant vaincu Hircan dans l'embûche que celui-ci et ses partisans avaient dressée à Policarpe, Gesimond se fait reconnaître de ce dernier, qui l'accepte comme son fils. |
NOTES: | [(Page) 116-118] |
SOURCE: | Anonyme, Désespoir amoureux (Le). Josué Steenhouwer, et al.: Amsterdam, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103424 chantier |
CONTEXTE: | Croyant reconnaître dans une taupe douée de langage la mauvaise fée responsable de ses malheurs, Tanzaï tente d'étrangler l'animal. Il y renonce, car la taupe révèle son identité : elle est fée. |
NOTES: | [(Page & Chapitre) 188, III] |
SOURCE: | Crébillon (Claude P.-J.), Ecumoire (L') ou Tanzaï et Néadarné, Histoire japonaise. Lou-chou-chu-la: Pékin (Paris), 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Defrance A. |
OCCURRENCE: | 102186 chantier |
CONTEXTE: | Incapable de reconnaître la vérité quant à Théophé, l'ambassadeur demande le silence à celle-ci et à son accusatrice. |
NOTES: | [(Page) 206] |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Desbordes/Didot: Amsterdam / Paris, 1740.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104494 accreditee |
CONTEXTE: | Un cavalier inconnu poursuit Misrie, et semble la reconnaître. Elle lui montre son erreur. Il ne l'écoute pas. |
COTEXTE ET CITATION: | "Là-dessus il la relève, et, malgré sa résistance, remonte à cheval, et l'enlève." |
NOTES: | [(Page& Partie) 211, IV] Il y a erreur sur la personne enlevée, mais l'acte de violence demeure. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | TT101916 CHANTIER |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | A force de reflexion, Florange conclut que Mainville et sa femme doivent être amants. Un jour il les surprend en conversation et les confond par sa perspicacité. Devant leurs dénégations embarrassées, il leur interdit de se revoir, sous le prétexte que, si Mainville n'a pas su reconnaître le mérite de la marquise et l'aimer, il n'est plus digne de la voir. |
NOTES: | [(Page) 157-9] |
SOURCE: | Anonyme, Nouveaux désordres de l'amour (Les). Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100816 accreditee |
CONTEXTE: | Le père de Théophé refuse de reconnaître sa fille. |
COTEXTE ET CITATION: | Il me fit dire par le domestique qui m'avait reçu, qu'après l'explication qu'il avait eue avec moi, il s'étonnait que je prétendisse le forcer de recevoir une fille qu'il ne reconnaissait point. […]Il avait défendu à ses trois fils de former la moindre liaison avec elle. […]Je perdis la seconde de mes espérances lorsque cet obstiné vieillard m'eut déclaré nettement que sa religion et son honneur lui défendaient de reconnaître une fille qui avait été élevée au sérail. |
NOTES: | P. 110, 116. |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Garnier Flammarion/Alan J. Singerman: Paris, 1990. |
CHERCHEUR/E: | Vergnes S., Weil M. |
OCCURRENCE: | 101098 accreditee |
CONTEXTE: | Terny se déguise pour voir Clémence au couvent. |
COTEXTE ET CITATION: | Nous cherchâmes quelque invention pour me satisfaire, et nous nous arrêtâmes à celle de me déguiser si bien qu'on ne pût pas me reconnaître. […] Mon valet de chambre me peignit le visage avec une certaine composition que les peintres nomment pastel ; et me changea tellement les traits et la couleur, que je ne me reconnus plus moi-même. |
NOTES: | P. 154-155. |
SOURCE: | Challe Robert, Illustres Françaises (Les). Genève: Droz, 1991.Edition Frédéric Deloffre et Jacques Cormier |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 305511 accreditee |
CONTEXTE: | Jehan expédie son serviteur Robin en reconnaissance, non sans l’avoir grimé de façon à ce qu’il ne soit pas reconnu. |
COTEXTE ET CITATION: | Je palirai si ton visage D’une erbe que je connois bien, Nus ne te connoistroit pour rien. [...] Atant cuelli en la gaudine Jehans d’une herbe la rachine, Si l’a au pumel de s’espee Broiie et d’iauwe destempree. Aprés a Robin oint du jus Se qu’en tout le mont sus ne jus Ne vit homme qui ne quidast Que fort fievre le travillast. Plus pale que cire matie Est sa chiere, et toute froncie. Un baston pour li apoiier Fist de la branche d’un pomier. Or voist quel part que il volra, Ja reconneüs ne sera. Je vais pâlir ton visage avec une herbe que je connais, si bien que personne ne pourra te reconnaître, quoi qu’il arrive. [...] Jehan cueillit alors dans le bois la racine d’une herbe qu’il broya du pommeau de son épée et dilua dans l’eau, puis avec le jus il enduisit le visage de Robin si bien que personne au monde n’aurait douté qu’il souffrît d’une forte fièvre. Sa peau ressemble à de la cire, flétrie et toute ridée. Il lui tailla dans une branche de pommier un bâton pour s’appuyer. Qu’il aille où il voudra, on ne le reconnaîtra pas. |
NOTES: | P. 116-117, v. 3494-96 et 3529-3542 ; trad. p. 74-75. Inversion des grimages de Tristan ou de Nicolette qui se déguisent en jongleurs et qui, pour ne pas être reconnus, teignent leur visage en noir. Voir plus loin p. 120-122. |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 101450 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Ce fut le cloué de reconnaître son cloueur. Celui-ci présente la main, l'embrasse et lui témoigne combien il est enchanté d'une si heureuse rencontre; à l'instant ils passent derrière une grange, mettent l'épée a la main, l'un en redingote, l'autre en domino. |
NOTES: | [(Page) 144] |
SOURCE: | Diderot (Denis), Jacques le Fataliste et son Maître. Paris: Garnier-Flammarion, 1970. |
CHERCHEUR/E: | Ferrand N., Rodriguez P. |
OCCURRENCE: | 102414 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Sire, à présent je vous requiers en votre qualité de roi de me faire justice à propos de la reine, qui a tué mon frère par trahison; si elle veut le nier et refuser de reconnaître qu'elle s'est rendue coupable de déloyauté, je serais prêt à prouver le contraire contre le meilleur chevalier qu'elle voudra m'opposer. |
NOTES: | [(Page & Paragraphe) 123, 67] L'accusée est une reine, donc avantagée socialement. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. Paris: Honoré Champion, 2002.Édition de Jean-Pierre Martin |
CHERCHEUR/E: | Michel B., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100100 accreditee |
CONTEXTE: | Théophé, qui passe d'abord pour la fille d'un personnage de basse condition, est sans doute la fille d'un noble qui ne veut pas la reconnaître. L'incertitude demeure jusqu'au bout. |
COTEXTE ET CITATION: | <CITATION>Mon père [...] m'a toujours caché le lieu de ma naissance.CITATION>" |
NOTES: | Citation donnée pour l'édition GF, page 73 |
SOURCE: | Nerciat (Andréa de), Félicia ou Mes fredaines. Livre de Poche: Paris, 1977. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104178 accreditee |
CONTEXTE: | Le comte d'Anjou vient de reconnaître sa femme qu'il recherchait, parmi les mendiants secourus par l'évêque d'Orléans. Elle le reconnaît à son tour. |
COTEXTE ET CITATION: | Si tost con li quens l'a veüe, Encontre queurt sanz atendue ; Tout d'un cop, sanz dire parolle, Mere et enfant ensemble acole : De plain venir l'a avisee, Car n'avoit pas entroubliee Sa grant biauté ne sa semblance. ... Aussi l'a molt bien conneü Si tost comme elle l'a veü. |
NOTES: | [(Page & Vers) P. 181, v. 594. |
SOURCE: | Maillart (Jehan), Roman du comte d'Anjou (Le). Mario Roques, Champion: Paris, 1964. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200183 accreditee |
CONTEXTE: | Décidé à se faire reconnaître comme le meilleur chevalier par la Fière, Ipomédon adopte une attitude paradoxale : il dissimule sa vraie nature et passe pour un lâche car il fait semblant de ne s’intéresser qu’à la chasse et pas aux armes. |
COTEXTE ET CITATION: | A Thoas dit : “Kar en portez, De meie part le saluez, Dites ke nus purchacerum A sun os asez veneisun !” Li chamberlencs ot sa resun, Mut escape bricun Tel tent autre pur fol musart, Ke plus de lui as a sa part De la reine ad cungé pris, Vers le rei s’est el chemin mis ; Mut porte veneisun od sei E si l’ad presenté al rei De part celui si ad cunte Trestut, cum il aveit parlé, Cum ses chens unt curu le jur E ke Bauçan fut le meillur. Li reis s’en rist mut et gaba. |
NOTES: | P. 75-76, vv. 4449-4465 |
SOURCE: | Hue de Rotelande, Ipomedon. Slatkine: Genève, 1975.Réimpression de l'édition de E. Kölbing, Breslau, 1889 |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200184 accreditee |
CONTEXTE: | Jehan, qui est tombé amoureux de Blonde, la fille du comte d’Oxford, essaie de se raisonner en prenant conscience de la mésalliance entre eux qui rend sa cause désespérée. |
COTEXTE ET CITATION: | Car si folement n’ama mais Nus hom comme je voel amer. Et bien me doi pour fol clamer, Qui aimme en lieu dont je nus biens Ne me devra venir pour riens. Se li rois n’avoit point de fame, Il penroit volentiers ma dame, Car contesse ert de Senefort. Je n’avrai pas vaillant tant fort Comme ele avra de deniers d’or. Car nul n’aima jamais aussi follement que je veux le faire. Je dois reconnaître que je suis fou d’aimer en un lieu d’où il ne peut rien me venir de bon. Si le roi n’avait pas d’épouse, il prendrait volontiers ma dame car elle sera comtesse d’Oxford. Je n’aurai en pauvres sous ce qu’elle aura en deniers d’or. (38) |
NOTES: | P. 43, vv. 560-569 Voir p. 51, 57. et 93. |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | WW305107 CHANTIER |
CONTEXTE: | Colonne, ami de Nogaret, va aider Marianne à le tromper pour essayer de rallumer l'amour dans ce couple. [Ayant rencontré sa femme sans la reconnaître, Noraget croit avoir une galanterie avec une inconnue.] |
NOTES: | [(Page & Tome) 69/250, 3] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). 1670. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 305571 accreditee |
CONTEXTE: | Naria fuit la présence de son amant infidèle et met sur pied un plan qui lui permettra de s'assurer de son malheur. |
COTEXTE ET CITATION: | Elle lui manda qu'elle était malade et qu'elle ne pourrait aller, pendant la fête, à aucun des divertissements publics. Alamir la vint voir; il l'assura qu'il abandonnerait aussi tous ces divertissements, puisqu'elle ne s'y trouverait pas...........Néanmoins, sitôt qu'il fut sorti, elle se leva et se déguisa d'une sorte qu'il ne pouvait la reconnaître. Elle alla dans les lieux où elle crut le pouvoir trouver et le premier objet qui s'offrit à sa vue fut Alamir déguisé......elle le reconnut qui suivait Zoromade..... |
NOTES: | P.179 |
SOURCE: | La Fayette (Mme de), Zaide. Paris: Garnier, 1961.dans Romans et Nouvelles, édition Emile Magne |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |