OCCURRENCE: | 102530 chantier |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | Sylvie: "Je dis que j'étois cette belle Marquise de Castelanne qui a eu depuis peu une fin si tragique, et que j'avois voulu fuir ainsi [en se déguisant en homme] la persecution des freres de mon Mari, qui me cherchoient pour m'assassiner". |
NOTES: | [(Page) 111] |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Mémoires de la Vie de Henriette Sylvie de Molière. Paris: 1671-72. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 100194 chantier |
CONTEXTE: | Deux frères courtisent la même femme. Finalement le double mariage des deux frères avec deux soeurs arrange la situation. |
NOTES: | [(Partie & Page) II, XIX] |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100796 accreditee |
CONTEXTE: | Adélaïde, qu'aime le fils du comte de Comminge, est sa cousine alors que leurs deux familles sont mortellement brouillées. |
COTEXTE ET CITATION: | J'étois près d'une d'elles, quand je vis entrer une femme bien faite, suivie d'une fille qui joignoit à la plus parfait régularité des traits l'éclat de la plus brillante jeunesse. Tant de charmes étoient encore relevés par son extrême modestie : je l'aimai dès ce premier moment, et ce moment a décidé de toute ma vie. |
NOTES: | [(Page) 134, Paris, Garnier Frères, 1864. |
SOURCE: | Tencin (Mme de ), Mémoires du Comte de Comminge. 1735.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Gusto K., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103280 chantier |
CONTEXTE: | Grâce à l'influence occulte de Geoncha, Guhullerou renonce à se venger sur Abouzaid et Dajara, enfants vertueux de Badour, du meurtre de son mari par leurs frères dévoyés. |
NOTES: | [(Page) I, 132-4] |
SOURCE: | Gueulette (Thomas-Simon), Mille et un quarts d'heure (Les), contes tartares. Henri du Sauzet: La Haye, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 102262 accreditee |
CONTEXTE: | Le Petit Poucet et ses frères sont égarés dans la forêt par leurs parents. |
COTEXTE ET CITATION: | Le Petit Poucet les laissait crier sachant bien par où il reviendrait à la maison, car en marchant il avait laisser tomber le long du chemin les petits cailloux blancs qu'il avait dans sa poche. |
NOTES: | [(Page) P. 281. Garnier Flammarion 1991. |
SOURCE: | Perrault (Charles), Petit Poucet (Le). Histoires ou Contes du Temps p: Paris, 1697?.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 100014 accreditee |
CONTEXTE: | Angélique, fille de la Caverne, considère Le Destin et la L`étoile comme des frères et soeurs alors que ceux-ci jouent la comédie, ils sont en fait amants. |
COTEXTE ET CITATION: | [Angélique] ne savait pas encore au vrai ce qu' ils (L'Etoile et Le Destin) étaient et pourquoi ils faisaient la comédie ; mais<CITATION> elle avait bien reconnu, quoiqu'ils s'appelassent mon frère et ma soeur, qu'ils étaient plus grands amis que proches parentsCITATION>. |
NOTES: | [(Partie & Page) I-12, 112] Voir aussi I, 18, p.171 GF |
SOURCE: | Scarron, Roman comique (Le). Toussainct Quinet: Paris, 1651. |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100478 chantier |
CONTEXTE: | Une deuxième fois, Isabelle de Cerde est sauvée, mais à présent c'est par le comte de Foix (le père de Gaston et de Bernard). Le comte, libertin, (le texte le rappelle en plusieurs endroits) tombe amoureux d'Isabelle. L'amour que ressentent ses fils augmente aussi de la voir pâle, faible et languissante. Don Rodrigue de Santillane enlève Isabelle de Castille et l'entraîne jusqu'en Béarn. Le comte de Foix le châtie d'un coup d'épée sur le crâne. C'est d'une de ses agressions précédentes que les frères avaient délivré la première fois Isabelle. |
NOTES: | [(Page) 3.201-3] |
SOURCE: | Anonyme, Gaston Phébus, comte de Foix, nouvelle. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103940 accreditee |
CONTEXTE: | Dans "L'obeyssance filiale", lorsque son fils Anatole est à l'article de la mort, sa mère fait voeu de le faire religieux. Ayant recouvert la santé, Anatole, de santé très fragile, doit entrer au monastère malgré lui et malgré sa mère. |
COTEXTE ET CITATION: | Eliante se faisant une idole de son fils, Dieu la voulant retire de cette idolâtrie [...] une grosse maladie attaque Anatole et dans peu de jours le mit sur le bord du tombeau [...] Les médecins de la terre ayant condamné à mort cet enfant [...] Theolimpe [...] fit voeu à Dieu que s'il redonnait la santé [à son fils], elle le donnerait à l'ordre des frères hermites de Saint Augustin [...] On fait beaucoup de choses dans la chaleur d'un zèle peu judicieux, qu'on entreprendrait jamais de sang froid, et d'un sens rassis. |
NOTES: | [(Page & Chapitre & To) 322-23, 8, II] |
SOURCE: | Camus (Jean-Pierre), Evénements singuliers (Les). J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | TT104594 CHANTIER |
CONTEXTE: | " Eliante se faisant une idôle de son fils, Dieu la voulant retire de cette idolâtrie [...] une grosse maladie attaque Anatole et dans peu de jours le mit sur le bord du tombeau [...] Les médecins de la terre ayant condamné à mort cet enfant [...] Theolimpe [...] fit voeu à Dieu que s'il redonnait la santé [à son fils], elle le donnerait à l'ordre des frères hermites de Saint Augustin [...] On fait beaucoup de choses dans la chaleur d'un zèle peu judicieux, qu'on entreprendrait jamais de sang froid, et d'un sens rassis." |
COTEXTE ET CITATION: | Dans "L'obeyssance filiiale", une mère idolâtre est punie par Dieu : son fils tombe gravement malade. |
NOTES: | [(Page & Chapitre & To) 322-323, 8, II] |
SOURCE: | Camus (Jean-Pierre), Evénements singuliers (Les). J. Caffin et Fr. Pleignard: Lyon, 1628. |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 101800 chantier |
CONTEXTE: | Un riche médecin refusant à son frère avocat, démuni, de financer l'établissement de ses filles, il en résulte une certaine animosité entre les deux frères. |
NOTES: | [(Page) 4] Manque le co-texte. |
SOURCE: | Anonyme, Raccommodement (Le). Pierre Garnier: Troyes, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 100428 accreditee |
CONTEXTE: | L'amour pour Adélaïde, qui appartient à une branche familiale rivale, constituent l'essentiel du roman. |
COTEXTE ET CITATION: | Le fils du comte de Comminge: "J'avois besoin d'être seul pour jouir de mon trouble et d'une certaine joie qui, je crois, accompagne toujours le commencement de l'amour. Le mien m'avoit rendu si timide, que je n'avois osé demander le nom de celle que j'aimois; il me sembloit que ma curiosité alloit trahir le secret de mon coeur: <CITATION> mais que devins-je quand on me nomma la fille du comte de Lussan! Tout ce que j'avois à redouter de la haine de nos pères se présenta à mon esprit; mais de toutes les réflexions, la plus accablante fut la crainte que l'on eût inspiré à Adélaïde (c'étoit le nom de cette belle fille) de l'aversion pour tout ce qui portoit le mien CITATION>". |
NOTES: | Voir aussi Roméo et Juliette. Edition: Oeuvre de Mesdames de Fontaines et de Tencin. Paris: Garnier Frères, 1864. (près du début du récit) |
SOURCE: | La Fontaine, Fables. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Gusto K., Weil M. |
OCCURRENCE: | 101270 accreditee |
CONTEXTE: | Bien qu'Yvain ait commandé à son lion de rester couché en arrière, celui-ci l'aide dans son combat contre le sénéchal qui a faussement accusé Lunette de trahison, et qui est aidé de ses deux frères. |
COTEXTE ET CITATION: | Tant que li seneschaus relieve Qui de tout son pooir li grieve. Et li autre avec li se painent Tant qu'il le grievent et sourmainnent. Et li leons qui chë esgarde De li aidier plus ne se tarde, Que mestiers li est, che li semble. [...] Et ses leons li fet aÿe Tel qu'a la premiere envaÿe A de si grant aïr feru Le seneschal, qui a pié fu, Qu'aussi comme che fussent pailles Fet du hauberc voler les mailles ; Et contreval si fort le sache Que de l'espaulle li errache Le tendron atout le costé. ... le sénéchal se relève et l'assaille de toutes ses forces. Et les autres font avec lui un si grant effort qu'ils le terrassent et le dominent. Le lion, observant ce spectacle, ne tarde plus à lui porter secours, car il en a besoin, lui semble-t-il. ... Quant au lion, il l'assiste de la manière suivante : à la première attaque il a frappé le sénéchal, qui était à pied, d'une ardeur si impétueuse qu'il a fait voler les mailles du haubert comme si c'étaient des brins de paille. Et il le tire si fort vers le sol qu'il lui arrache le cartilage de l'épaule et tout le flanc avec. |
NOTES: | [(Vers & Page) Pp. 328-329, vv. 4498-4505 et 4515-4523. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 100366 accreditee |
CONTEXTE: | Le narrateur, le fils du comte de Comminge, qui avait dit aux femmes plus qu'il ne pensait, reste muet lorsqu'il éprouve un vrai coup de foudre (pour Adélaïde). |
COTEXTE ET CITATION: | Le fils du comte de Comminge: "j'avois dit jusque-là à toutes les femmes même plus que je ne sentois, <CITATION>je ne sus plus que me taire aussitôt que je fus véritablement touchéCITATION>" (134 Garnier Frères, 1864). |
NOTES: | [(Page) 25] Garnier Frères, Paris, 1864. |
SOURCE: | Tencin (Mme de ), Mémoires du Comte de Comminge. 1735.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 103820 accreditee |
CONTEXTE: | Des frères mineurs d'un couvent de Catalogne réussissent à obtenir les faveurs des épouses des environs grâce à un type de substitution. Leurs partenaires ne sont pas les frères eux-mêmes, mais ce qu'ils représentent de divin. |
COTEXTE ET CITATION: | Ils feirent entendre a toutes les femmes generalement de la ville qu'elles estoient tenues a Dieu de rendre la disme de tous leurs biens, " <CITATION>comme au seigneur de telle chose et telle ; et a nous vous devez rendre le disme du nombre des foiz que vous couchez charnellement avecques voz maris. ... Les pouvres simples femmes, qui mieulx cuidoient ces bons freres estre anges que hommes terriens, ne refuserent pas ce disme a paier CITATION>." |
NOTES: | [(Page & Nouvelle) P. 216. |
SOURCE: | Anonyme, Cent nouvelles nouvelles (Les). Droz, éd. Sweetser: Genève, 1966. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 101950 accreditee |
CONTEXTE: | Les enfants sont abandonné à cause de la pauvreté. |
COTEXTE ET CITATION: | "Le père et la mère les voyant occupés à travailler, s'éloginèrent d'eux insensiblement, et puis s'enfuirent tout à coup par un sentier détourné". |
NOTES: | [(Page) 291] L'abandon d'enfants est présent dans plusieurs contes. C'est le thème qu'utilisent les frères Grimm pour narrer l'histoire de "Hansel et Gretel" qui connaissent presque le même parcours que celui du Petit poucet. |
SOURCE: | Perrault (Charles), Petit Poucet (Le). Histoires ou Contes du Temps p: Paris, 1697?.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 102482 accreditee |
CONTEXTE: | Les frères de la jeune femme de Barbe Bleue la sauvent du courroux de son mari dû au fait qu'elle lui a désobéi. |
COTEXTE ET CITATION: | Aussitôt on vit entrer deux Cavaliers, qui mettant l'épée à la main, coururent droit à la Barbe bleue. Il reconnut que c'était les frères de sa femme, l'un Dragon et l'autre Mousquetaire, de sorte qu'il s'enfuit aussitôt pour se sauver ; mais les deux frères le poursuivirent de si près, qu'ils l'attrapèrent avant qu'il pût gagner le perron. Ils lui passèrent leur épée au travers du corps, et le laissèrent mort. |
NOTES: | p. 212 Livre de poche 1990 p. 128 Folio Gallimard, 1981 |
SOURCE: | Perrault (Charles), Contes. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Henry A., Souche V. |
OCCURRENCE: | 103804 accreditee |
CONTEXTE: | Enlevés par des Sarrasins, Aucassin et Nicolette sont séparés. Sur le navire qui emporte Nicolette, et qui appartient à son pére, ses douze frères lui font honneur car ils reconnaissent qu'elle est de noble origine. |
COTEXTE ET CITATION: | "La nes u Nicolete estoit [estoit] le roi de Cartage, et cil estoit ses peres, et si avoit dose frere[s], tox princes u rois. Quant il virent Nicolete si bele, se li porterent molt grant honor et fisent feste de li, et molt li demanderent qui ele estoit, car molt sanbloit bien gentix fenme et de haut [lignage." |
NOTES: | [(Page) P. 147. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200177 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi de France récompense ceux qui ont aidé Jehan et Blonde. |
COTEXTE ET CITATION: | Frere le conte o lui s’en vont, Car de sa menie esté ont Tant comme il furent escuier, Aussi furent il chevalier, Tant que bien leur guerredona : Femmes et tere leur donna, Dont il furent riche et manant. Les nouveaux chevaliers, frères du comte, suivirent le roi, car ils avaient appartenu à sa maison du temps où ils étaient écuyers et y restaient maintenant en tant que chevaliers. Le roi les en récompensa largement en leur donnant femmes et terres, ce qui en fit de riches seigneurs. (196) |
NOTES: | P. 181, vv. 6079-6085 |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200051 accreditee |
CONTEXTE: | La mère de Perceval lui explique pourquoi elle l'a tenu à l'écart de la chevalerie. Outre que ses deux frères sont morts dans des combats, son père est resté infirme de sa blessure à la cuisse. La stérilité de la terre qui est une conséquence de la blessure en explicite la connotation sexuelle, reliée à la fécondité. |
COTEXTE ET CITATION: | <citation>Vostres peres, si nou savez, Fu par mi les anches navrez Si que il mehaigna do cors. Ses granz avoirs, ses grands tressors, Que il avoit come prodom, Ala toz a perdetiom.citation> Votre père, vous ne le savez pas, fut blessé entre les hanches, son corps en resta infirme. Ses larges terres, ses grands trésors, qu'il devait à sa valeur, tout partit en ruine. |
NOTES: | Vv. 407-412 |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | SB200143 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | Filz, dit ele, si con je croi, Tu as veü au mien espoir Les angles don les gens se plaignent, Qui ocient quant qu’il ataignent. -- Non ai, mere, voir, non ai, non ! Chevalier dient qu’il ont non.” La mere se pasme a ce mot, Quant chevalier nomer li ot. Tu as vu, je le crois, les anges dont se plaignent les gens, ceux qui tuent tout ce qu’ils attaignent. -- Mais non, ma mère ! Mais non ! De vrai, non ! Des chevaliers ! Ils disent que c’est leur nom.” La mère à ce mot tombe pâmée, quand elle l’entend dire ce nom de chevalier. (51) |
COTEXTE ET CITATION: | La mère de Perceval a élevé son fils dans l’ignorance de la chevalerie pour éviter qu’il ne meure comme son père et ses frères. Or il vient lui communiquer son émerveillement à la vue de chevaliers qu’il a rencontrés. |
NOTES: | P. 50, vv. 369-374 |
SOURCE: | Retif de la Bretonne, Le paysan parvenu. [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305718 accreditee |
CONTEXTE: | Même une fois mariée Bamba continue à entretenir une relation amoureuse avec Adalbéron, le précepteur de ses frères. L'insolence des amants à l'égard des domestiques qui veulent faire obstacle à cet adultère consuira ceux-ci à le dévoiler. |
COTEXTE ET CITATION: | Et Bamba et lui, irrités contre ces valets, leur firent tant d'outrages, leur firent tant de menaces et les chargèrent de tant d'injures, qu'enfin un d'entre eux, perdant la patience, avertit Rigobert de ces menées qui se passaient au préjudice de son honneur. |
NOTES: | Page 66. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305866 accreditee |
CONTEXTE: | Bamba, l’aînée des filles d’un gentilhomme de Sardaigne tombe amoureuse d’Adalbéron, le précepteur de ses frères. |
COTEXTE ET CITATION: | Cependant l’aînée, cette Bamba qui avait les clefs de tout et le gouvernement du ménage, l’ayant trouvé à son gré, se vit tout à coup embrasée de cette flamme, dont le commencement est si doux et la fin ordinairement si calamiteuse. |
NOTES: | Page 63. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Trente nouvelles. Paris: Vrin, 1977.Il s\'agit d\'une sélection tirée de plusieurs recueils et présentée par René Favret. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305876 accreditee |
CONTEXTE: | Les deux frères d’Irece qui a été enlevée avec son consentement par Arteme, décident de venger cet affront. Mais il y a méprise sur le coupable et ils tuent Procle qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau. |
COTEXTE ET CITATION: | Il les sentit fondre tout à coup sur luy comme un tourbillon, & se sentit percé de bande en bande de deux espees par derriere sans avoir el loisir de mettre la main à la sienne pour se deffendre, & ces coups redoublez luy tirerent sur le champ l’ame du corps qui s’en alla en son lieu |
NOTES: | Page 76. |
SOURCE: | Camus Jean-Pierre, Les spectacles d'horreur. Genève: Slatkine Reprints, 1973.Réimpression de l\'édition de Paris, 1630. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |