OCCURRENCE: | TT102498 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | [Dom Juan croit que la roi d'Ecosse est en train d'espionner une conversation, l'affronte] "Cette réponse aïant porté la colere de Dom Juan jusques au transports, le Comte de Brion eut besoin de tout le pouvoir qu'il s'étoit acquis sur son esprit pour l'empêcher d'en venir aux dernieres extrêmitez. Le Connétable qui étoit matineux, et qui cherchoit le Roi d'Ecosse, étant arrivé heureusement en cet endroit, joignit ses instances à celles de l'Amiral, et obligea le Monarque à se montrer plus sage". |
NOTES: | [(Page & Tome) 246, 3] Cie des Libraires p. 387-8 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Journal amoureux (Le). [édition inconnu].. |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104020 accreditee |
CONTEXTE: | Lors d'un combat, Pontis, décharge son pistolet sur un ennemi au moment où celui-ci le perce de "part en part", "d'un brin d'estoc". Il apprend plus tard que cet ennemi, qui a la cuisse cassée, est un de ses camarades du régiment des Gardes. |
COTEXTE ET CITATION: | J'envoyai sur le champ un tambour pour savoir de ses nouvelles [...] et m'ayant répondu avec les mêmes sentiments de civilité et de douleur touchant à ce qui m'étoit arrivé, il envoya aussi le lendemain savoir de mes nouvelles. |
NOTES: | [(Page&tome) 343, XXXI] |
SOURCE: | Potocki (Comte), Manuscrit trouvé à Saragosse (Le). 1805.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Vernet M. |
OCCURRENCE: | 305712 accreditee |
CONTEXTE: | Perceval Arrive à Cothoatre, dans la terre de Lac, où réside le roi Frolac. Au moment du coucher, la demoiselle propose de dormir avec lui, ce qui tente Perceval : « Li cors li fremist et li membre » (v. 631). Mais il se souvient de la quête du Graal. Il refuse donc de pécher et de porter atteinte à leur pucelage. La demoiselle fut honteuse et prétend avoir fait son offre pour le tester. |
COTEXTE ET CITATION: | Bele, dist il de tel mestier N’ai jou ore mie mestier, Ne je voir ne vous refus mie Se por che non, ma dolce amie, Que trop feroie grant pechié Se je avoie despechié Vo pucelage ne le mien. |
NOTES: | P. 21, v. 647-653. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 101774 chantier |
CONTEXTE: | La cadette Benonville n'est pas très heureuse, quoiqu'elle ait réussi à écarter Floriac de sa soeur, parce qu'elle n'Arrive pas à se faire aimer de lui. |
NOTES: | [(Page) vII, pp.352-3] |
SOURCE: | Anonyme, Mademoiselle de Benonville nouvelle galante. Pierre Witte: Paris, 1715.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Assaf F., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104656 provisoire |
CONTEXTE: | |
COTEXTE ET CITATION: | [Dom Pèdre] "C'étoit Alphonse que cinq ou six hommes armez attaquoient, et alloient bien-tôt reduit à la derniere extrêmité de sa vie, si ne je fusse arrivé à son secours. Son courage augmenta quand il se vit secouru ; nous tuâmes trois de ces Assassins, et les autres prirent la fuite. Mais Alphonse fut si blessé, qu'il demeura évanoüi entre mes bras. Quand je le vis en cet état, je ne me souvins de rien, que de ce qu'il étoit frere d'Isabelle ; je courus à une fontaine qui étoit proche de nous, je lui jettaï de l'eau sur le visage, je banday deux playes qu'il avoit receue ; et le faisant porter à la maison d'un paysan, je le fis revenir à lui. |
NOTES: | [(Page & Tome) 260\, 2] Cie des Libraires p. 529 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Nouvelles afriquaines (Les). Îuvres,Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21..(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 102354 accreditee |
CONTEXTE: | Le personnage narrateur-auteur Arrive à la rescousse d'une femme que l'on agresse. |
COTEXTE ET CITATION: | "A cette horrible nouvelle, je m'écrie comme un furieux : Ah moi! Ici, la garde! <CITATION>Ces mots firent fuir les misérables.CITATION>" |
NOTES: | [(Page & Nuit) 98, 52] |
SOURCE: | Rétif de la Bretonne, Nuits de Paris (Les) ou le spectateur nocturne. Paris: Gallimard, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Meljac S. |
OCCURRENCE: | 100026 accreditee |
CONTEXTE: | Ma prétendue fit un cri en le voyant, cri assez imprudent, mais ce sont de ces mouvements qui vont plus vite que la réflexion. Moi, j'étais en train de lui tirer une révérence que je laissai à moitié faite ; il avait la bouche ouverte pour parler, et il demeura sans mot dire. Notre hôtesse marchait à lui, et s`arrêta avec des yeux stupéfaits de nous voir tous immobiles... |
COTEXTE ET CITATION: | Il s'agit de la scène où contre toute attente c'est l'abbé Doucin, hostile à leur union, qui Arrive pour marier Jacob et Mlle Habert. |
NOTES: | [(Page) GF p.106] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Paysan parvenu (Le) ou les Mémoires de M***. Garnier/Deloffre: Paris, 1969. |
CHERCHEUR/E: | Boursier N. |
OCCURRENCE: | 104984 accreditee |
CONTEXTE: | Perselide/Ardélie raconte la suite de son histoire à Théocrite; Hermocrate Arrive sur les lieux où Tessandre tentait de violer Ardélie. |
COTEXTE ET CITATION: | Ces paroles furent suivies d'un si grand coup sur la tête de Tessandre, qu'il fut contraint de la baisser jusques contre son estomac ; et comme ce Prince étoit brave, et qu'il étoit animé d'une fureur extraordinaire pour l'obstacle qu'on apportoit à son dessein, il se tourna vers Hermocrate avec une impetuosité pareille à la sienne, et leurs gens étant accourus de divers endroits du bois, il se commença un combat entre eux, que vous pouvez juger qui étoit fort terrible par les marques que vous en avez vûes. |
NOTES: | [(Page & Tome) 378, 1] Cie des Libraires p. 460 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 104424 accreditee |
CONTEXTE: | Le jeune fils de Merville est tombé amoureux de Parménie qui a trouvé refuge chez lui. Il ne peut résister à l'amour qui le dévore. Parménide doit fuir cet amour violent. |
COTEXTE ET CITATION: | Mais, madame, est-ce ma faute, si cela m'Arrive ? dit-il. Vous n'avez qu'à m'aimer autant que je le fais, et je n'aurai rien à craindre. Si vous vouliez, vous n'auriez pas grant-peine à le faire, car je vous aime tant, que votre coeur en serait touché. |
NOTES: | [(Page& Partie) 257, IV] Dans la mesure où l'amour n'est pas reçu favorablement, il se crée une situation intolérable où l'amant devient tortionnaire par force.] |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 103844 chantier |
CONTEXTE: | Ici le narrateur est tellement ému qu'il n'Arrive pas à narrer son histoire. |
NOTES: | [( Page & Partie) 17] Nouvelles éditions, 1994, Booking international, Paris |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Garnier/Deloffre-Picard: Paris, 1990. |
OCCURRENCE: | 104056 accreditee |
CONTEXTE: | Le traître Andret est abattu au cours du tournoi préalable au serment judiciaire de Tristan. |
COTEXTE ET CITATION: | Et Andrez vint Sor son destrier, ses armes tint ; Lance levee, l'escu pris, A Tristran saut en mié le vis. Nu connoisoit de nule rien, Et Tristran le connoissoit bien. Fiert l'en l'escu, en mié la voie L'abat et le braz li peçoie. Devant les piez a la roïne Cil jut sanz lever sus l'eschine. Andret Arrive sur son destrier en tenant ses armes. La lance levée et l'écu en main, il assaille Tristan de face. Il ne le reconnaît pas, mais Tristan, lui, l'a dévisagé. Il le frappe sur l'écu et l'abat au milieu de la piste en lui brisant le bras. L'homme s'écroule aux pieds de la reine sans relever l'échine. |
NOTES: | [(Vers & Page) Pp. 206-207, vv. 4035-4044. |
SOURCE: | Béroul, Le Roman de Tristan. Paris: Livre de Poche, Lettres gothiques, 1989.Édition D. Lacroix et Ph. Walter. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 100028 accreditee |
CONTEXTE: | Rencontre surprenante de quatre brancards dans la même auberge. Il s'agit du chapitre "l'Aventure des Brancards". |
COTEXTE ET CITATION: | (p20-21) Le maître de l'hôtellerie voisine [...] dit qu'il y avait un brancard chez lui, et pourvu qu'on le payât bien, qu'il serait en état de partir sur le midi [...]. Là-dessus il arriva un autre brancard, conduit par deux hommes de pied [...] (p22): à peine fut-il arrivé, qu'il en parut un autre qui venait cent pas après du même côté [...] Ils en virent un quatrième qui venoit du côté du Mans. Cela les fit rire de bon courage, excepté la Rancune qui ne riait jamais, comme je vous ai déjà dit. |
NOTES: | [(Page) 20-22 GF] |
SOURCE: | Prévost (abbé), Histoire d'une grecque moderne. Desbordes/Didot: Amsterdam / Paris, 1740.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Rodriguez P., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104936 accreditee |
CONTEXTE: | Rencontre de Théocrite et du berger Licoris. |
COTEXTE ET CITATION: | À quelques milles de la Côte, il [Théocrite] rencontra le Berger Licoris, qui après lui avoir fait juger par sa contenance, qu'il lui étoit arrivé quelque accident tres-funeste, lui apprit que la Bergere Cyparisse avoit été enlevée par des gens inconnus, sans qu'on pût découvrir ni par quel moïen cette violence s'étoit executée, ni quelle route ses ravisseurs avoient prise. |
NOTES: | [(Page & Tome) 380, 1] Cie des Libraires p. 467-68 |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Carmante. . |
CHERCHEUR/E: | Kuizenga D. |
OCCURRENCE: | 101446 accreditee |
CONTEXTE: | Madame de Volanges raconte à Madame de Rosemonde qu'on dit que la querelle entre M. de Valmont et le chevalier Danceny est l'ouvrage de madame de Merteuil, qui les trompait tous les deux. |
COTEXTE ET CITATION: | On dit donc que la querelle survenue entre M. de Valmont et le chevalier Danceny est l'ouvrage de madame de Merteuil, qui les trompait également tous deux; que, comme il Arrive presque toujours, les deux rivaux ont commencé par se battre, et ne sont venus qu'après aux éclaircissements. |
NOTES: | [(Page & Lettre) 364, 168] |
SOURCE: | Laclos (Choderlos de), Liaisons dangereuses (Les). Paris: Gallimard (Pléiade), 1979.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M. |
OCCURRENCE: | 104384 accreditee |
CONTEXTE: | Parménie, qui fuit Tormez, vient d'être trouvée par deux ouvriers. Tormez Arrive : elle les implore de l'aider. |
COTEXTE ET CITATION: | "Ils s'avancèrent, leur bêche à la main." |
NOTES: | [(Page& Partie) 179, III] Comme les paysans pour Dorine, les ouvriers portent secours de façon instinctive. Mais ce secours reste suffisant. [ancien AIDE_DU_FAIBLE_AGRESSE] EG |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Effets surprenants de la Sympathie (Les). Paris: Gallimard, La Pléiade, 1972.Dans Oeuvres de jeunesse, éd. F. Deloffre et C. Rigault. |
CHERCHEUR/E: | Gallouet C. |
OCCURRENCE: | 105320 accreditee |
CONTEXTE: | Accompagné par le nain, Marc surprend Yseut et Tristan endormis dans les bras l'un de l'autre. |
COTEXTE ET CITATION: | Entre ses bras Yseut la reïne. Bien cuidoient estre a seor. Sorvient i par estrange eor Li rois, que li nains i amene. Prendre les cuidoit a l'ovraine, Mes, merci Deu, demorerent Quant aus endormis les troverent. Entre ses bras Yseut la reine. Ils se croyaient en parfaite sûreté. Par un étrange malheur, Arrive le roi conduit par son nain. Il pensait les prendre en flagrant délit, mais Dieu merci, le roi et le nain avaient trop tardés et trouvèrent les amants endormis. |
NOTES: | [(Page & Vers ) Pp. 338-337, vv. 1-7. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Lettres Gothiques/Librairie Générale Fr.: 1989.ms Douce, Bibl. Bodléienne d\'Oxford |
CHERCHEUR/E: | , Jeay M. |
OCCURRENCE: | 105312 accreditee |
CONTEXTE: | Nugna Bella, l'amante de Consalve, se met à aimer don Ramire. Elle cache cette nouvelle relation à son amant. Un jour, cependant, elle intervertit malencontreusement les lettres qu'elle adressait à l'un et à l'autre. Consalve reçoit la lettre destinée à don Ramire et découvre tout à coup son infortune. Il en fait la confidence à don Olmond, qui Arrive juste à ce moment. |
COTEXTE ET CITATION: | Voyez, don Olmond, lui dis-je en lui montrant la lettre de Nugna Bella, voyez son changement et les choses qu'elle m'a cachées. Elle m'a envoyé cette lettre au lieu de celle qu'elle m'écrivait et il est aisé de juger que cette lettre s'adresse à don Ramire. |
NOTES: | Classiques Garnier, Paris, 1961, p.80-83. |
SOURCE: | Bordas (Classiques Garnier)/Niderst: Paris, 1990.1. Texte de l'édition originale. |
CHERCHEUR/E: |
OCCURRENCE: | 102774 accreditee |
CONTEXTE: | Teséus tranche de son couteau la langue de Philoména pour qu'elle ne puisse divulguer le viol dont elle a été victime. |
COTEXTE ET CITATION: | Un quanivet trenchant a pris Et pour ce que cele ne puisse Conter a home qu'ele truisse Ceste honte ne cest reprouche, Dist que la langue de la bouche Li trenchera tout a un fes, Si n'en sera parlé ja mes. Cui avient une, n'avient soule : La langue li traist de la goule, S'en trenche prez de le meitié. Il a pris un petit couteau bien affilé en déclarant que, afin que la jeune fille ne puisse aller conter à qui que ce soit cette honte et ce déshonneur, il va d'un coup lui trancher la langue dans la bouche. Ainsi son crime restera tu. Un malheur n'Arrive jamais seul : il lui sort la langue de la bouche et lui en coupe presque la moitié. |
NOTES: | [(Page & Vers) P. 214-215, vv. 846-55. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Philoména. Paris: Gallimard, 2000.Édition et traduction par Emmanuèle Baumgartner |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 102886 accreditee |
CONTEXTE: | Jacob quitte la province et Arrive seul à Paris. |
COTEXTE ET CITATION: | L'année d'après le mariage de mon frère, j'arrivai donc à Paris avec ma voiture et ma bonne façon rustique. |
NOTES: | [(Page) 28] Autres occurrences (hors notre corpus) dans LE ROUGE ET LE NOIR de Stendhal, dans LES ILLUSIONS PERDUES et dans le PERE GORIOT de Balzac. |
SOURCE: | Marivaux (Pierre Carlet de), Paysan parvenu (Le) ou les Mémoires de M***. Prault: Paris, 1734.(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Cammas I., Weil M. |
OCCURRENCE: | 104624 accreditee |
CONTEXTE: | Accompagné par le nain, Marc surprend Yseut et Tristan endormis dans les bras l'un de l'autre. |
COTEXTE ET CITATION: | Entre ses bras Yseut la reine. Bien cuidoient estre a seor. Sorvient i par estrange eor <CITATION>Li rois, que li nains i amene. Prendre les cuidoit a l'ovraineCITATION>, Mes, merci Deu, demorerent Quant aus endormis les troverent. Entre ses bras Yseut la reine. Ils se croyaient en parfaite sûreté. Par un étrange malheur, Arrive le roi conduit par son nain. Il pensait les prendre en flagrant délit, mais Dieu merci, le roi et le nain avaient trop tardé et trouvèrent les amants endormis. |
NOTES: | [(Page & Vers ) Pp. 338-339, vv. 1-7. |
SOURCE: | Thomas, Roman de Tristan. Lettres Gothiques/Librairie Générale Fr.: 1989.ms Douce, Bibl. Bodléienne d\'Oxford |
CHERCHEUR/E: | , Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305511 accreditee |
CONTEXTE: | Jehan expédie son serviteur Robin en reconnaissance, non sans l’avoir grimé de façon à ce qu’il ne soit pas reconnu. |
COTEXTE ET CITATION: | Je palirai si ton visage D’une erbe que je connois bien, Nus ne te connoistroit pour rien. [...] Atant cuelli en la gaudine Jehans d’une herbe la rachine, Si l’a au pumel de s’espee Broiie et d’iauwe destempree. Aprés a Robin oint du jus Se qu’en tout le mont sus ne jus Ne vit homme qui ne quidast Que fort fievre le travillast. Plus pale que cire matie Est sa chiere, et toute froncie. Un baston pour li apoiier Fist de la branche d’un pomier. Or voist quel part que il volra, Ja reconneüs ne sera. Je vais pâlir ton visage avec une herbe que je connais, si bien que personne ne pourra te reconnaître, quoi qu’il Arrive. [...] Jehan cueillit alors dans le bois la racine d’une herbe qu’il broya du pommeau de son épée et dilua dans l’eau, puis avec le jus il enduisit le visage de Robin si bien que personne au monde n’aurait douté qu’il souffrît d’une forte fièvre. Sa peau ressemble à de la cire, flétrie et toute ridée. Il lui tailla dans une branche de pommier un bâton pour s’appuyer. Qu’il aille où il voudra, on ne le reconnaîtra pas. |
NOTES: | P. 116-117, v. 3494-96 et 3529-3542 ; trad. p. 74-75. Inversion des grimages de Tristan ou de Nicolette qui se déguisent en jongleurs et qui, pour ne pas être reconnus, teignent leur visage en noir. Voir plus loin p. 120-122. |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | TT102412 PROVISOIRE |
CONTEXTE: | 'Voilà un acte bien malencontreux, lui répliquèrent ses compagnons, car si la blessure est grave et que le roi vienne à le savoir, nous serons tous châtiés et mis à mort; en admettant que le roi ne s'en mêle pas lui-même, personne à part Dieu ne pourrait nous protéger contre la parenté du chevalier, pour peu qu'ils apprennent qu'il lui est arrivé malheur sur ce chemin". "Aussitôt ils tournèrent bride et s'enfuirent à travers la forêt". |
NOTES: | [(Page & Paragraphe) 118, 65] -peur de sanctions, de représailles de la part du roi ou de la parenté du blessé. |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. XIIe s..(Édition ajoutée par SatorBase.) |
CHERCHEUR/E: | Weil M., Michel B. |
OCCURRENCE: | SB200168 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | <citation>Le transport de Nogaret fut si grand, lorsqu'il se vit seul dans une Chambre avec moi, qu'il ne s'avisa pas d'abord de faire apporter la lumière proche de mon lit.citation> Il se mit à genoux, et prenant une de mes mains, il la baisait avec tant d'amour et tant de joie, que je craignis qu'il n'y succombât. |
COTEXTE ET CITATION: | Quand Nogaret Arrive pour son rendez-vous avec l'Inconnu du Jardin, il n'y a pas de lumière et d'abord il ne reconnaît donc pas sa femme. |
NOTES: | Vol. 3, p. 72. |
ANNOTATION: | ACCREDITATION |
SOURCE: | Villedieu (Mme de), Desjardins, Annales galantes (Les). Compagnie des Libraires: Paris, 1720-21.OEuvres complètes. 12 tomes. Paris: Compagnie des |
CHERCHEUR/E: | Dutton, D. |
OCCURRENCE: | SB200147 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | La par poi ne se forcena Mesire Yvains autre feïe, Quant le fontaine ot aprochie Et le perron et le chapele. Mil fois las et dolent se claime, Et chiet pasmés, tant fu dolans ; Et s’espee qui fu coulans Chiet du fuerre, si li apointe Ad mailles du hauberc la pointe Endroit le col, pres de la joe. N’i a maille qu’il ne descloe, Et l’espee du col li trenche Le char desous le maille blanche, Tant qu’il en fist du sanc cheoir. Là, il s’en fallut de peu que monseigneur Yvain ne perdît la raison encore une fois, quand il se fut approché de la fontaine, du perron et de la chapelle. Il se proclame mille fois malheureux et misérable, et il tombe évanoui, tant il est atteint par la douleur. Et son épée, qui était glissante, Tombe du fourreau, et la pointe s’anfonce dans les mailles du haubert au niveau du cou, près de la joue. Il n’y a pas une maille qu’elle ne brise et l’épée lui tranche la peau du cou sous la cotte de mailles brillante si bien qu’elle en fit couler du sang. (267) |
COTEXTE ET CITATION: | Yvain Arrive à la fontaine grâce à laquelle il a pu épouser Laudine, maintenant perdue parce qu’il n’a pas respecté sa promesse de revenir de ses tournois au bout d’un an. |
NOTES: | P. 266, vv. 3488-3501 |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Le Chevalier au lion. Livre de poche, Lettres gothiques: Paris, 1994.Edition et traduction de David Hult |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | SB200210 ACCREDITEE |
CONTEXTE: | Lessiez me tost mon palefroi, Que je monterai bien par moi, De vostre aïde ne quier point. Et Dex hui en ce jor me doint De vos veoir ce que je cuit ! Grant joie avrai jusqu'a la nuit. Et va quel part que tu voldras, Que a mon cuir ne a mes dras Ne tocheras tu de plus pres, Mas je irai toz jors aprés Tant que por moi t'iert avenue Aucune grant desconvenue De hoste et de male avanture, Et je en sui tote segure Que je te ferai baillir : Ne qu'a la mort n'i pués faillir. Vite, laissez-moi mon palefroi, je monterai bien toute seule, je ne veux en rien votre aide. Et je prie Dieu qu'il me donne aujourd'hui de voir à ton propos ce à quoi je pense ! J'en aurai une grande joie avant ce soir. Va où tu le voudras : ni à mon corps, ni à mes vêtements tu ne toucheras de plus près, mais je ne cesserai d'aller derrière toi, jusqu'à ce qu'il t'Arrive, à cause de moi, quelque fâcheuse disgrâce, pour ta honte et ton malheur. Je suis bien certaine que je te ferai mettre mal en point. Tu n'y peux manquer, non plus qu'à la mort. |
COTEXTE ET CITATION: | En quête d'aventure, Gauvain vient de rencontrer une demoiselle provocante et agressive, l'Orgueilleuse de Logres. |
NOTES: | P. 478-80, vv. 6763-6778. |
ANNOTATION: | PUBLIC |
SOURCE: | Anonyme, Orson de Beauvais. . |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200231 accreditee |
CONTEXTE: | Aucassin, en quête de Nicolette, la cherche dans la forêt où elle s'est réfugiée et Arrive à la hutte de feuilles qu'elle a construite. |
COTEXTE ET CITATION: | Il mist le pié fors de l'estrier por descendre, et li cevaus fu grans et haus ; il pensa tant a Nicolete se tresdouce amie qu'il caï si durement sor une piere que l'espaulle li vola hors du liu. Il sortit le pied de l'étrier pour descendre, mais son cheval était grand et haut, et Aucassin pensait tant à Nicolette sa très douce amie, qu'il tomba lourdement sur une pierre au point de se démettre l'épaule. |
NOTES: | P. 118-119. |
SOURCE: | Anonyme, Aucassin et Nicolette. Paris: Garnier-Flammarion, 1984.éd. J. Dufournet |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 200066 accreditee |
CONTEXTE: | Amadas séjourne chez son hôte bourgeois pendant qu’Ydoine est en pélerinage, lorsqu’un messager Arrive pour annoncer la tenue d’un tournois. |
COTEXTE ET CITATION: | Si tost com Amadas le voit, A son atour bien aperçoit Et as letres qu’il voit porter Qu’il est de court et a l’aler. [...] Li vallés fu preus et cortois : Bien voit que il n’est pas borjois, Ains set bien qu’il est chevaliers. Dès qu’Amadas l’a vu, il s’est tout de suite rendu compte à sa tenue et aux messages qu’il lui voit porter qu’il appartient à une cour et qu’il est en mission. [...] Le jeune homme était noble et courtois ; il voit bien qu’Amadas n’est pas un bourgeois et comprend fort bien qu’il est chevalier. |
NOTES: | P. 166, vv. 4059-4073 |
SOURCE: | Anonyme, Amadas et Ydoine. Champion, éd. John R. Reinhard: Paris, 1974.Les traductions sont celles de Jean-Claude Aubailly, Paris, Champion, 1986. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305343 accreditee |
CONTEXTE: | À Paris où il s’est éloigné de Julie, St. Preux vient de recevoir un portrait d’elle qu’elle lui a envoyé. |
COTEXTE ET CITATION: | J’Arrive enfin, je vole, je m’enferme dans ma chambre, je m’asseye hors d’haleine, je porte une main tremblante sur le cachet. O première influence du talisman ! J’ai senti palpiter mon cœur à chaque papier mon cœur à chaque papier que j’ôtais, et je me suis bientôt trouvé tellement oppressé, que j’ai été forcé de respirer un moment sur la dernière enveloppe … Julie ! … Ô ma Julie ! le voile est déchiré …. je te vois …. je vois tes divins attraits ! |
NOTES: | t. I, p. 341 ; voir aussi p. 353 |
SOURCE: | Rousseau (Jean-Jacques), La Nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.Édition d\'Henri Coulet |
OCCURRENCE: | 305461 accreditee |
CONTEXTE: | Le Bel Inconnu est arrivé au château de la Gaste Cité où l’attendent une série d’enchantements et d’apparitions surnaturelles : après ces haches, Arrive un chevalier avec une corne sur le front qui crache du feu (92), et une guivre (vipère) qui se révèlera être la fille du roi Gringras (96, 102). Dans le château de l’Ile d’Or où réside la Pucelle aux Blanches Mains, il fera face aussi à des enchantements traités sur le mode ironique (140-141 ; 149-151). |
COTEXTE ET CITATION: | Par mi l’uis ens voloit entrer, Quant vit destendre et enteser De haces grans por lui ferir ; Par deseur lui les vit venir. Ariere maintenant se trait, Mors fust se il n’eüst ço fait. Il allait passer la porte quand il aperçut de grandes haches prêtes à le frapper, qu’il vit descendre au-dessus de sa tête ; il n’eut que le temps de se rejeter en arrière pour ne pas mourir. |
NOTES: | P. 90-91, v. 2937-2962 ; trad. p. 60. |
SOURCE: | Renaud de Beaujeu, Le Bel Inconnu. Champion: Paris, 1983.Edition G. Perrie Williams ; traduction par Michelle Perret et Isabelle Weill, Paris, Champion, 1991. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305515 accreditee |
CONTEXTE: | Calogrenant a versé de l’eau sur le perron de la fontaine merveilleuse avec le bassin d’or et déclanché une tempête. Arrive Esclados le Roux qui lui lance un défi. |
COTEXTE ET CITATION: | De si haut comme il pot crïer, Me commancha a deffïer, Et dit : “Vassaus, mout m’avés fait Sans deffianche, honte et lait. Deffïer me deüssiez vous, S’il eüst querele entre nous, ou au mains droiture requerre, Ains que vous me meüssiés guerre. Aussi fort qu’il lui fut possible de crier, il commença par me lancer un défi, en disant : “Vassal, vous m’avez infligé sans m’avoir défié, une honte et un tort. Vous auriez dû me défier, s’il y avait entre nous un sujet de querelle ; ou au moins vous auriez dû exiger votre droit avant de commettre une agression contre moi. |
NOTES: | P. 78, vv. ; trad. p. 55. |
SOURCE: | Philippe de Rémi, Jehan et Blonde. Champion: Paris, 1984.Edition Sylvie Lécuyer |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305521 accreditee |
CONTEXTE: | Ayant fui sa vie de luxe, sa femme et sa famile, Alexis Arrive à la ville d'Alsis ou il se départit des biens qu’il avait emportés, en donnant des aumônes. |
COTEXTE ET CITATION: | Tut son aver qu’od sei en ad portet, Tut le depart, nïent ne l’en remest : Larges almosnes par Alsis la citet Dunet as povres u qu’il les pout trover : Pur nul aver ne volt estra ancumbret. |
NOTES: | P. 170, v. 91-95. |
SOURCE: | Anonyme, Vie de saint Alexis. Genève: Droz, 2000.Édition de Maurizio Perugi. |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305623 accreditee |
CONTEXTE: | Eliduc, suivant sa promesse à Guilliadon, revient au jour fixé pour l'enlever. |
COTEXTE ET CITATION: | Sun chamberlenc apareilla e a s’amie l’enveia, si li manda que venuz fu, bien a son cuvenant tenu; la nuit quant tut fu avespré, s’en eissist fors de la cité; li chamberlens od li ira, e il encuntre li sera. Sur un cheval la fist munter, e il munta, sa resne prent, od li s’en vet hastivement Il donne ses instructions à son chambellan, qu’il envoie à son amie pour lui dire qu’il est arrivé, fidèle à sa promesse: cette nuit quand il fera sombre, qu’elle sorte de la ville avec le chambellan: lui-même viendra à sa rencontre. Il la fait monter à cheval, monte lui-même en selle, saisit les rênes et part au galop avec elle. |
NOTES: | P.306-308, vers 767-774; 806-808. |
SOURCE: | Marie de France, Eliduc. Paris: Lettres Gothiques, 1990.Texte édité par Karl Warnke Traduction par Laurence Harf-Lancner |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305628 accreditee |
CONTEXTE: | Fénice, que tout le monde croit morte, vit avec Cligès dans leur retraite cachée. Ils s’endorment dans le verger après avoir fait l’amour. Un chasseur les surprend et va aller raconter ce qu’il a vu au mari de Fénice. |
COTEXTE ET CITATION: | Soz l’ente voit dormir a masse Fenice et Cligés nu à nu. «Dex! fait il, que m’est avenu? Quel merveille est ce que je voi? N’est ce Cligés? Oïl, par foi! N’est ce l’empereriz ensemble?» Sous l’ente, il voit dormir ensemble Fénice et Cliès, nue à nu. «Mon Dieu, fait-il, que m’est-il arrivé? Quelle est la merveille que je vois? N’est-ce pas Cligès? Oui, pour sûr. N’est-ce pas l’impératrice avec lui?» |
NOTES: | P. 430, vers 6368-6373. |
SOURCE: | Chrétien de Troyes, Cligès. Paris: Livre de poche, Lettres gothiques, 1994.Édition et traduction de Charles Méla, Olivier Collet et Marie-Claire Gérard-Zai |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305647 accreditee |
CONTEXTE: | Le roi Guillaume, qui est parti en exil avec sa femme suite à un commandement du ciel, a perdu sa femme et ses deux petits enfants nouveaux-nés. A leur recherche, il Arrive chez un bourgeois qui l'engage comme homme à tout faire. |
COTEXTE ET CITATION: | An leu de garçon sert li rois Molt volantiers chieus le borjois, Ne ja par lui n'iert refusé Chose qui li soit comandé, Tout fait sanz ire et sanz rancune, Ne refuse chose nes une. Le roi sert de plein gré chez le bourgeois comme homme à tout faire. Il ne refusait jamais rien de ce qui lui était commandé. Il fait tout sans colère ou rancoeur et ne refuse aucun travail, pas même un. |
NOTES: | P. 91, vers 1019-1024. |
SOURCE: | Chrétien (de Troyes), Guillaume d Angleterre. Genève: Droz, 1988.Édition de A.J. Holden |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305698 accreditee |
CONTEXTE: | Gloriande, la fille du sultan, propose de délivrer de prison Mabrien, dont elle est amoureuse, ainsi que ses compagnons, contre une promesse de mariage. |
COTEXTE ET CITATION: | -« je suis fille du soudanc, a laquelle vous baillastes l’autrier, quant premierement fustes ceans arrivé, vostre hache a garder, et puis me livrastes une cuirye que je garde songneusement pour l’amour de vous, car j’entens que vous les me baillastes par nom de mariage, donc le traictié se fera presentement, se vous voullez, par ainsi que de ceans et des dangiers du soudans vous delivreray, et m’en yray avecques vous la ou il vous plaira moy mener.» Si s’accorderent l’un a l’autre, et promist Mabrien de faire tout ce que la damoiselle vouldroit. |
NOTES: | Rubrique 25, paragraphe 3, p. 207. Edition Philippe Verelst |
SOURCE: | ANONYME, Mabrien. Genève: Droz, 1998.Edition Philippe Verelst |
CHERCHEUR/E: | Denis, Françoise |
OCCURRENCE: | 305711 accreditee |
CONTEXTE: | Un ermite donne à Perceval une lettre dont il n’Arrive pas à lire les caractères mystérieux. Il s’agit d’un talisman qui guérit la folie. Il suffit de le poser sur la tête pour être guéri, mais il ne faut pas le porter dans des lieux mauvais. |
COTEXTE ET CITATION: | Vassal, dist il, soiez toz fis Que ja ne serez desconfis Par anemi ne decheüs, Ne nus hom, tant soit desceüs Ne fors du sens, s’il a le brief Estendu par desor son chief, Que tantost ne soit en son sens ; Mais gardez que par nul assens Ne soit portez en liu malvais. |
NOTES: | Page 9, v. 250-257. Avec ce talisman, Perceval va guérir Agrevain et Sagremor qui ont perdu la raison au point de se battre l'un contre (p. 32, v. 1007-1028. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |
OCCURRENCE: | 305907 accreditee |
CONTEXTE: | Alors que Perceval séjourne chez un ermite, Arrive un chevalier avec une jeune fille qu’il bat à coups de bâton. Il l’a enlevée à son ami et veut l'épouser, mais il n’obtiendra rien d’elle. |
COTEXTE ET CITATION: | "Danz prestres, fait il, erranment Venez me espouser ceste dame, Ou, se ce non, se Deus ait m'ame, Vous le conperrez ja molt chier." […] Je le ferai sanz destriier, Mais qu'ele le weille otroier. -- Naie, fait ele, par saint Pol, Ains me lairoie par le col Prendre et les membres esracier". |
NOTES: | Tome II, page 10, v. 7184-7195. Voir aussi p. 9, v. 7156-7168. |
SOURCE: | Gerbert de Montreuil, La continuation de Perceval. Paris: Champion, 1922.Édition de Mary Williams |
CHERCHEUR/E: | Jeay M. |